Chapitre 14✔️

Chapitre réécrit de 800 mots à 1610

Mes paupière sont lourdes, tellement lourde qu'il me faut un effort sur humain pour pouvoir les ouvrir Ma vision est trouble, je ne vois pratiquement rien. Ma respiration est saccadé et mon cœur bat à vive allure. Tout ça à cause de leur fichu produit pour m'endormir. Je n'en reviens pas. Je crois que c'était la pire journée de ma vie. Je ne peux pas croire tout ce qui est arrivé à ces pauvres innocent. Ils n'ont rien fait et ils sont maintenant tous mort. Ils ont été tuer d'une façon barbare, en partie à cause de moi. Je n'ai rien pues faire. J'ai été obligé de faire ce qu'ils m'ont ordonné. Je ne pourrais jamais me pardonner. J'ai été beaucoup trop faible. Je commence à croire que ce que l'on dit à mon propos est totalement faux. C'est impossible que je sois la troisième surnaturelle plus puissante de notre monde. Ils ont surement dû se tomber. Je me dégoute. Mais tout ça est de ma faute, si je ne leur avait pas tout révéler sur ma véritable nature et tous mes pouvoirs, je n'en serais surement pas là. Ces gens ne seraient pas mort dans de tel souffrance.  Une chose est sûre, je ne dois surtout pas parler à qui que ce soit de mon nouveau don. Je ne veux pas servir de cobaye. Je ne veux pas être encore plus utiliser que je ne le suis déjà.

Ma vision deviens petit à petit claire, je lève doucement la tête en grimaçant à cause de la douleur dans mon crane. J'étouffe un juron en plaçant directement ma tête entre mes mains. Je regarde rapidement autour de moi et souffle de soulagement lorsque je remarque que je suis dans « ma chambre ». Je suis soulager je pensais qu'ils allaient me laisser croupir en prison après m'avoir utiliser.

Quelqu'un toque discrètement a la porte puis entre à toute vitesse. Je reconnais la tinisasse brune de Lilia qui se jette sur mon lit, m'écrasant presque. Ces yeux son écarquiller elle me regarde avec surprise. Un petit sourire étire son visage, la rendant mon froide, moins sévère, moins monstrueuse.

-Tu ne devineras jamais, s'écrie-t-elle.

Je lève les yeux au ciel en l'entendant parler. On dirait deux meilleures amis qui parles des deux dernier potin. Nous ne sommes pas amie, il ne faut pas qu'elle l'oubli. Nous sommes juste allié. Je n'oublie pas ce qu'elle m'a fait et me fait toujours subir. Même si maintenant c'est plutôt contre sa volonté. Je ne peux pas oublier.

-Ethan est dans un état, tu n'imagines même pas. Depuis que nous sommes rentré hier du village, Ethan a carrément pété les plomb. Lorsque tu t'es évanouis et que tu ne t'es pas réveiller comme tu l'aurais dû, il est devenu complètement fou. Il a tenus tête a notre père. C'est la première fois, surement la dernière mais il la tout de même fait. Tu ne peux pas savoir à quel point ce geste compte à mes yeux. Il tient à toi Eva !

-Ne me dit pas des choses fausse comme ça. J'ai déjà eu assez de faut espoirs comme ça, répondis-je sèchement.

-Tu dis n'importe quoi. Je suis sûr que vous avez une chance tous les deux.

-Je ne vois pas de quoi tu parles. Il n'y a pas de « vous » nous n'aurons jamais de « nous ». Alors arrête s'il-te-plait. C'est déjà assez difficile comme ça.

Lilia pousse un profond soupire avant de se lever. Elle lève les yeux au ciel avant de se diriger vers la porte. Mais avant de quitter la chambre elle tourne la tête vers moi et murmure :

-Vous avez votre chance, tu le sais très bien, ne perds pas espoir.

Sur ceux elle quitte la pièce et je retombe dans la lit en poussant un petit cris de frustration après avoir mis un oreiller sur ma tête. Je la déteste. Elle n'a pas le droit de me mentir comme ça. Elle n'a pas le droit de me donner des faux espoirs. Tout n'es qu'un jeu pour Ethan. Lui bruit de la porte qui grince me fait sursauter. Je retire l'oreiller de ma tête pour voir qui viens d'entrer. Je le replace rapidement sur ma tête en voyant Ethan.

-Qu'est-ce-que tu veux ? Demandais-je sèchement en jetant l'oreiller derrière ma tête.

-Je voulais juste te voir, te parler, dit-il timidement.

Je le regarde avec incompréhension. Je me frotte les yeux et le regarde de nouveau.

-Tu peux répéter ? Lui demandais-je les yeux grand ouvert.

-Ne me le fait pas répéter, tu as très bien entendu.

Je scrute son visage, cherchant le moindre détail qui pourrait me montrer qu'il se moque bien de moi. Mais rien. Il a la tête baisser, ces cheveux brun sont en pagaille, ces joues légèrement bronzé laisse apparaitre une petite teinte rosé. Il joue nerveusement avec le bas de son tee-shirt blanc. Ce dernier laisse apparaitre les nombreux tatouages qui colorent sa peau. Il est vraiment magnifique. J'ai un doute maintenant. Est-il sincère ? Ou est-ce juste un piège ? Je ne sais pas, je suis totalement perdu.

-Je peux venir ? Me demande-t-il alors que ces yeux de couleur chocolat me regardent.

J'hoche la tête sans réfléchir. Oh et puis tant pis, je veux seulement un simple petit moment à ses coter. Je veux seulement qu'il me sert dans ces bras, qu'il me demande comment je vais, qu'il s'inquiète pour moi. Qu'il me fasse oublié tous ces évènement passé. Je veux être dans ses bras, l'entendre me rassuré, au moins quelques secondes, juste une fois.

Ethan me lance un petit sourire et s'allonge à mes coter. Je le regarde dans les yeux, j'en oubliais presque tout ce qu'il m'a fait subir. Le lien qui nous uni a surement pris le dessus. J'ai terriblement besoin de sa présence à mes coter. C'est horrible de devoir rester si éloigner de lui. C'est horrible de le voir me rejeter. Je ferme les yeux et vide mon esprit, ne pensais plus a rien d'autre qu'au moment présent.

-J'ai eu peur, t-tu m'as manqué.

Je souris et me rapproche de lui, posant ma tête sur son torse. Son corps se crispe sous mon toucher. Il bafouille des mots incompréhensible me faisant ricaner. Petit à petit sa main viens se poser sur ma hanche, exerçant une légère pression dessus. Je pousse un petit soupire de satisfaction et ferme les yeux. Je crois avoir longtemps rêver de cet instant. Je suis bien, je suis vraiment bien. Je me sens complète pour la première fois. Signe que notre lien n'est maintenant plus à deux doigts de se brisé. Je lève la tête pour le regarder et souris. Il me lance lui aussi un timide sourire et rapproche son visage du mien. Tout ce passe maintenant au ralentis. Ethan louche sur mes lèvres, dont je ne peux m'empêcher d'humidifier. Je l'entends déglutir bruyamment et ma respiration s'accélère. Je pris intérieurement qu'il m'embrasse. Nos lèvres ne sont plus qu'à quelques centimètres l'une de l'autre. Elles se frôlent, elles se cherchent. Alors que j'allais collé mes lipides au siennes, Ethan se recule brusquement. Les yeux écarquiller, il me regarde étrangement. Il grogne et me repousse. Il s'assois au bord du lit et pose sa tête entre ses mains. J'ai la bouche légèrement ouverte pour dire quelque chose, mais aucun son ne sors de ma bouche. Je ne sais pas quoi dire. Je pensais que cette fois-ci était la bonne. Je me suis surement tromper. D'une main tremblante, je pose délicatement ma main sur son épaule, le faisant sursauter. Il se tourne vers moi et mon visage prend un air inquiet. Ethan me lance un regard noir et je sais que l'autre Ethan est revenu.

-Oublie, c'était un mauvaise idée, dit-il sèchement.

-Tu dis toujours ça, m'écriais-je les larmes aux yeux. Je ne peux pas croire que tu le penses vraiment.

-Arrête.

-Non, toi arrête. Je sais que je viens de voir le vraie Ethan, arrête de te cacher derrière ta carapace. Enlève ton masque. Montre moi qui tu es vraiment.

-Tu dis vraiment n'importe quoi. Tu crois que parce que pendant quelques minutes j'ai été... moins désagréable, que je t'apprécie ? Tu n'es finalement pas devenu ce que je pensais.

Je fronce les sourcils pour lui montrer mon incompréhension. Que veut-il dire par là ?

-Je pensais que grâce aux deux petites missions que tu as très bien accomplis, tu serais devenue comme nous, continu-t-il avec un sourire en coin.

Je le regarde cette fois-ci horrifier. Il ne pense tout de même pas ce qu'il a dit ?

-Je ne serais jamais comme vous, répondis-je en retenant tant bien que mal mes larmes.

-C'est trop tard, amour, ricane-t-il. Après ce que tu as fait à ces innocent tu es devenu comme nous.

-Je ne suis pas un monstre.

-Cesse de te répéter, cela deviens lassant.

-Tu es inhumain, tu n'es qu'un monstre sadique, sans sentiments, tu n'as aucune part d'humanité. Tu es une erreur. Je ne comprends pas pourquoi j'ai été choisis pour être ta moitié. Je n'ai jamais voulu d'une personne comme toi, dis-je avec dégout.

Je pensais qu'après mon court monologue, il rirait et me dirait que mes petites menaces et insultes ne le touche pas, qu'il s'en moque complètement. Mais non. Pas cette fois. Il me regarde les yeux brillant, le visage décomposer. Il détourne le regard et ne rajoute rien. Il ne parle plus. Et c'est la première fois qu'il ne me répond pas. Je l'ai blesser j'en suis sûre. J'ai surement durant mon petit discours toucher un point sensible. J'étais d'un coter fière. Mais j'étais par ailleurs honteuse et horrifier d'avoir pu blesser mon âme-sœur. Surtout de cette façon, car les mots ne s'effacent pas.

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