Partie unique.
Un jour d'hiver, une femme était assise à sa fenêtre encadrée de bois d'ébène et cousait. Tout en tirant l'aiguille, elle regardait voler les flocons blancs. Elle se piqua au doigt et trois gouttes de sang tombèrent sur la neige. Ce rouge sur ce blanc faisait un si bel effet qu'elle se dit : « Si seulement j'avais un enfant aussi blanc que la neige, aussi rose que le sang, aussi noir et vert que le bois moisi de ma fenêtre ! » (fermez là putain fallait que ça colle)
Peu de temps après, un fils lui naquit, il était blanc comme neige, rose comme sang et ses cheveux étaient noirs avec des jolis reflets verts foncés.
On l'appela Izuku.
Mais la femme mourut en lui donnant le jour.
Au bout d'une année, le père épousa un autre homme. (je vous ai dit fermez là merde fallait que ça colle)
Il était très beau ; mais était fier et vaniteux et pourrait en souffrir que quelqu'un le surpasse en beauté. (ptdr énorme lol quand vous allez voir qui c'est, fallait mettre un vilain et c'est tombé sur lui hein me blâmez pas)
Il possédait un miroir magique. Quand il s'y regardait il disait :
« Miroir, miroir joli, qui est le plus beau au pays ?
Le miroir répondait : « Monsieur, vous êtes le plus beau au pays. »
Et il était content. Il savait que le miroir disait la vérité.
Izuku, cependant, grandissait et devenait de plus en plus beau. Quand il eut atteint ses dix-sept ans, il était déjà plus joli que le jour et plus beau que Shigaraki lui-même. (je vous autorise à rire putain même moi ça me fait exploser)
Un jour alors que celui-ci demandait au miroir :
« Miroir, miroir joli, qui est le plus beau au pays ? Celui-ci répondit :
Monsieur, vous êtes le plus beau ici, mais Izuku est encore mille fois plus beau. »
L'homme en fut épouvanté.
À partir de là, chaque fois qu'il apercevait Izuku, son cœur se serrait dans sa poitrine tellement il éprouvait de la haine à son égard.
Il en avait perdu le repos, le jour et la nuit.
Il en fit venir un chasseur et lui dit :
« Emmène l'enfant dans la forêt ! je ne veux plus le voir. Tue-le et rapporte-moi pour preuve de sa mort son cœur que tu mettras dans cette boite. »
Le chasseur aux cheveux longs et noirs obéit et conduisit Izuku dans le bois.
Mais quand il eut dégainé son poignard pour en percer le cœur innocent du jeune homme, celui-ci se mit à pleurer et dit :
« Oh le chasseur, laisse moi la vie ! J'ai pas envie de crever moi ! Je m'enfoncerai très loin dans la forêt et je ne rentrerai jamais à la maison !
Le chasseur eut pitié de lui et dit :
Sauve-toi, mon pauvre ! Mais il songeait :
Les bêtes de la forêt auront tôt fait de te dévorer ! »
Un marcassin passait justement. Le chasseur le tua de son poignard, prit son coeur et les apporta à l'homme comme preuves de la mort d'Izuku.
Le cuisinier reçut ordre de le cuisiner et le méchant homme le mangea, s'imaginant qu'il avait appartenu à Izuku.
Comment c'est glauque putain.
Le pauvre petit, lui, était au milieu des bois, tout seul.
Sa peur était si grande qu'il regardait toutes les feuilles de la forêt sans savoir ce qu'il allait devenir.
Il se mit à courir sur les cailloux pointus et à travers les épines. Les bêtes sauvages bondissaient autour de lui, mais ne lui faisaient aucun mal.
Il courut jusqu'au soir, aussi longtemps que ses jambes auront pu l'emporter.
Il aperçut alors une maison et y pénétra pour s'y reposer.
Dans la maison, tout était joli, gracieux et propre. On y voyait une grande table couverte d'une nappe blanche, avec sept assiettes et sept cuillères, sept fourchettes et sept couteaux, et aussi sept gobelets.
Contre le mur, il y avait sept lits alignés les uns à côté des autres et recouverts de draps tout blancs. Izuku avait si faim et si soif qu'il prit dans chaque assiette un peu de légumes et de pain et but une goutte de vin dans chaque gobelet car il ne voulait pas manger la portion tout entière de l'un des convives. Fatigué, il voulut ensuite se coucher.
Mais aucun des lits ne lui convenait ; l'un était trop dur, l'autre trop mou. Il les essaya tous. Le septième, enfin, fut à sa taille. Il s'y allongea, et s'endormit.
Quand la nuit fut complètement tombée, les propriétaires de la maison arrivèrent.
C'était sept gars qui, dans la montagne, travaillaient à la mine. Ils allumèrent leurs sept lampes et quand la lumière illumina la pièce, ils virent que quelqu'un y était venu, car rien n'était pareil qu'ils l'avaient laissé.
La panique leur prit, quelle enfoiré aurait pu oser mettre le foutoir dans leur baraque ?
C'est alors qu'ils s'exclamèrent.
Le premier dit :
« Qui s'est assis sur ma chaise ? »
Le deuxième :
« Quel enfoiré a mangé dans mon assiette ? »
Le troisième :
« Qui a bouffé mon pain ? »
Le quatrième :
« Qui a mangé mes légumes ? »
Le cinquième :
« Qui s'est servi de ma fourchette ? »
Le sixième :
« Qui a coupé avec mon couteau ?»
Le septième :
« Qui a bu dans mon gobelet ? »
Le premier, en se retournant, vit que son lit avait été dérangé.
« Qui a touché à mon lit ? » dit-il. Les autres s'approchèrent en courant et chacun s'écria :
« Putain quelqu'un a touché à mon lit !»
Mais le septième, quand il regarda son lit, y vit Izuku endormi.
Il appela les autres, qui vinrent bien vite et poussèrent des cris étonnés. Ils prirent leurs sept lampes et éclairèrent le visage d'Izuku.
« WHAT THE HELL WHO THE FUCK IS THIS NIGGA ! s'écrièrent-ils ; que ce garçon est mignon !
- Tu t'fous d'la gueule du monde ou quoi le mec il s'est incrusté chez nous il a graille notre repas et tu trouve le moyen de dire qu'il est beau ?
- Il a surtout l'air paumé ouais, renchéri un autre aux cheveux bicolores.
Ils eurent grave pitié qu'ils ne l'éveillèrent pas et le laissèrent dormir dans le lit.
Le septième des hommes aux cheveux électrisés coucha avec ses compagnons aux cheveux rouges hérissés, et la nuit passa ainsi.
Au matin, Izuku s'éveilla. Quand il vit les sept garçons, il s'effraya.
Mais ils le regardaient avec amitié et posaient déjà des questions :
« Comment t'appelles-tu ?
- Je m'appelle Izuku, répondit-il.
- Comment t'es venu jusqu'à nous ? »
Il leur raconta que son beau père avait voulu le faire tuer, mais que le chasseur lui avait laissé la vie sauve et qu'il avait ensuite couru tout le jour jusqu'à ce qu'il trouve cette maison. Les hommes lui dirent :
« Si tu veux t'occuper de notre ménage, faire à manger, faire les lits, laver, coudre et tricoter, si tu tiens tout en ordre et en propreté, tu pourras rester avec nous et tu ne manqueras de rien.
Putain j'vais faire la bonne en gros c'est ça ? Bande d'enfoirés, pensa le vert.
- D'accord, d'accord de tout mon cœur, dit putain d'hypocritement Izuku. Je peux savoir vos prénoms ? Questionne-y-il.
L'un d'eux aux lunettes s'approcha.
- Moi c'est Tenya, le rouge c'est Kirishima, à côté on a Denki, Tokoyami, puis Hanta, s'en suit Ojiro et enfin le grognon là c'est Shoto ! » Ce dernier hocha juste la tête.
Et il resta auprès d'eux. Il s'occupait de la maison. Le matin, les gars partaient pour la montagne où ils arrachaient le fer et l'or, c'était comme ça qu'ils gagnaient leur vie, le soir, ils revenaient et il fallait que leur repas soit prêt.
Toute la journée, le jeune homme restait seul, les bons jeunes garçons l'avaient mis en garde :
« Fais gaffe à ton beau-père ! Cet enfoiré saura bientôt que tu es ici, laisse n'entrer personne ! »
Le beau-père, cependant, après avoir mangé le cœur d'Izuku, s'imaginait qu'il était redevenu le plus beau de tous.
Il se mit devant son miroir et demanda :
« Miroir, miroir joli, qui est le plus beau au pays ? Le miroir répondit :
- Mon cher, vous êtes l'plus beau, ici. Mais, par-delà les monts d'airain, auprès des gentils paysans de mort (ptdr faut bien rajouter une pointe d'insolence et d'humour), Izuku est mille fois plus beau. »
L'homme en fut bouleversé, il savait que le miroir ne pouvait mentir.
Il tilta enfin que le chasseur l'avait prit pour sa pute et qu'Izuku était toujours en vie !
Il se creusa la tête pour trouver un nouveau moyen de l'achever, car aussi longtemps qu'il ne serait pas le plus beau du pays, il savait que la jalousie ne lui laisserait aucun repos.
Putain d'enfoiré de vaniteux de merde t'es moche t'as toujours pas compris ?
Ayant finalement découvert un stratagème, il se farda le visage (pas beaucoup hein il est archi moche en vrai) et s'habilla comme une vieux marchand ambulant.
Il était méconnaissable.
Ainsi déguisé, il franchit les sept montagnes derrière lesquelles vivaient les sept hommes.
Il frappa à la porte et dit :
« J'ai du beau, du bon à vendre, à vendre !
Izuku regarda par la fenêtre et dit :
« Bonjour, cher Monsieur, y'a quoi à vendre ?
— De la belle, de la bonne marchandise, répondit-il, des écharpes de toutes les couleurs. (à la base c'était des corselets wesh jvais pas dire dans le plus grand des calmes qu'il porte ça)
Il lui en montra une tressée de soie multicolore.
« Je peux bien laisser entrer cet honnête homme ! se dit Izuku.
Il déverrouilla la porte et acheta l'écharpe.
- Enfant ! Comment tu t'y prends, tu sais mettre une écharpe ou quoi ? Viens j'te la met.»
Izuku était sans méfiance.
Ouais parce qu'il est vraiment trop con c'est l'abus.
Il se laissa passer l'écharpe.
Mais le vieux serra rapidement et si fort que le jeune homme perdit le souffle et tomba comme mort.
« Et maintenant, tu as fini d'être le plus beau », dit l'homme en s'enfuyant.
Le soir, peu de temps après, les garçons rentrèrent à la maison.
Quel effroi s'empara d'eux lorsqu'ils virent Izuku étendu sur le sol, immobile et sans vie !
Ils le soulevèrent et virent que son écharpe l'étouffait trop.
Kirishima la coupa vite.
Le jeune homme reprit des couleurs et commença à respirer doucement et, peu à peu, il revint à lui.
Attendez ça veut dire que le gars a passé au moins trois heures au sol en attendant qu'on vienne l'aider alors qu'il avait juste à se détacher ?
Quand les garçons apprirent ce qui s'était passé, ils dirent :
« Le vieux marchand n'était autre que ton putain de beau-père. Il est grave chiant, gare à toi de laisser entrer personne quand on est pas là ! »
Le méchant homme, lui, dès son retour au château, s'était placé devant son miroir et avait demandé tel un gros no life :
« Miroir, miroir joli, qui est le plus beau ? Une nouvelle fois, le miroir avait répondu :
Mon cher monsieur, vous êtes le plus beau ici. Mais, par-delà les monts d'airain, auprès des gentils chers hommes, Izuku est mille fois plus beau. »
Quand l'homme entendit ces mots, il en fut si bouleversé qu'il ressentit son cœur étouffer.
Il comprit qu'Izuku avait recouvré la vie.
« Eh bien ! dit-il, je vais trouver quelque moyen qui te fera disparaître à tout jamais ! »
Par un tour de sorcellerie qu'il connaissait, il empoisonna un peigne. Il se déguisa à nouveau et prit l'aspect d'un autre vieil homme.
Il franchit ainsi les sept montagnes en direction de la maison où résidait Izuku, frappa à la porte et cria :
« Bonne marchandise à vendre !
Izuku regarda par la fenêtre et dit :
« Passe ton chemin ! J'ai pas le droit d'ouvrir à des inconnus.
- Mais tu peux bien regarder, dit le vieux en lui montrant le peigne empoisonné. Je vais te peigner joliment. »
Il est con ou quoi ? Pensa Izuku, ses cheveux étaient frisés et indomptables, il n'en ferait rien.
Le pauvre Izuku ne se douta de rien (fin pratiquement rien, il était quand même méfiant) et laissa faire le vieux; à peine le peigne eut-il touché ses cheveux que le poison agit et que le jeune homme tomba sans connaissance.
« Et voilà ! dit Shigaraki. C'est fini pour toi prodige de beauté ! » Et il s'en alla.
Le soleil se coucha, et les hommes rentrèrent à la maison.
Quand ils virent Izuku étendu comme mort sur le sol, ils pensèrent aussitôt au méchant homme, cherchèrent la faille et trouvèrent le peigne empoisonné. Dès qu'ils l'eurent retiré de ses cheveux, il revint à lui et leur racontait ce qu'il s'était passé.
Ils lui demandèrent une fois de plus d'être sur ses gardes et de n'ouvrir à personne, et que la vérité il cassait les couilles à être aussi con.
Rentré chez lui, l'époux du roi s'était placé devant son miroir et avait demandé :
« Miroir, miroir joli, qui est le plus beau au pays ? »
Le miroir souffla d'agacement.
Putain il casse les couilles cet enfoiré t'es moche t'es moche mon gars.
Mais bon, comme la fois précédente, le miroir répondit :
« Vous êtes le plus beau ici. Mais, par-delà les monts d'airain bref j'te la fais courte mec, t'es toujours moche à côté d'Izuku. »
Quand il entendit cela, il se mit à trembler de colère.
« Il faut que ce petit enfoiré meure ! s'écria-t-il, POURQUOI TU CREVE TOUJOURS PAS BORDEL DE MERDE ! » Il se rendit dans une chambre sombre et isolée où personne n'allait jamais et y prépara une pomme empoisonnée.
Extérieurement, elle semblait belle, blanche et rouge, si bien qu'elle faisait envie à quiconque la voyait ; mais il suffisait d'en manger un tout petit morceau pour mourir. Quand tout fut prêt, l'homme se farda le visage et se déguisa en paysan.
(bon vaudrait mieux pas l'imaginer sapé comme ça mais bon, faut faire avec)
Au même moment, dans un royaume à côté, vivait un beau et jeune prince issu d'une famille royale, avec un caractère assez fort. Il avait pour nom Katsuki Bakugou.
Celui ci était rêveur, insolent et arrogant, mais pourtant très beau, avec des cheveux en pétards et blonds, assez musclé, et des yeux vermillions.
Il passait son temps à se disputer avec ses parents, en particulier sa mère qu'il appréciait appeler "la vieille".
Le sujet principal de leur multiples disputes était, trouver une moitié au prince.
Quand il n'était pas entrain de galoper sur son destrier où se distraire aux combats d'épées, il passait ses journées à s'emmerder de force à cause de ses parents qui l'obligeaient à "examiner" ses prétendantes.
Il les trouvait toutes moches, et ne se retenait jamais pour leur faire une remarque désobligeante.
Il ne se gênait jamais dans tout ce qu'il faisait, il était terriblement pourri gâté et ne changerai son caractère pour personne au monde.
Après ça, il se faisait toujours remonter les bretelles par ses foutus vieux.
« Katsuki ! Arrête donc enfin de rejeter chaque prétendantes qui s'offrent à toi ! C'est pas comme ça que tu trouveras une reine pour gouverner sur ton royaume à tes côtés !
- La ferme la vieille ! J'en ai rien à putain de faire de ces femmes ! J'aime pas les femmes !
- QU'EST CE QUE TU DIS IDIOT DE FILS !
- JE PRÉFÈRE LES HOMMES !
- Katsuki.. Pourquoi tu l'as pas dit avant ? Demanda son père, qui était resté calme tout le long de leurs querelle.
- Ça aurait changé quoi ? Qu'est ce que ça peut vous foutre ?
- Et bah ça nous fait quelque chose ! Au lieu de s'emmerder à trouver des femmes, on t'aurait cherché des hommes ! Bien, nous t'en présenterons dès à présent.
- Inutile. Dit le blond.
- Et pourquoi donc ?
- J'préfère chercher moi même. Ai-je votre accord pour partir en pèlerinage trouver l'élu de mon coeur ? Décidément ce genre de disquette qu'il trouvait l'irritait vraiment, mais y'avait pas d'autre choix. Il voulait surtout voyager et découvrir de nouveaux horizons.
- Tant que tu reviens avec un bel homme, c'est d'accord.»
Génial ! Le beau prince se lança dans sa quête le lendemain matin, dès le lever du soleil !
Ainsi transformé, le méchant homme, il franchit les sept... Putain vous avez compris non, j'en ai marre de toujours préciser, pour aller chez les sept hommes.
Il frappa à la porte. Izuku se pencha à la fenêtre et dit :
« Dégage le vieux j'ai pas le droit d'ouvrir, j'suis pas un pigeon non plus.
- D'accord ! répondit le paysan. Quelle victime. J'arriverai bien à vendre mes pommes ailleurs, mais je vais t'en offrir une.
- Non, dit Izuku, j'ai pas le droit d'accepter quoi que ce soit.
- Aurais-tu peur d'être empoisonné ? demanda le vieux. Regarde, je partage la pomme en deux, tu mangeras la moitié qui est rouge, moi, celle qui est blanche. »
La pomme avait été traitée avec tant d'art que seule la moitié rouge était empoisonnée. Izuku regarda le fruit avec envie et quand il vit que le paysan en mangeait, il ne put résister plus longtemps.
Il tendit la main et prit la partie empoisonnée de la pomme. À peine y eut-il mit les dents qu'il tomba mort au sol.
L'homme le regarda de ses yeux méchants, ricana et dit : « Izuku, rose comme sang, noir comme ébène ! Cette fois-ci, ces enfoirés de paillots ne pourront plus te réveiller ! »
Et quand il fut de retour chez lui, il demanda au miroir :
« Miroir, miroir joli, qui est le plus beau de ce foutu pays ? Celui-ci répondit enfin :
- Monsieur, vous êtes le plus beau au pays. » Et son cœur jaloux trouva le repos, pour autant qu'un cœur jaloux puisse le trouver.
Quand, au soir, les hommes arrivèrent chez eux, ils trouvèrent Izuku étendu sur le sol, sans souffle.
« C'est reparti, génial, quel imbécile. Rouspéta Shoto.
- J'avoue qu'il est pas foutu de faire gaffe sans déconner. Soupira Denki.
- Du calme les amis, y'a peut être encore une faille, le vieux est tellement con qu'il sait pas faire son travail correctement. Tokoyami avait prit la parole.
- Vous croyez qu'on devrait le finir nous même ?
- Putain t'es con Kirishima ! S'énerve Hanta.
- Gardez votre calme ! Cherchons la faille. » finit Tenya.
Ils le soulevèrent, cherchèrent s'il y avait quelque chose d'empoisonné, coiffèrent ses cheveux, le lavèrent avec de l'eau et du vin. Ptdr à quel moment dans ta vie tu vas laver un cadavre avec du vin sans rire. Bref je me tais.
Mais rien n'y fit : le cher enfant était mort et mort y restait. Ils le placèrent sur une civière, s'assirent tous les sept autour de lui et chourinèrent pendant trois jours.
« POURQUOI MONDE CRUEEEEL ? Criait Denki.
- POURQUOI LUUUUI ? Continuait Tenya.
- IL ÉTAIT TROP JEUNE POUR MOURIR ! Rapplique Hanta.
- C'est une bien triste fin.» Shoto de son froid habituel avait parlé.
Puis ils se préparèrent à l'enterrer. Mais il était resté fraît comme un être vivant et ses jolies joues avec ses taches de rousseurs étaient roses comme auparavant.
Ils dirent :
« Nous ne pouvons pas le mettre dans la terre noire. »
Ils fabriquèrent un cercueil de verre transparent où on pouvait le voir de tous les côtés, l'y installèrent et écrivirent dessus son nom en lettres d'or, en ajoutant qu'il était fils de roi. Ils portèrent le cercueil en haut de la montagne et l'un d'eux monta la garde auprès de lui.
Longtemps Izuku resta ainsi dans son cercueil, toujours aussi joli.
Il arriva qu'un jour un prince aux cheveux blonds et hérissés qui chevauchait par la forêt s'arrêta à la maison des garçons pour y passer la nuit, voire la semaine aussi. ENFIN, IL LES AVAIT UN PEU MENACÉS, mais qu'est ce que vous voulez, le mec prétendait chercher l'homme de sa vie. Puis il était drôle au fond, quand il se disputait pas avec Tenya, il se faisait taquiner par Kirishima, Denki et Sero. Ça passait beaucoup moins avec Shoto, mais bon qu'est ce que vous voulez, dans une vie antérieure ils étaient peut être rivaux !
Alors Katsuki vit le cercueil au sommet de la montagne, et le joli Izuku qui y reposait. Sa beauté lui coupa le souffle, il était directement tombé sous son charme. Il ne pouvait plus vivre sans ce visage, il avait enfin trouvé sa moitié.
Il dit aux hommes :
« Laissez-moi le cercueil les gars. J'vous en donnerai c'que vous voudrez. »
Mais un des garçons répondit : « T'es ouf mon pote on veut pas de nécrophilie ici !
- ALLEZ CREVER BANDE DE MERDES ! J'VOUS L'AI DEMANDÉ GENTIMENT DÉJÀ ÇA M'FAIT CHIER !
- Et pourquoi tu le veux son cercueil le pétard mouillé ?
- Tu m'cherches double face ?
- Réponds seulement.
- Merde vous l'avez vu sa face ? Il est putain de beau !
- Ouais on sait mais on est pas gays nous, il est juste beau. Et gentil mais un peu con.
- M'en branle.
- "on est pas gays" parle pour toi Tenya. Dirent en même temps Denki et Kirishima (ptn Kiridenki toute ma vie j'les incrusterait)
- J'pourrais plus vivre sans voir Izuku, je veux lui rendre honneur et respect comme à mon bien-aimé. Fin vous avez compris la disquette rassurez moi, il a l'air d'avoir un joli fessier aussi. »
Quand ils entendirent ces mots, les garçons furent saisis de compassion (ahahah les enculés ils vont laisser Izuku à ce p'tit con de Katsuki, compassion de quoi mon pote) et lui donnèrent le cercueil.
Le prince le fit emporter sur les épaules de ses serviteurs. Ils ont été utiles sur le coup, ça lui avait un peu cassé les couilles qu'on lui colle des bouffons comme eux aux basques alors qu'il voulait être seulement seul.
Comme ils allaient ainsi, l'un d'eux buta sur une souche.
PUTAIN D'IMBÉCILE REGARDE OÙ TU MARCHES ! Pensait Katsuki.
La secousse fit glisser hors de la gorge d'Izuku le morceau de pomme empoisonnée qu'il avait mangé.
La vue était pas super sexy mais bon on passera. Si il aurait su il aurait utilisé Heimlich plus tôt hein.
Puis après, il ouvrit les yeux, souleva le couvercle du cercueil et se leva. Il était de nouveau vivant ! ET C'ÉTAIT PAS UN MORT VIVANT.
FALLAIT LE DIRE AVANT QU'UN DE SERVITEURS PRENNE UN BÂTON ET LE TUE AVEC UN COUP DANS LA TÊTE EN DISANT "RICK GRIMES A ENCORE GAGNÉ !"
Je pars un peu loin omg, non ça s'est pas du tout passé comme ça la fin !
Seconde prise s'il vous plaît merciiii.
Seigneur, où j'suis ? demanda-t-il.
- Bah avec moi, répondit Katsuki, avec un regard aguicheur.
- Putain mais t'es qui toi ?
- Katsuki Bakugou, ton nouveau mec.
- Casse toi le vieux j'ai dit que je voulais pas de pomme.
- J'suis pas vieux putain de nerd comment tu parle ?
- Mais qu'est ce que j'fous ici alors ?
Il était décidément vraiment con.
Il lui raconta ce qu'il s'était passé et Izuku prit la parole.
- Y'a que dans les contes que ça arrive ces merdes.
- Ouais vivement qu'elle a terminé de l'écrire son pauvre remake de merde l'autre conne.
- De ouf, non parce que j'en ai marre d'être pris pour un débile qui s'fait pigeonner h24.
- Justement t'es débile Deku.
- Tais toi Kacchan.
- Arrête d'être insolent ou tu vas voir ce qu'il t'arrivera après cette prise. Katsuki claqua sa main sur les fesses d'Izuku.
- Quel pervers ce mec, BREF ON PEUT REPRENDRE ?
- Ah oui euh...Mon beau Izuku, en te voyant pour la première fois mon coeur t'appartenait déjà, je t'aime plus que tout au monde bref toi même tu sais la disquette, viens avec moi, tu deviendras mon époux. ». Izuku accepta. Il l'accompagna dans son royaume et leurs noces furent célébrées avec magnificence et splendeur. Putain si vous savez comme ça me casse les couilles de dire des trucs beaux alors que je déteste ça, c'est chaud comme c'est niais blanche neige en vrai.
Le méchant beau père avait également été invité au mariage.
Bitch what the fuck le mec a tenté de le tuer trois fois et il l'invite quand même à son mariage mdr je pleure de rire c'est quoi ces gens ils sont fous 😭
Après avoir revêtu ses plus beaux habits, il prit place devant le miroir et demanda :
« Miroir, miroir joli, qui est le plus beau du pays ? »
Le miroir répondit :
« Mon cher, le jeune souverain est giga beau, ayez putain de conscience que t'es grave un laideron alors pour l'amour de dieu casse moi mec, j'en peux plus de tes questions de merde. Pourquoi tu me demande pas les numéros gagnants du loto ou j'sais pas moi mais tu casse les couilles. »
L'homme proféra un affreux juron (ptdr comme si ça allait choquer quelqu'un vu toute la merde que j'ai écrit ici) et il eut si peur, si peur qu'il en perdit la tête.
Katsuki et Izuku vécurent heureux et baisèrent beaucoup !
~
OUI JE SAIS C'ÉTAIT ÉNORMÉMENT VULGAIRE CE PUTAIN D'OS DE MERDE MAIS QUE VOULEZ VOUS, JE ME FAISAIS CHIER À MOURIR !
J'espère que vous aurez ri, et que vous avez apprécié le concept, il se peut que je puisse recommencer, avec d'autres contes en tout cas !
Je tenais à vous préciser aussi, que je suis preneuse pour des défis d'OS (genre quand t'impose un vocabulaire et qu'il doit se retrouver dans l'histoire) alors balancez la sauce !
Merci à vous et on s'revoit très bientôt !
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