Un paysage fou

partie non corrigée



Après de nombreuse autre secousses dû au contacte des pieds de la navette et de la terre rouge, les voyageurs se mirent à applaudir chaleureusement. Le pilote descendit de sa cabine, saluât, et réexpliqua à tous la marche à suivre pour sortir. La descende se ferai dans le calme et les passager ferai la queue pour mettre leur combinaisons.


Elle n'était pas nécessaire puisque l'aire était respirable mais ils devaient la mettre par précaution.  Les chercheurs avait mis en place un aire artificiel avec des machines complexes et de grandes plantations d'arbres sous serre.

Ils sortiraient ensuite par une échelle adossé à la navette. Ils suivrai l'équipe de repérage jusqu'à la ville déjà installé qui se trouvait de l'autre côté d'un monticule de terre. A leur arrivé tous serai prêt : Le comité d'accueil, leur maison et leurs biens personnelles. Tous se passa comme prévu puisque, même impatient, les gens étaient resté calmes.


A l'extérieure le paysage était étonnant, rien de comparable se trouvait sur Terre.

Le sol était rouge ocre mais brillait, comme un terrain de tennis en terre battu. L'atmosphère était plus légère que sur terre même si on ne pouvais pas faire de bond aussi impressionnant que sur la lune. Pour le confort des nouveaux arrivants, l'attraction martienne avait été réduite au maximum par les premiers astronautes envoyer sur la planète.

Il y avait des arbres au branches plus foncé que d'habitude, des lacs dans des crevasses et un chemin à peine définit. Tout le monde c'étaient arrêté pour admiré la la vu improbable.


Une fois que tout les passagers furent descendu, le groupe se mit en marche. Ils contournèrent d'abord un lac avant de commencé l'ascension de la bute qui les séparaient de leur nouvelle vie.
En haut, la vu était encore plus incroyable. Tous restèrent sans voix devant les petites maisons en forme d'igloo, les grands bâtiments carrés et les fermes horizontale. Le tout était construit dans les mêmes tons rouges que la terre ou dans les nuances grises du béton.


Ils descendirent la pente avec une impatience grandissante. Leur vie allait être ici, loin de leur planète d'origine.



Arrivé dans la ville ils ne virent personne, pas une voiture, un habitant ou un son suggérant la vie. Lucas, trop occupé à jouer avec un des autre enfants du voyage avec qui il avait très vite accroché, ne c'était rendu compte de rien. Les adulte, eux, commencèrent à s'inquiéter.


On les rassura très vite en leur expliquant que toute les habitants de la ville les attendait dans le grand stade pour la cérémonie d'accueil. Le groupe fit route vers se fameux stade et une fois dans l'entrée ils purent enlevé leur combinaisons. Lucas eu un peu de mal à enlevé la sienne et du être aidé par sa mère.

La famille fut donc la dernière a rentré dans le stade.


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