Comme un fous va jeté à la mer :
"Putain de merde"
Je colle mon front contre la paroi froide de la douche, même si j'ai plutôt l'impression de mettre frapper le front dessus en sentant une douleur lancinante m'irradier le haut du crâne. La sensation dure et glaciale que celas me procure m'offre un décalage frappant avec le liquide brûlant qui vient m'embrasser le reste du corp, je peut presque sentir mon sang entrer en ébullition. Lèvre pendante, souffle douloureux, si je m'écoute, je m'effondre..Je me retiens à la porte pourtant, par principe, pour rester debout, métaphoriquement.
"Laisser moi m'effondrer à en briser le Carlage, bouts de verre éparpiller ramener moi Car glace"
Mes larmes qui se mêlent aux eaux viennent terminer leur course dans le siphon et disparaissent , comme si ma peine n'avait jamais exister, une chose gênante de plus effacer. Mon autre mains sur le robinet, je régule, des flashs défiles devant mes yeux, viennent me frapper par derrière , à chaque fois que je ferme les yeux...Je les vois, tans de visages inconnus, mais familier à la fois, tous défile devant mes yeux, une horde de fantôme.
"Disparaitre, que tu me regarde partir par la fenêtre, puis revenir comme un "fantôme du passé ", m'excuser puis replonger(...)"
Quand la douleur que leurs traits me procure est trop forte, j'augmente la chaleur, quand les mots ne sont plus assez fort pour décrire la vague dévastatrice d'émotions qui vienne m'engloutir mon coeur lynché. Mes pleurs redoubles en même temps que ma tristesse, je ne parviens pas à contenir mes sanglots, alors j'augmente la pression, pour ne pas qu'il les entendes, pour ne pas les entendre. Je lâche soudain la porte pour venir frotter mes paumes contre mes joue avec énergie sale, je me sens sale, je me déteste ! Je me dégoute...Mon reflet me parviens du pomo de douche , et me voir mes insupportable. Je me colle les poings devant les yeux pour tenter d'effacer mes cauchemars, vicieux comme ils sont, il n'ont pas attendues pour venir m'assaillir. Des points de couleur, apparaissent devant moi, je tente de me concentrer sur eux, mais le tourbillion veut m'emporter. Je "détend " mes mains et viens agripper mon cuir chevelue d'une et me caresser la tête de l'autre
"ça va aller" tente je de me rassurer, ma respiration s'apaise un peut, oui, mais les larmes elles ne s'arrêtent pas de couler. Je sans le sang battre dans mes tempes, la fatigue dans mes yeux, la peine dans mes joues et les coups sur mes bras. Mes mains trembles...Mes jambes tremble. L'eaux c'est infiltrés dans mes vêtements, je sens leurs poids peser sur mon corp frêle comme la famine. Je laisse brusquement tombé mes bras le long de mon corp, et reversant ma têtes en avant, les yeux clos , me prenant tous ce liquide brulant en pleine face...Et je hurle. Un son quasiment inhumain jaillit des mes entrailles, pourtant une petit voix me dit "fais pas ça, tu vas le réveiller, arrête ! Il vas encore te réglés ton compte" Mais c'est plus fort que moi, ça dépasse mon entendement , il faut que ça sorte...
Et je cris comme un damné, quelqu'un qu'on conduit sur l'échafaud jusque a men briser la voix, jusque qu'il se fonde en sanglot, encore, en pleure de douleur, de vrais.
"Et elle m'entraine dans leurs valses macabre, mes magnifique idées noire"
Mon regard se voile , une fois que j'ai enfin réussit à me calmer, la tristesse fait place au vide...Au vide infinis et béants de mon âmes, seule truc qui ressors, mes obsession morbide...L'idée de me fracasse la tête contre la vitre me vient, mais au lieux de ça je me contente de la poussé vigoureusement pour pouvoir me libérer de mon "antre". Je traîne les pieds jusqu'au lavabo, me précipitant quand même quelque peut pour venir m'y soutenir, je croise mon regard, je suis le fantôme de moi même, enfin...
"gonfler, bouffis par les médocs, ceux qui soigne tes crises de délires"
"rougis, chauffer, par ces liquides dont tous les jours tu enivre"
"Charcuter, saignant, car tu c'est pas tenir ta langue et que(...)"
Non. Regarde pas, détourne les yeux.
Je continue alors mon chemin, aprés quelque effort déployer pour déclencher la porte de la salle de bain, je prend le chemin de ma chambre, toujours en trainant les pieds comme un damné
"que ce que tu fouter ?" cette voix est un grognement, je ne répond pas. Arrivé devant mon lit je me laisse tombé, trempé et je me remet à pleuré. Vous savez c'est quoi le pire dans tous ça ? C'est que c'est comme ça tous les soirs...Ma main se laisse trainer sur ma table de chevet, mes doigt attrape l'épaisse lame de rasoir et se resserre en point
" Et elle m'entraîne dans le gouffre sans fin de mes envies brutale, mes assassine idée noires"
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