CHAPITRE 9: Elle.
Hey les mielpop's, ça-va? 🌹
J'allais pas vous laissez commencez les cours sans un petit chapitre quand même ! 😂
(Edit: ça s'est bien passé d'ailleurs la rentrée ?)
(EDIT 2: J'ai ajouté quelques détails j'ai pas compris ce que j'avais mal expliqué mais ça m'a fait douter de ce que j'avais écris, juste après la 2e 🂡 ce n'est plus un rêve)
Mais juste, que ce soit la dernière fois vous dites Côme il est obsédé comme 365dni, je vais jamais écrire de telles inepties en fait y'a pas 😂 affaire de obsession je sais pas quoi je suis pas dedans. Lisez et vous verrez pourquoi il veut la dame en fait 😂 !
Je vous laisse avec la suite ❤️
Bonne Lecture! 📖
Xoxo - Iamkunafa. 🍓
🂡
CÔME.
On va voir.
On verra bien.
Au beau milieu de la nuit, la vitesse du véhicule ne m'inquiète absolument pas. J'ai juste une petite haine à calmer. Il faut que ça passe, parce qu'autrement je vais continuer à colérer.
Mais on règlera tout ça plus tard, mon cher paternel.
Il y a un fond de musique à bord de la jeep. Le volume est si bas que mes pensées prennent le dessus. J'aurais certainement dû me changer, et mettre un jean plutôt que d'allier mon bazooka entre mes jambes à un pantalon à coupe droite. En baissant les yeux sur le tissu, une goutte de sang attire mon regard.
J'inspire encore plus de haine, et mon pouce gratte cette putain de saleté.
Rien à faire, il est bon à brûler.
À ma gauche, Ryam roule à 150. J'attends avec impatience qu'une patrouille ose, parler, parler, parler. Avec ou sans la lance-roquette, une liasse bien profond dans la gorge, et c'est reparti de plus belle, 160, 170 et plus si affinités.
Mais non, personne ne nous arrêtera ce soir.
Personne parce que les quatre 4x4 s'arrêtent juste avant le pont qui traverse Calumet River, à Riverdale.
Je cherche cette putain de baraque jaune. La première fois, au lieu d'en brûler un j'aurais dû les réduire en cendre, un par un. Du plus jeune jusque les anciens.
Je protège l'empire, c'est la loi. Je n'ai pas le droit de décevoir ma famille, c'est l'unique interdit que j'ai ici. Honorer les générations qui m'ont précédé. Et il est absolument hors de question qu'un petit gang de rue prenne autant d'ampleur ? Sur mon territoire ? Sous ma responsabilité ? Ça serait une honte, Côme.
Et tu n'as pas envie de faire honte au King, n'est-ce pas ?
Pourquoi laissais-je des parasites faire de l'ombre à nos business ? À mon business, parce que c'est à moi qu'il revient.
Une fois, j'ai averti, inutile de prévenir mon père, je règle cette affaire, je règle le cas de la fille, et ensuite règle ce petit différend avec mon paternel. L'histoire s'arrête ici, et vous trouverez quelqu'un d'autre à lire.
La haine sur ma peau m'a fait oublier ma veste. Mon col roulé ne me protège pas totalement du froid, mais je ne pense qu'à lui. Faire brûlé son crâne une fois pour toute et passer à autre chose. J'ai horreur des petits problèmes de convenance comme ceux-là, j'aime qu'ils soient réglé rapidement, j'ai plus gros à m'occuper, j'ai plus d'argent à foutre dans les coffres des voitures de luxe, plus de pouvoir a assoir, pour dire aux autres d'aller se faire foutre. Pour dire aux autres que personne ne prendra ma place.
Et je sais qu'elle leur fait envie.
— Boss.
La voix d'Alexander me concentre sur la rue déserte, mon regard se focalise sur ce qu'il me montre du doigt.
À mesure que mes pas amenuisent la distance entre cette maison jaune et moi, je vois, mis sous la lumière de la lampe du porche, mon tableau.
Ouais, mon putain de tableau, celui à douze millions de dollars. Par terre, douze millions sur le sol sale de Riverdale, sagement appuyé en contrebas sur la rembarre de l'escalier.
D'un geste de la main je commande à mes hommes de s'arrêter. Et ils s'arrêtent tous.
Et je le sais déjà, c'est trop calme.
— Les autres sont déjà sur les toits, j'espère.
Ryam active son talkie-walkie et pose la question. La réponse arrive très vite.
"On est posté."
Je recule de quelques pas en arrachant des mains le talkie.
— Qu'est ce que vous voyez ?
"Il n'y a personne, boss."
J'ai grandement envie de prendre de tableau, mais il m'est offert sur un plateau d'argent je n'y crois pas. Il n'y a personne dans cette maison.
Personne.
Je sais que c'est un piège. Je l'ai compris quand j'ai préféré m'énervé plutôt que de comprendre, comment, pourquoi quelqu'un aurait osé volé mon putain de salaire à douze millions ?
Donc, il y a une taupe dans mon équipe. Et je le savais en plus, mais Côme tu aimes trop la colère, alors te voilà. Parce que jamais au grand jamais que je comptais perdre ma soirée avec les Ruíz ce soir, ça s'est décidé, après que la fille m'ait mit sur la piste. Alors à moins qu'elle soit des leur et une excellente comédienne, quelqu'un les a prévenu.
Je sens un frisson froid parcourir mon corps. Un frisson qui congèle mon estomac, un soupçon de déception, soupçon d'excitation... Parmis la quinzaine d'hommes à mes côtés... Lequel est le coupable ? Peut-être qu'il n'est même pas avec nous. Peut-être que c'est encore pire que ce que je pense. Peut-être qu'ils sont tous coupable. Et d'un coup, je ne le sens plus du tout. Là, ici, ça va partir en couille !
Ryam me regarde, l'air de se demander ce qui me fait tant cogiter.
— Boss ?
Mais tout ce que je sens en le regardant, c'est la le métal sous ma paume.
Quelques secondes, j'ai levé le bazooka en même tant que j'ai appuyé sur la détente.
Derrière-lui, sous son regard tétanisé, la roquette à fusé sur les toits en face.
L'explosion à créé un champignon de feu au dessus de la maison de je ne sais quel batard. La force de la déflagration s'est projeté sur nous en même temps que la maison est devenue si lumineuse à cause des flammes qu'on se croirait en fin d'après-midi ! Ouais il y a une putain de taupe permis les miens ! Il y a un putain de traitre ! Et j'espère que le bazooka l'a fait griller ce soir !
Mais je suis tombée sur les fesses moi aussi. Non pas par la force de l'impact, j'ai tout de suite compris que c'était parce qu'une putain de balle m'a effleuré le flanc gauche !
— CASSEZ-VOUS !
J'ai hurlé à m'en faire mal à la gorge, j'ai posé ma paume sur mon torse, c'est superficielle. Mais il va falloir que je traite ça. La pression monte dans mon cerveau, les hommes se mettent à courir vers les voiture, c'est la main d'Alexander qui me soulève, j'en suis même surpris de sa présence, et c'est lui aussi qui tire le premier vers les toits d'en face.
Et malgré tout ça, j'ai récupéré mon putain de tableau. La languette du bazooka m'a contourné l'épaule, j'ai pris appui dessus pour faire fumer cette baraque jaune de mes deux.
Deuxième bombe au milieu de la nuit explose la maison.
Et maintenant, avec la musique de ces balles qui ne m'aident pas à savoir d'où viennent les tirs, qui tire, pourquoi on tire, je me suis mis à courir avec les hommes qui m'attendaient là. J'en ai vu deux, noyé dans la flaque de leur propre sang.
Ça fait longtemps que ça ne me touche plus. Très longtemps.
Ryam m'attendait, je pense sincèrement qu'il pourrait mourir ici. Comme tous ceux qui sont là en fin de compte. Je laisse les flammes s'occuper des murs des Ruíz, et je sens que je n'en ai pas fini avec eux.
En fuyant les lieux, pour rentrer dans mes planques à Chicago, j'ai la bonne sensation que ça ne fait que commencer avec cette putain de famille !
🂡
Quelques heures plus-tard.
Immeuble des King.
Chicago.
— Côme...
Je sais.
— Côme.
La chaleur...
— CÔME !
J'ouvre les yeux en sursaut. J'inspire c'est féroce.
Souffle court.
Je reste tétanisé sur ce lit. Paralysé. Je sens mes poumons gonfler à la vitesse de ma panique. Mes yeux se rivent aux plafond. Longuement, je détail la charpente le temps que je reprennes les droits sur mon corps, je ne parviens pas à bouger. Mon coeur me demande de l'aide mais c'est mon cerveau qui à choisit: panique et cauchemars.
Qu'est-ce qu'il se passe ?
Ça fait 2 ans que je n'ai plus refait ce rêve...
Pourquoi maintenant ? Pourquoi maintenant ce rêve ? Pourquoi ? Putain pourquoi ? Pourquoi elle maintenant ?
— H-hum... murmure une voix à côté de moi.
J'ai haut-le-coeur phénoménale, j'ai voulu tendre le bras pour prendre mon arme sur la table de chevet.
Mais un claquement de la langue d'un homme cagoulé m'a interdit de continuer mon geste, je suis contraint encore une fois à l'immobilité. Il y a un homme cagoule dans ma chambre. Il y a un putain de fils-de-pute cagoulé dans ma chambre, juste à côté de moi !
C'est parti, mes palpitations cardiaques sont démentielles. Il fait toujours aussi noir. Après avoir récupéré mon putain de tableau chez les Ruíz, nous sommes rentré dans mes immeubles à Chicago. Je n'ai rien voulu savoir, je suis monté dans ma chambre à l'étage. J'avais besoin de penser, mais le sommeil m'a pris. Je n'aurais pas dû m'endormir, je n'ai jamais voulu dormir ! Qu'est-ce qui me prend putain !
Mes yeux fixent ce qui se passent devant moi.
Je me tais. Le visage de marbre, j'attends de me décider, je n'aurais pas beaucoup de temps. Mais s'il voulait me tuer, il l'aurait fait pendant mon sommeil. Donc ce n'est pas moi qu'il veut ?
Qu'est-ce qu'il veut ?
Alors le dos enfoncé dans mes draps, je me sens collant par l'éprouvante du cauchemar qui m'a réveillé. J'essaye de réguler ma respiration, analyser la situation. Mais mon cerveau est pleins d'image du passé, je n'arrive pas à me réveiller complètement. Fais quelque chose !
Devant moi il y a un danger imminent, mais j'entends quand même ses hurlement dans mes oreilles qui me hantent depuis des années et des années et m'empêchent de réagir en conséquence. J'ai comme cette impression d'être dans une transe immense entre rêves et réalité, mais c'est la réalité, tu ne rêves pas Côme !
Mais bouge putain ! Bouge !
Et elle est là elle aussi. Mariposa. Debout en face de moi, sous l'emprise de l'homme à la cagoule. Des larmes incontrôlables sur son visage mate cachent ses taches de rousseur. Et ses yeux noisettes me fixent moi. Comme si je pouvais faire quelque chose pour elle. Mais peu importe ce que je décide, je le ferais d'abord pour moi.
Jamais pour toi Mariposa.
Mariposa, hein.
Ouais... C'est ça. Et Mariposa, à le canon d'un glock sur sa tempe.
Et toujours ses mêmes vêtements dégueulasse sur elle.
Et maintenant mes yeux jonglent sur l'homme cagoule derrière elle. La masse des cheveux bouclées de la fille m'empêchent presque de voir le visage du traître. Je ne sais pas ce qu'il attend de moi, mais plus le temps passe, plus je comprends que je suis en train de me faire baiser, profond, quelqu'un dans mon équipe est en train de me baiser... Et quand mon père va savoir ça, ça créera encore plus de haine entre lui et moi.
Et tu n'as pas envie de faire honte aux tiens...
N'est-ce pas Côme ?
Mais ce n'est pas moi qu'il va buter le premier, c'est elle.
Mes pensées sont totalement désorganisées, un coup je pense à elle, un coup à Mariposa, puis mon père, mon frère, la famille, la trahison.
Question de seconde avant qu'explose sur le paquet, la cervelle de la fille. Question de petites seconde. Je le vois, la main de l'homme enfonce le block contre sa peau, il serre sa gorge, elle essaye de lui retirer le bras qui l'étouffe, il va la buter !
Ça tourne dans mon crâne, si je me lève, il va tirer, je le vois dans ses yeux noirs. Mais pourquoi ? Pourquoi faire putain ? Pourquoi !? C'est quoi le rapport avec elle ? Avec lui ? A moins que les Dìaz aient plus d'ennemis que je ne le pensais ? C'est quoi le rapport ?
— Pourquoi ?
Je n'ai pas pu m'empêcher de le demander.
— S-s-il-vous-p-pl-...
— Ferme-ta-gueule, Mariposa, je m'adresse au gentil monsieur.
Elle à fermé sa gueule.
Et j'ai appuyé sur la gâchette. Elle a crié à m'en briser les tympans putain ! Sa voix aiguë m'a surpris.
Je l'ai mitraillé du regard en me redressant tellement sa voix m'a traumatisé.
— Boucle-là, prononçais-je à voix basse.
Je tente de maitraiser ce semblant de rage qui m'anime depuis que je suis revenue aux États-Unis avec mon père.
Quand le corps de mon traitre s'écroule je me suis fait la réflexion que c'est pour ça que parfois, j'aime bien l'ouvrir aussi. Je ne vais pas vous la jouer Batman, à parler très peu, c'est faux. Un homme dans le business doit aussi savoir l'ouvrir. Et je parle, je parle, je parle pour vendre mes business. Et comprendre.
Mais plus rien n'a de sens ce soir ?
Je sens mes paumes tremblantes quand j'ai tiré le poignet de la fille. Elle est tout aussi en transe que moi. C'était vraiment moins une cette fois-ci c'est pas passé loin putain ! Mais qu'est-ce qu'il se passe !? Mais qu'est-ce qu'il se passe !?
En sentant la peau de la fille, je me suis dis, qu'elle est tellement docile que j'en ai presque l'impression qu'elle est conne. Parce qu'à sa place, je me serais déjà enfuis, au moins une bonne douzaine de fois. Mais elle, elle reste là, planté sous mon emprise comme si je n'allais pas être la cause de sa mort future.
Sans lâcher son poignet, je me suis baissé vers l'homme à cagoule.
Je ne reconnais pas son visage en enlevant la laine sur lui. Je fouille ses poches et trouve mon téléphone que j'avais laissé sur ma table de chevet ainsi que des clés de voiture.
Il y a une chose que je me demande, c'est pourquoi personne d'autre ne passe le pas de ma porte alors que je viens littéralement d'utilisé mon arme ? J'ai la grande impression d'être le seul humain sur cette terre. Et la seule qui m'accompagne est la seule que je suis prêt à égorger tout de suite.
— Vous l'avez t-tué... Vous l'avez tué !
Comme si je n'étais pas au courant ! D'ailleurs c'est toi la prochaine sur ma liste. Je ne prends même pas la peine de répondre. Elle me donne une flemme immense, je n'ai aucune envie de débattre avec ses foutaises.
— Je vous ai t-tout dit ! Ne me faites pas de mal ! Je vous en prie !
Elle a tiré sur son poignet. Ça m'a suffit pour me redressé, quand elle à penché la tête en arrière pour me regarder je me suis vraiment demandé qui avait éduqué ce pauvre petit papillon en détresse.
Parce que tu n'as aucune ailes Mariposa.
Son visage son sombre à cause de la nuit. J'analyse son visage rond, l'envie de ricaner me prend. Mais je me contiens je sais que mon air n'a pas l'air méchant parce qu'autrement elle ne soutiendrais son regard pas aussi longtemps dans le mien. Je préfère tempéré, avant de péter un plomb sur elle et exploser son petit nez trompette contre le premier mur que j'aurais croisé. Elle pleure tout le temps, vraiment tout le temps. Et ça mouille ses taches de rousseurs situé sur son nez et ses pommettes, le genre de taches brunes, le genre des personnes qui ont la peau mate.
— Comment tu es arrivée ici ?
J'ai commencé à avancer. En tenant sa poigne elle m'a suivit quand même.
— Il-il a ouvert la porte... Et-et il m'a dit, de le... suivre.
— Comment ?
— Q-quoi ?
L'arme à la main, j'ai sorti le bout du nez avant de m'aventurer hors de ma chambre, mais j'étais sûr, d'être seul. Malgré ma surveillance, nous avons descendues les marches assez rapidement, je n'avais ni chaussures, ni t-shirt, juste un jogging qu'il me restait dans un placard que j'avais mis avant de m'effondrer sur ce lit.
J'ai cherché le numéro de Ryam dans mon téléphone, et très vite les tonalité ont vibrer dans mes oreilles.
— Comment il est entré ?
— Avec... Une clé.
Je me suis arrêté. Lentement je me suis à paniquer.
Mon regard à trouvé le sien. Le téléphone tombe sur répondeur. Elle a reculé d'un pas, par réflexe j'ai vu la paume de sa main droite se positionner devant moi. Pour se protéger.
Je pensais qu'elle était docile, c'est faux, elle est totalement tétanisée. Et c'est pour ça qu'elle m'obéit. Elle tremble de partout, et elle a des éclaboussures du sang de l'autre mort sur le visage et le reste du corps. Maintenant elle tire sur ses petits bras si faibles, je me rends compte à l'instant qu'elle inonde encore ses joues de larmes. Sa main libre essaye d'enlever mon poing de sa peau. J'ai vraiment l'impression que c'est qu'une gamine idiote. Mais je n'arrive pas à y croire, personne n'est innocent à ce point, ici-bas je n'y crois pas une seule seconde.
— Je vous en prie... Laissez-moi partir ! Je vous en supplie ! Je vous ai tout dit !
Oh, un peu de colère.
Je rappelle Ryam, mais je tombe directement sur la messagerie. C'est à n'en rien comprendre. J'ai l'impression que ma réalité se dérobe sous mes pieds ? Ce lieu n'est jamais, jamais, jamais inhabité.
Mais je regarde autour de moi, mon coeur est dans une panique intense, parce que j'ai du mal à comprendre la solitude qui m'entoure.
Comment on m'explique qu'il n'y absolument personne autour de moi ? Aucun bruit, si ce n'est les gouttes de l'évier dans la cuisine qui rythme ma tétanie. Il n'y a rien.
Où sont mes hommes ? Où est mon business. Et pourquoi personne ne me répond au téléphone !?
Mes pas nous mènent à l'extérieur. Une brise fraiche hérisse tout de suite mes poils, je sens le vent se coller sur mon torse, et mes chaussettes sont trop fines pour ne pas sentir le gravier sous mes pieds. Je ne pense pas que parler des soulèvements de mon coeur soit très pertinent ce n'est pas le cas. Je suis dans une intense peur d'avoir tout perdu et surtout de ne rien comprendre à ce qui se passe !
J'ai vraiment, vraiment envie de péter un plomb. Et c'est pour ça que quand je tombe sur les messageries de mes hommes, je me sens ricané.
Ma seule réalité, c'est le poignet de la fille, rien d'autre, je sens ses petits bracelets contre ma peau. J'avance vers la seule voiture qui reste planté au milieu de ma route.
Je rappelle une nouvelle fois Ryam, je rappelle Alexander, je rappelle Sage, je rappelle tout mon putain de cartel.
J'entends ses pleurs à elle.
Mais la tonalité derrière le téléphone me reste sans réponse.
🂡
Backup Account: ikunafa
𝐢.𝐚𝐦𝐤𝐮𝐧𝐚𝐟𝐚 𝐬𝐮𝐫 𝐈𝐧𝐬𝐭𝐚𝐠𝐫𝐚𝐦
(Du coup édit: 🥲 C'est les chapitres comme ça qui me font dire que je crois que je sais pas écrire. Ils sont parti chez les Ruíz, pour récupérer le tableau. C'est fait, et ils sont retournés dans leur planque à Chicago celle décrit dans le chapitre juste avant par Alexander... Y'a eu une petite ellipse et Côme dormait dans sa chambre 🥲... Je ne sais pas où j'ai mal expliqué ?)
En espérant que ça a plu 🌷 !
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top