Shū x *vampire* reader (Diabolik Lovers)
Pour _Laura15_ en espérant qu'il te plaise ;-)
Bonne lecture ;-)
Important!!!
Dans l'histoire, si deux vampires boivent en même temps le sang de l'un et de l'autre à leur cous respectifs, alors ils scellent leur destin ensemble et ils deviennent âmes sœurs.
Toi, (YN) (FN) connaissais Shū depuis votre naissance. Tes parents étaient extrêmement bien placés dans l'aristocratie et résultat, ils étaient les meilleurs amis du roi. J'ai oublié de préciser, tu es une vampire de sang mûre depuis ta naissance, comme ton meilleur ami. Vous aviez l'habitude de vous voir chaque jour sans exception car étant l'ainée de ta famille, tu te devais d'être parfaite.
C'est pourquoi ta mère t'emmenai au manoir Sakamaki afin que tu travailles avec leur fils aîné qui devrait succéder à son père. Étant tous les deux très seuls, vous vous évadiez souvent hors du manoir afin de pouvoir vivre des aventures auxquelles les enfants normaux de votre âge jouaient sans arrêt afin de vous divertir. Seulement aux yeux des autres vous n'étiez pas « normaux », vous étiez le futur roi des vampires et la future comptesse (FN) voir même reine des vampires.
Toi et Shū aviez développé un lien extrêmement fort, qui vous permettait de sentir lorsque l'autre n'allait pas bien ou qu'au contraire il était joyeux comme tout. Au lieu de devoir exposer vos maux en face de tous ces adultes qui vous tournaient toujours autour, vous n'aviez besoin que d'un seul regard pour vous comprendre : c'est pourquoi vous faisiez un duo de choc lui et toi.
Lorsque vous arriviez à vous échapper du manoir, vous vous rendiez souvent dans la forêt où vous jouiez pendant des heures et des heures ensemble. Cette période de votre vie étaient à vos yeux à tous les deux, la plus belle que vous n'ayez jamais connu depuis votre naissance. Vous passiez votre temps à rigoler et à vous épanouir lorsque vous passiez du temps en la compagnie de l'autre.
Cette façade était celle de derrière votre quotidien qui était terriblement dur à supporter : deux aînés destinés à un grand futur. Ces deux personnes devaient être prêtes à assumer leur responsabilités, quoiqu'il en coûte, peu importe si il fallait sacrifier leur enfance aux yeux des parents ils devaient avoir le niveau et ne manquer à aucuns de leurs devoirs.
Et ces deux personnes sacrifiées étaient vous. Alors même lorsque vous deviez passer des jours et des jours à étudier sans relâches, vous arriviez toujours à voir la lumière dans toute cette obscurité : vous étiez ensembles et c'était le plus important car tous les deux réunis, vous étiez plus forts. Physiquement et mentalement.
Mais arriva un jour que vous redoutiez plus que tout : l'heure de la séparation. Lorsque vous étiez allés en forêt, un incendie s'était déclaré et vous avez faillis y rester alors au lieu de s'inquiéter pour vous, vos parents décidèrent si de couper vos liens net. Alors du jour au lendemain, le soutien que tu représentais pour lui et celui que lui représentait pour toi s'étaient tous les deux envolés.
Résultat votre vie était devenue plus rude, plus fade, plus triste et surtout plus solitaire que jamais. Vous aviez toujours chéris l'espoir qu'un jour, vous pourriez vous retrouver et alors, ce jour-là, tout rentrerai dans l'ordre. Vous seriez de nouveau réuni autrement que dans vos rêves où vous imaginiez votre futur comme vous revoyiez votre passé commun.
C'était votre plus grand souhait à tous les deux mais il ne se réalisa jamais, pas avant une dizaine d'années qui vous parurent plus longues que l'éternité elle-même. Vous ne ressembliez en rien à ce que vous aviez put être auparavant : lui avait grandit et était devenus beaucoup plus fort et beau qu'avant. Toi, tu avais également grandit et tes (LC) cheveux (CC) ainsi que tes yeux (CY) faisait ta renommée.
Vous étiez tous les deux convoités par le sexe opposé au votre et pourtant, vous ne voyiez que par l'être qui vous manquait tant. Mentalement, tu étais restée identique à la (YN) de ton enfance, joyeuse et souriante. Tu étais bien plus intelligente qu'avant et connaissais l'étiquette à la lettre tellement tu avais eus le droit à des cours quotidiens sur celle-ci.
Tu avais essayé de maintenir le contact avec ton meilleur ami en lui envoyant des lettres mais visiblement, il n'avait jamais daigné te répondre ou bien il ne les avais jamais reçues. Tu étais triste car sur ces simples bouts de papier, tu mettais tout ton cœur et tes sentiments, lui exprimant tout ce que tu ne pouvais pour lui dire en face.
Afin de te récompenser et de palier le manque que tu ressentais et que tu exprimais haut et fort chaque jour, ton père décida de t'envoyer dans le même lycée de nuit que ton meilleur ami d'enfance. Seulement, 10 ans s'étaient écoulées alors même si toi tu n'avais pas changée, ce n'était pas forcément son cas à lui. C'est pourquoi tu te mis à stresser : peut-être qu'il n'était plus du tout le même que tu avais connu et qu'il ne voudrais plus jamais te revoir ?
Après tout, c'était toi qui avais eus envie d'aller en forêt ce jour-là alors il serait normal qu'il te tienne pour responsable du calvaire qu'il avait dût vivre suite à cela. Connaissant sa mère, il avait dût souffrir, peut-être même plus que toi. C'est donc avec la boule au ventre que tu pénétras dans ton nouvel établissement scolaire de nuit.
Ton père avait bien sûr fait le nécessaire pour que le fils du roi et toi souriez dans la même classe, il ne fallait pas abuser non plus. Alors lorsque tu toquas tout doucement à la porte de ta salle de cours, tu pus voir ta main trembler par l'excitation et l'adrénaline qui brûlaient en toi à ça moment-là. Ton professeur te fis entrer et te demandais de te présenter devant toute la classe, depuis l'estrade.
Avec tous les entraînements dont tu avais bénéficiés, tu étais devenue une excellente oratrice c'est pourquoi des l'instant où tu ouvres la bouche pour parler, tout le monde se tut afin de t'écouter. Durant ton discours, tu n'avais pas lâché du regard la table se situant dans coin à gauche de la salle, tout au fond de celle-ci. Shū s'y tenait avec son lecteur de musique accroché au cou et lui non plus ne te quittait pas des yeux.
Le professeur t'installa à côté de lui pour ton plus grand bonheur mais visiblement pas le sien car au moment où il entendit cela, le blond baissa la tête et soupira te faisant mal au cœur. Tes craintes étaient sûrement justifiées vu ce qui venait de se produire...
~ellipse de la matinée~
La pause venait enfin de commencer et lorsque je voulais sortir de la classe, une main me saisit le poignet et me tira dans la salle de musique à une vitesse vampirique. Vu l'endroit tu n'avais même pas besoin de lever la tête pour savoir qui venait de t'y escorter. Il claqua et ferma la porte à clé afin que vous ne soyez dérangés par personne. Il se rapprocha de toi alors que tu venais de poser ton sac au sol et il t'entraîna dans une étreinte puissante et ferme.
Tu avais beau être une vampire, tu avais malgré tout le sang chaud, une première depuis des millénaires dans l'histoire des vampires, et Shū adorait te faire des câlins depuis l'enfance car tu lui tenais chaud. Il s'était allongé au sol et t'avais positionnée à l'horizontale sur son corps te serrant toujours contre lui.
« Bonjour (YN). » t'avait-il simplement dit en hurlant l'odeur de tes cheveux.
« Bonjours Shū. » lui avais-tu répondu, la tête dans son cou entrain de renifler son odeur de peau qui te rendait folle.
« Tu m'as manqué, tellement. » avait-il rajouté en contractant les muscles de tout son corps, te collant donc encore plus près de lui si c'était encore physiquement possible.
« Toi aussi tu m'as manqué, j'ai l'impression de ne pas t'avoir vu depuis une éternité et visiblement tu ressens la même chose je me trompe ? »
« Tu ne te trompes jamais lorsqu'il s'agit de moi hime-chan. »
« J'aime. »
« Hum ? »
« Le surnom, j'aime. »
Il pouffa et au lieu de passer tout votre temps à vous rançonner ce que vous aviez manqué de la vie de l'autre, vous restèrent dans cette position toute la pause, t'endormant même sur lui avec un de ses écouteurs dans l'oreille. Tu te sentais plus apaisée que jamais et tu aimais cette sensation de protection que t'offrait ses bras, lui en profitant pour te voler un peu de ta chaleur corporelle qui le détendait tant.
« Toujours aussi chaude n'est-ce pas ? »
« Avoues que cela t'avait manqué. »
« J'avoue. »
« Tu as changé Shū. »
« En bien ou en mal ? »
« Je n'en sais rien honnêtement. Je suppose que ton changement ne peut-être que bien dans la mesure où je suis encore dans tes bras à me reposer mais il y a quelque chose qui n'est plus comme avant lorsque je te regarde et je n'arrive pas à savoir ce que c'est. »
« Moi je le sais. »
« Éclaires-moi alors. »
« Mon amour pour toi. » à l'entente de cette phrase tu te redressas subitement, plaçant ton visage juste au dessus du sien et tes mains de chaque côté de celui-ci.
« Qu'est-ce que tu viens de dire ? »
« Tu le sais parfaitement bien. »
« Tu délires, tu as assez dormis ? Tu es au courant que tu ne rêves pas en ce moment ? »
« Je sais très bien ce que je viens de dire et c'est à vérité, (YN) je t'aime et je ne veux plus que l'on soit séparés ! Dorénavant toi et moi nous ne faisons plus qu'un. »
Tu regardes Shū dans les yeux et t'aperçus qu'il étais plus que sérieux alors tu n'attendis pas plus longtemps et fondis sur ses lèvres. Lui se redressas et plaças ses mains sur tes hanches afin de te resserrer contre lui. Votre baiser était langoureux, passionné et rempli de sentiments. Vous vous aimiez réellement et c'est ça qui était le plus beau : enfants vous n'aviez pas pris conscience de ces sentiments que vous éprouviez l'un envers l'entre et pourtant, lorsque l'on vous a séparés vous en avez tout de suite pris connaissance et c'est ce qui a rendu cet éloignement si compliqué.
Par la suite, vous êtes retournés en cours et tu es restée dormir chez les Sakamaki, pour leur plus grande joie car tu leur avais manqué mais résultat, tu avais eus le droit à une crise de jalousie de la part de ton chéri...au moins tu ne serais pas la seule jalouse dans cette histoire. Tu ne te moquas pas le moins du monde de lui et tu courus dans ses bras en t'excusant immédiatement même s'il ne s'était rien passé. Tu refusais qu'il se sente mal alors tu désamorças le problème vite fait bien fait.
Lui avait été heureux de ta réaction, il avait put constater que tu étais toujours aussi attentive à ses sentiments qu'avant et il aimait ça, il aimait plus que tout que tu te préoccupes de lui. Croyez-moi il était bien tombé car pour le coup, tu en avais de l'amour à revendre et tu comptais bien tout lui donner inconditionnellement.
~ellipse de 6 mois~
Ce soir avait lieu un bal au château du roi et ton chéri comptait bien te présenter à son père comme sa petite-amie et non plus comme sa simple meilleure amie d'enfance. Ayant été briefée toute ta vie sur la façon dont il fallait se comporter dans ce genre de réception, tu devais avouer que tu ne stressais pas trop et que vu que Shū étais à tes côtés, tu étais encore moins anxieuse à l'idée d'être seule.
Tu t'étais mise sur ton 31 : une magnifique robe (CR) qui t'allait à ravir et qui mettait en avant tes formes. Elle était décollée et près du corps jusqu'en dessous de ta poitrine puis elle devenait évasée et descendait jusqu'à mis-mollets. Tu avais mis de très hauts talons à plateforme afin de te grandir et rattraper un peu ton amoureux qui te dépassait largement en terme de hauteur (même si lui ça l'arrangeait bien parfois).
Tu portais un collier serti de diamants que tu avais reçu de tes parents pour ton anniversaire et arborais un maquillage assez simple, axé surtout sur ta bouche rosée. Tu devais rejoindre ton chéri là-bas car il avait dormi chez son père afin d'accueillir tous les invités. Tu arrivas assez tôt afin de pas le laisser seul trop longtemps et une fois que tu te trouvais en haut de l'immense escalier surplombant l'assemblée, tout le monde n'ait plus d'yeux que pour toi.
Shū ne te laissa pas le temps de descendre une seule marche qu'il s'excusa auprès de ses invités et vint te rejoindre afin de t'aider à descendre : vu la hauteur de tes talons, il refusait que tu tombes. Si il savait le nombre de cours que tu avais reçu afin de savoir marches avec n'importe qu'elle paire de chaussures, il ne s'inquièterait pas l'ombre d'une seconde. Enfin si, ça restait Shū après tout.
Il passa donc un bras autour de ta hanche afin de te coller à lui et il descendit les marches avec toi, retournant à ses obligations d'héritier du trône. Sauf que maintenant tu étais là alors tu pouvais participer à ton tour aux conversations, les rendant d'autant plus vivantes et intéressantes. Entre temps, il t'avais glissé de magnifiques compliments sur ta tenue et sur combien il était heureux de te savoir ici avec lui.
Puis vint le fameux moment de la soirée, le roi s'approcha de vous et l'orsqu'il vit la manière avec laquelle son fils te tenait, il se doutait bien de quelque chose que toi même tu ne savais pas. Tu t'inclines respectueusement en le votant et parla un moment avec lui même si Shū parlait le plus. Il avait l'air ravi pour vous et vous laissa continuer de profiter de la soirée.
« Tu veux danser ? » te demanda gentiment ton chéri.
« Mon cœur, je ne suis pas très douée... »
« Ce n'est pas grave, laisse toi faire et tu verras tout se passera bien. » te rassura-t-il en t'amenant au centre de la piste de danse.
Il te colla à lui, posa une de tes mains sur son épaule tandis que lui la plaça sur ta hanche. Il liât vos deux autres mains ensemble et te vit valser jusqu'à minuit, ne te quittant jamais des yeux. Puis lorsque la musique s'arrêta finalement, il te fit un petit bisous sur ta joue, te sourit tendrement et t'emmena en haut de cet immense escalier. Le roi fit taire tout le monde et toute l'assemblée de tourna vers vous : tu avais raté un épisode apparement...?!
Tu regardes ton chéri qui d'un regard te rassura et d'un geste, il te recolla contre lui plaçant ton dos contre son torse afin que tout le monde puisse t'admirer.
« Chers invités, je tenais à vous présenter à toutes et à tous cette jeune femme ici présente à mes côtés. Son nom est (YN) (FN) et elle deviendra sous peu (YN) Sakamaki, votre future souveraine et mon épouse. Je tenais à le faire dans les règles, ici et devant vous afin qu'aucun ne soit pris au dépourvus. »
Il te retourna vers lui, vous plaça de profil à toute cette foule et s'approcha de ton oreille :
« Je n'ai as besoin de te demander si tu veux partager ton éternité avec la mienne si ? »
Il te regarda et tu étais tellement bouché bée par ce qui était en train de se passer que tu ne répondis même pas, lui causant un petit sourire en coin que seul toi pus apercevoir. Tu savais que tu devais le laisser commencer car il était celui qui était le plus haut place entre vous deux.
« Magnifique idée tes talons ma chérie. »
Il s'approcha de ton cou et le huma, comme lors de vos retrouvailles. Il t'embrassa tendrement, te léchais l'endroit de ton cou puis te mordit la peau tout aussi tendrement, enfonçant ainsi ses crocs dans ta chair. Il ne bu pas de ton sang car il devait attendre ton consentement soi, le même geste venant de toi sauf que tu devais seulement le mordre. Ce que tu fis sans hésiter après lui avoir embrasser la peau. C'est alors que vous unîtes vos âmes et vos éternités ensemble : peu importe ce qu'il vous arrivait à partir de maintenant, vous vous retrouveriez toujours et vous souviendrez à jamais de tout ce qui a bien pu se passer avant.
Les gens vous applaudissaient tous et lorsque vous relevâtes vos têtes, vous vous embrassâtes avec amour tenant le visage de l'autre en coupe dans vos mains. Alors il sortit de sa poche une petit me boîte qu'il ouvrit et dont il en sortit le contenu : une magnifique bague sertit de diamant mais surtout : un saphir aussi bleu que ses yeux trônait en plein milieu de celle-ci.
Il la fit lentement glisser à ton annulaire gauche et te sourit en vous sortant de la salle sous les applaudissements. II te porta comme une princesse jusqu'à sa chambre royale et te déposa sur le sol en face de lui. C'est toi qui pris l'initiative de le prendre dans tes bras tellement tu avais crus que tu allais t'effondrer au sol à cause de l'émotion. Tu pleurais contre son torse et lui te releva le menton de ses deux doigts :
« Qu'est-ce qu'il t'arrive mon amour ? »
« Rien, je t'aime et je ne pensais jamais que tu allais faire ça un jour c'est tout. »
« Dix ans que je t'attendais, je n'allais pas patienter encore un siècle ! Je te connais assez bien pour savoir que je veux que tu sois la mère de mes enfants et la femme qui m'épaulera lorsque je régnerait. »
Tu l'embrassas timidement au coin des lèvres, le frustrant.
« C'était quoi ça ?! »
« Un bisous pourquoi ? » demandais-tu innocemment avec un ton de joueuse.
« Je vais te montrer ce que c'est un bisous moi tu vas voir ! » dit-il narquoisement en se léchant les lèvres.
« Ha!! »
~end~
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