Seijuro x reader partie 3 (kuroko no basket)
Suite des deux autres parties ;-)
J'avais stressé toute ma nuit me demandant bien ce qu'il pouvait avoir de si important à me dire. La matinée était passée assez rapidement, ne me laissant pas le temps de cogiter sur ce qu'il pourrait bien se passer ce midi. Lorsque la cloche sonna, je me levai rapidement et me dirigeais sur le toit sachant pertinemment qu'il m'attendrait là-haut. Ce matin-là, nous n'avions pas les mêmes cours étant donné que nos professeurs avaient partagé notre classe en plusieurs groupes.
Je m'étais donc dirigée vers le toit en prenant les escaliers et je ne m'étais pas trompé, il était dos à moi, en train de regarder la cour et les étudiants. Il se tourna vers moi et me sourit même si je pus brièvement deviner une expression de tristesse le traverser.
« Alors Sei, qu'as-tu de si important à me dire ? »
« Je voudrais que tu t'assoies près de moi s'il te plaît, ce que je vais te dire m'ai assez difficile alors j'aimerai que tu m'écoutes attentivement.»
Je l'avais rejoint en déglutissant difficilement le rendant compte que la chose était vraiment plus sérieuse que ce que je pouvais imaginer vu le t'ont qu'il employait en ce moment même. Il était à ma droite et serrait ma main dans la sienne afin que le regarde dans les yeux.
« Mon père m'a annoncé que je devrai partir à l'étranger à la fin de cette année, afin que je puisse apprendre parfaitement le métier et que je puisse reprendre son entreprise. »
J'avais reçu un tel chose que j'aurai pus en tomber dans les pommes. Cela veut dire que je ne l'aurai plus près de moi?!
« Je vais donc m'en aller à la fin de cette année mais ce n'est pas pour autant que j'oublie mon défis. Je te ferais mienne quoi qu'il m'en coûte car mes sentiments sont réels mais je voudrais savoir si toi tu pourrais m'attendre, attendre que je revienne près de toi ? »
En soi, si je lui disait non ce serait mentir car je savais que je l'aimais. Mais si je lui disais oui, c'était à la fois le laisser gagner mais aussi me voiler la face envers son père.
« Je suis sure que je pourrais t'attendre mais le problème n'est pas là et tu le sais très bien je te l'ai déjà dis ! »
« Alors si tu n'as pas de problème avec ça, il n'y en a absolument nulle part. Mon père t'a adoré et je voulais que tu le sache. Il voyait en toi ma mère et l'histoire qu'ils ont tous les deux vécus des années en arrière. Rien ne m'arrêtera et il ne me reste que quelques mois avec toi alors arrêtes de me faire attendre pour rien. Tu te fais souffrir et moi aussi par la même occasion! Tu m'aimes et je t'aime alors qu'est ce qui ne va pas ? » avait-il dit sûrement sur le coup de la frustration que l'attente lui procurait. Je crois bien que c'est la première fois qu'il ait dut attendre autant de temps pour avoir quelque chose.
Certes je n'étais pas un objet et il le savais parfaitement mais moi aussi j'en avais marre d'attendre c'est vrai. Je n'en pouvais plus de rêver de nous deux et de ne pas pouvoir réaliser ses souhaits silencieux. Le seul obstacle qui persistait venait de tomber alors je refuse de me priver de ce bonheur qui va m'être arracher dans quelques mois. Je fondis dans ses bras entourant son cou avec les miens et l'embrassa à la lisière de sa bouche le faisant tiquer.
« Tu vas te brûler les ailes à force de jouer avec le feu. »
« Tu sais que je suis joueuse alors je prends le risque du moment que tu es avec moi. »
Et il m'avait embrassé délicatement, amoureusement sur ce toit du lycée. Puis ce baiser était devenu plus enflammé, montrant ainsi tous nos sentiments refoulés que nous avions besoin d'exprimer.
« Je t'aime. » avions nous tous les deux chuchotes en même temps alors que nous étions blottis l'un contre l'autre ne voulant plus se quitter.
Nous formions donc officiellement un couple et absolument tout se passait bien. Quelques fois nous avions des accrochages mais à chaque fois nous mettions notre fierté de côté pour pouvoir résoudre le problème tout de suite et nous finissions toujours dans les bras l'un de l'autre.
Seulement, le rêve eut une fin et un matin je me réveillais avec un texto me prévenant de son départ imminent et qu'il m'aimait de tout son cœur. Si vous saviez comme j'avais pleuré. Si vous saviez comme ce simple message m'avait dévastée de l'intérieur ! Je souffrais le martyr et je préférais ne pas en parler à mes parents préférant garder tout ça pour moi. Il y a des fois où je préfère être seule avec moi-même plutôt que de tout partager avec eux.
Son père avait dit avancer le voyage et ne l'avait pas laisser finir son année avec moi. Il ne l'avait fait que parce qu'il n'en avait pas le choix j'en étais persuadée m'étant rendue plusieurs fois chez lui j'avais pus apprendre à découvrir son père qui aimait plus que tout son fils mais qui le montrait à sa manière.
J'avais donc finis mon année avec les autres membres de l'équipe de basket qui me soutenaient dans tout ce que j'entreprenais et qui m'étaient d'un soutien infini. Sans eux je n'aurai jamais tenus le coup malgré toute les conversations téléphoniques que j'avais avec mon petit-ami.
Le temps était passé et j'étais maintenant âgée de 24 ans. J'avais finis mes études et avais finalement monté mon entreprise qui faisait partie des meilleures du Japon dans son domaine. J'étais extrêmement fière de mes employés qui travaillaient d'arrache-pied et que je devais parfois stopper tant il se donnaient pour leur métier. J'étais heureuse de les avoir avec moi et je me noyais dans le travail pour essayer d'oublier cette profonde blessure qui ne guérira jamais que quand il sera de nouveau avec moi, physiquement parlant.
Depuis son départ, je m'étais pris un appartement et n'avais de cesse de me poser des questions : notre relation était-elle terminée à ses yeux ? Était-il avec une autre femme? En bref, je me torturai l'esprit alors que je n'aurai pas de réponses à mes questions. Nous ne nous étions pas recontactés depuis presque un an étant donné que nous étions tous les deux très occupés par nos travails respectifs. Je voyais toujours les garçons et j'aimais toujours autant passer du temps avec eux.
Seulement aujourd'hui, j'avais appris que j'allais devoir passer un rendez-vous avec une certaine entreprise qui m'était tout sauf inconnue : Akashi Firm. Je ne me faisais pas trop d'idées car je ne savais absolument pas à qui j'allais avoir affaire. Je pris donc les affaires et me rendis au siège de la société. Je me dirigeai vers l'accueil et un représentant vint me chercher pour me conduire devant un bureau dont on ne voyait rien de l'extérieur.
Je fus annoncée par un jeune homme et il laissa la porte entrebâillée pour que je puisse entrer. Il me dit un sourire puis parti. J'ouvris donc la porte, la referma derrière moi et la vision que j'eus me dis lâcher et mes affaires au sol et un petit cris de surprise. Je mis immédiatement ma main devant ma bouche pour essayer de le retenir mais il était trop tard.
Devant moi se tenait la version adulte de Seijuro Akashi. Il était devenu encore plus masculin et viril qu'au paravant. Vu les résultats de sa société je présume qu'il était encore plus intelligent et je ne pus retenir une petite larme de tomber tant l'émotion me submergeait à ce moment précis.
Il contourna son bureau, me sourit en coin et s'approcha lentement de moi, le faisant bouillir d'impatience. C'est à cet instant que je compris ce qu'il avait put ressentir au lycée : la personne convoitée est à deux pas de toi mais refuse d'avancer plus rapidement alors que rien ne l'en empêche.
Une fois devant moi, il s'arrêta et le surplomba de toute sa taille malgré mes escarpins qui ne changeaient rien à la done.
« Bonjour (YN), comment vas...?! »
Je lui avais sauté dessus, je n'en pouvais plus de ne pas pouvoir le toucher alors qu'il se tenait devant moi. Au diable les règles de bonnes conduite, je pouvais et j'allais faire plus d'un écart pour cet homme qui faisait vibrer tout mon être.
« Tu m'as tellement manqué mon empereur... »
« Vous aussi mon impératrice. » m'avait-il répondu en me serrant contre lui et en humant mes cheveux.
« J'ai crus que j'allais mourir tant le temps m'est peu long sans toi. Tu ne eux pas savoir le nombre de fois que j'ai rêvé de te revoir et que je me réveillais le matin seule dans mon lit. »
« Tu n'est pas la seule à avoir traversé ce genre d'épreuves. Ton absence m'était tout simplement insupportable et tout ce que je souhaitais était de te revoir et de ne plus jamais te quitter. »
« Sei, j'ai besoin de savoir quelque chose. »
« Je t'écoute. »
Je pris une grande inspiration et lâchai:
« Est ce que tu as vu d'autres femmes pendant ces dernières années. Je t'en supplie soit honnête avec moi j'ai besoin d'avoir une réponse à cette question qui me démangeait depuis ton départ. »
Ma seule et unique réponse fut qu'il leva mon visage à l'aide de ses doigts fins, me permettant de le regarder dans les yeux. Il n'eut pas besoin de parler que je compris que j'avais été la seule et unique femme à le posséder. Je rapprochai mon visage du sien en fermant à moitié mes yeux ne sachant pas quelle réaction je devais avoir et je le stoppais à quelques millimètres de ses lèvres. Ce fut lui qui dit le reste du chemin et au moment où nos lèvres s'entrechoquèrent, ce fut le commencement d'un combat entre nos langue qu'il domina plus que largement.
Nous avions mis tous nos sentiments refoulés, toute notre frustration du fait de l'éloignement dans ce baiser. Nous avions besoin l'un de l'autre, c'était physique. Il me souleva et partit s'asseoir sur sa chaise, moi sur ses jambes. Je n'avais jamais ressentis un tel manque en moi. Dès que nous n'avions plus d'air, nous reprenions notre souffle pour mieux recommencer après. Nous n'arrivions juste plus à nous séparer rien que l'espace de quelques secondes. C'était tout simplement fou comme nous n'arrivions plus à nous détacher.
« Ne me fais plus jamais revivre ça, même pour ton travail. La prochaine fois emmène moi avec toi je t'en supplie. » l'avais-je supplié en le regardant dans les yeux lui transmettant toute la douleur que j'avais pus ressentir sans lui.
« Il n'y aura pas de prochaine fois. Je reste ici avec mon impératrice et je ne la quitte plus. Trop d'hommes ont pu poser les yeux sur toi en mon absence et ce simple fait me rendais complètement fou de rage ! »
« Je t'aime!!! Avais-je prononcé avant de me jeter à nouveau sur ces lèvres que j'aimais tant.
J'étais restée toute la journée dans son bureau, confiant les rennes à mon subordonné en qui j'avais entièrement confiance et qui m'avais prouvé plus d'une fois qu'il en était digne.
Lorsque mon chéri avait finit sa journée, nous étions tous les deux descendus au parking et nous nous étions rendus chez lui en voiture. Une fois en haut, la soirée dérapa et nos corps ne firent plus qu'un et ce durant toute la nuit. À croire que monsieur n'avait pas arrêté de faire du sport durant tout ce temps ! Nous nous étions aimés comme jamais, et avions pu passer une nouvelle étape dans notre vie : celle du renouveau et de notre vie commune.
~end~
Voici la fin de cette petite histoire ;-)
J'espère qu'elle vous aura plus et que la fin ne vous aura pas déçu(e)s! Je tenais à vous remercier pour tous vos commentaires et vos votes ainsi que le fait que vous me lisiez. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point je suis heureuse lorsque je vois tout ça alors merci beaucoup !!!!❤️❤️❤️💕💕💕😭😭😭
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