🍋Sébastian x reader 🍋(Black Butler)
Pour @HarukafreeMakoto
🔞 clairement ce sommet indique tout ! 😂 donc je mettrais le lemon entre deux smileys de ce genre pour vous indiquer lorsqu'il débutera et lorsqu'il se terminera. Je suis désolée si il n'est pas à la hauteur de tes attentes mais c'est le premier vrai lemon que j'écris alors pardon d'avance !
Dans cet os, Ciel n'existe pas et Sebastian n'est le serviteur de personne. Il vit sous sa forme humaine que nous connaissons, porte un costume identique sauf les gants et possède une immense maison (voir même un manoir) qui a été sienne/sien dans le passé. Vous en posséder également une ;-)
Bonne lecture ;-)
Pdv (YN)
My divine devil~
Je m'appelle (YN) (FN) et je suis un démon depuis plus d'un siècle. J'ai arrêté de vieillir physiquement lorsque j'étais âgée de 24 ans alors j'aurai l'air jeune toute ma vie, enfin toute mon éternité. Je déteste la condition que m'impose mon régime alimentaire, de devoir manger des âmes humaines, ça me répugne ! C'est pourquoi je me restreins énormément et lorsque je deviens trop affamée, j'essaie de trouver un criminel quel qu'il soit afin de n'avoir aucuns regrets sur sa mort.
Si jamais il m'ait impossible d'en trouver assez rapidement, je fais appel à des shinigamis que je ne déteste pas forcément comme tous les préjugés qui pèsent sur nous. Ceux-ci sont en effet valable pour les trois quart de la communauté mais moi je suis différente : j'ai des facultés de démon mais j'ai les émotions des humains. Ces dieux de la mort en quelque sorte, m'aide à me nourrir en échange de quelques services que je leur rends sans aucuns problèmes.
Il y a de cela environ cinq ans maintenant, lorsque je n'avais rien à faire, je me promenai tranquillement lorsqu'au détour d'un immense manoir, j'aperçus un chaton égaré. Je m'approchai tout doucement de lui et le pris dans mes bras le berçant légèrement pour le calmer. Il avait une médaille autour du cou mais vu son poil, et l'entretien dont il faisait preuve, je doutais qu'il soit normal pour lui d'être dehors. J'observais donc l'adresse et m'aperçue qu'elle désignait la propriété juste en face de celle où je me trouvais actuellement.
Alors c'est en marchant que je me rendis dans le jardin de la personne concernée et que j'allai toquer à la porte. Celle-ci s'ouvrit à la volé me laissant admirer l'homme qui se trouvait devant moi. De toute évidence il était un démon également et sa beauté était à couper le souffle, mais rien de plus.
« Je peux vous aider ? » me demanda-t-il faussement galant avec moi pensant que je n'étais qu'une simple humaine.
« C'est étrange, je ne pensai pas voir un autre démon dans le quartier, encore plus un homme qui s'occupe de chats. Comment dire c'est plutôt surprenant. » lui dis-je en souriant car j'étais réellement surprise de ne plus être la seule.
« Je vois. » me dit-il en me détaillant de haut en bas, allant de mes (LC) cheveux (CC), à mes yeux (CY), puis tout le reste de mon corps. Un vrai changement d'attitude qui m'aurait presque fait froid dans le dos si je n'y étais pas habituée.
« Je me présente, (YN) (FN), j'ai trouvé un de vos petits chatons dans la rue et vue l'entretien dont il fait l'objet, je me suis dis qu'il valait mieux vous le ramener. » lui dis-je en lui remettant l'animal qu'il laissa courir dans tout l'espace mit à sa disposition.
« Sébastian Michaelis, je suis étonné de vous savoir si aimable pour un démon. »
« Disons que je suis différente. » lui répondis-je avec un léger sourire en coin qui attira son attention. Même si j'avais des émotions humaines, mon comportement divaguait parfois et malgré tout vers ma vraie nature démoniaque.
« Voudriez-vous rentrer ? Je n'ai rien à faire en ce moment si vous voyez ce que je veux dire. (Il n'est au service d'aucun humain) »
« Pourquoi pas, après tout je n'ai rien de prévus non plus. »
C'est de cette manière, en restant moi-même, que j'ai réussi à conquérir Sebastian Michaelis. Je n'étais pas du tout amoureuse de lui à la base puis nous avons commencer à parler ensemble et de fil en aiguilles nous nous sommes rapprochés tout naturellement. Toute l'après-midi après cet événement j'étais restée chez lui et le courant était plutôt bien passé. Pour une fois qu'un démon n'était pas « trop quelque chose » à mes yeux, c'était un véritable exploit !
Je ne faisais pas du tout partie des succubes provocantes autant sous leur forme humaine qu'originelle. Non, moi j'étais plutôt réservée aux premiers abords mais lorsque j'étais seule avec mon compagnon, c'était une autre histoire. C'est en quelque sorte lui qui m'a fait changer de comportement, lorsque nous « fêtions » nos trois ans ensemble, il m'a fait part de ses pensées à mon sujet. Il disait aimer plus que tout mon caractère que j'arborais avec tout le monde mais il voulait posséder une part de moi que seul lui pourrait avoir la chance d'observer. Il désirait connaître une partie de moi qui était plus que bien enfouie au fond de mon être et que j'avais longtemps essayé de cacher...
C'est donc ainsi que j'ai dû déterrer cet autre côté de ma personnalité, que je pensais morte depuis le temps, beaucoup plus sexy et mesquine. J'étais devenue pire que le diable en personne : j'incarnais les sept péchés capitaux à moi seule (surtout la luxure), j'étais aussi plus sèche, plus sarcastique, un démon à part plus qu'entière en somme. Je n'avais fais aucunes transitions entre la moi d'avant et celle d'après, prenant ainsi de court mon homme. Moi même je ne sais pas comment ce côté de ma personne avait pu ressortir aussi facilement, je détestais me savoir ainsi et j'avais peur que mon compagnon ne pense la même chose. Seulement j'étais loin, très loin du compte...
Cela devait bien faire un mois que je n'avais pas vu Sebastian, depuis notre discussion en fait. Aujourd'hui j'allais aller chez lui et je comptais bien le surprendre un maximum. Il n'était pas encore au courant que j'avais changée radicalement et je comptais bien lui faire découvrir cette nouvelle aujourd'hui. Pour l'occasion, je m'étais habillée comme d'ordinaire, voulant masquer la surprise que je lui réservais. J'avais donc l'air d'une jeune femme tout à fait normale, en robe pastel et en talons. Tout ce qu'il y a de plus angélique en somme. Je ne sais absolument pas pourquoi mais j'ai toujours aimé m'habiller de la sorte, tout comme j'ai toujours adoré les habits plus osés reflétants ma vraie nature seulement je n'osais pas les porter... jusqu'à aujourd'hui.
Je n'eus point besoin de toquer que la porte s'ouvrit devant moi laissant apparaître my devil. Je lui souris et sautai dans ses bras tant il m'avait manqué. Par contre peu importe mon changement, j'aimais toujours autant les marques d'affection donc dans un sens, cela m'a été utile à lui cacher aujourd'hui.Un mois c'est plutôt long quand on pense que nous étions tous les jours ensemble, peu importe le lieu ou l'activité que nous faisions. C'est avec force qu'il me rattrapa sans aucunes difficultés et qu'il claqua la porte de son pied.
Je relevai la tête et l'embrassai tendrement le frustrant énormément. Qu'est-ce que j'aimais l'embêter, c'est la chose que j'aime le plus au monde je pense.
« Vu ta tenue et tes gestes, je me demande vraiment si tu n'étais pas destinée à être un ange. » me dit-il avec une pointe d'amusement dans la voix.
« -Mais tu l'aimes ta presqu'ange non ?
« -Ça c'est sûr. Je vais juste devoir te montrer le chemin vers la vraie toi...» me répondit-il avec une pointe de je ne sais quoi qui relevait la discussion que nous avions eu.
Il m'emmena dans son salon où tous ses animaux jouaient ensemble. Nous avons passé notre journée entière dans les bras l'un de l'autre, moi à jouer avec ses chats que j'aimais tant et lui me regardant de haut avec des yeux remplis de désir. J'allais le frustrer un maximum, je ne comptais pas le laisser avoir ce qu'il voulait aussi facilement. La dernière fois c'est lui qui m'a fait attendre alors chacun son tour !
Je ne savais pas ce qui le retenait car malgré le fait que nous soyons tous les deux dotés de forces incroyables, il restait un homme et moi une femme alors absolument rien ne l'empêchait de faire ce qu'il voulait de moi. C'est d'ailleurs ce qu'il faisait en temps normal, martyrisant mon corps de bien des façons, profitant de l'avantage physique dont il disposait. Je me posai la question en la tournant et en la retournant dans tous les sens afin d'entrevoir une réponse mais c'était comme un gros blanc dans ma tête, il m'était impossible de résoudre mon questionnement silencieux. Alors il suffisait de lui demander.
« Qu'est-ce qu'il t'arrive Sebastian ? Tu as l'air différent... » lui demandais-je en continuant de jouer avec ses animaux au sol, ne lui adressant pas un regard.
« -C'est toi qui est différente. Je ne sais pas en quoi mais quelque chose a changé dans ton aura.
- Et c'est ça qui te bloque au point de ne pas bouger d'un poil ? Ce n'est pourtant pas dans tes habitudes » lui répondis-Je en détachant les boutons du haut de sa chemise afin de caresser du bout de mon doigt la naissance de ses pectoraux.
« Tu es perturbante, on dirait une autre personne. »
Je me relevai arrêtant ainsi toutes caresses en le regardant dans les yeux.
« -Et en quoi suis-je différente ? Est-ce que ce changement te plaît ou au contraire ?
-Je ne sais pas, je n'arrive pas à savoir ce qu'il se passe.
-Moi je le sais.
« Alors montres-moi. » m'avait-il dit de sa voix suave et profonde en s'avachissant d'une manière tentatrice sur son fauteuil en cuir noir, le bras sur le haut de celui-ci m'inspectant sous toutes mes coutures.
Je rigolai légèrement, le regardai d'un air joueuse et lui parlais d'une voix bien plus provocante qu'en temps normal.
« Tu le sauras le moment venu, tu dois te montrer patient ou tu ne verras rien du tout. »
Il grogna et je reconnus enfin mon Sebastian, celui que je connaissais depuis le temps. Il se retira du canapé et se retrouva en face de moi plus vite qu'il ne l'avait jamais fait. Je pouvais sentir et entendre son souffle s'accélérer, devenir plus irrégulier et on pouvait largement vois les muscles de ses épaules se contracter dans son costume de par la frustration que je lui offrait. Sans surprise, il me saisi la taille de ses bras, colla nos deux bassin ensemble et je pus sentir à quel point il était devenu dur comme un roc. Ne me voyant pas réagir et dans un espoir vain de calmer ses pulsions dominatrices, il m'embrassa avec force, sans aucune délicatesse juste du désir profond, afin de me montrer l'état dans lequel je l'avais mis.
« Je ne peux pas te montrer tout maintenant car cela ne serai pas drôle sinon mais en revanche, tu as le droit à un avant goût si tu le souhaites... » lui avais-je chuchoté dans son le creux de son oreille entre deux baisers, attisant sa curiosité.
Lorsque je regardai finalement dans ses yeux devenus rouges tirant sur un rose intense, je savais qu'il souhaitait plus que tout au monde sur le moment connaître mon secret qui n'en serai bientôt plus un. C'est alors que je fis donc quelque chose que je n'avais jamais osé faire au paravant : je l'embrassai langoureusement en prenant les devants et je passai simplement ma main sur tout le long de sa chemise, pénétrant un doigt dans son pantalon afin d'en tirer le tissu tout du long. Cette action lui fit fermer les yeux et pousser un grognement bestial que je n'avais jamais entendu chez lui. Lorsque je mis finalement fin au baiser, je restai tout près de lui, plaquant mes deux mains sur son torse encore recouvert de sa chemise puis je le regardai dans les yeux. Je pus y voir de la stupéfaction mais aussi de l'impatience, surtout de l'impatience. Je voyait qu'il se retenait plus fort que tout de me sauter dessus et qu'à mesure que le temps passait, la tâche devenait de plus en plus difficile. Mais le voir dans cet état, pour moi, me fis craquer et je lui souris en coin avant de me mettre à courir dans tous les couloirs de la maison, nous lançant dans une course poursuite : lui se téléportant devant moi qui tentais de le fuir de diverses manières.
J'aimais jouer, même si parfois c'était un peu gamin mais c'étaient les seuls moments où je pouvais le voir sourire sincèrement et Dieu qu'est-ce que j'aimais la courbe de ses lèvres !! Bien sûr ce petit jeu ne dura pas éternellement, je savais que j'allais perdre c'est pourquoi je décidai de lui proposer un marché histoire de repousser l'échéance encore un peu plus. Bon surtout pour le rendre contre plus impatient que je ne commençais à l'être je l'avoue.
« Sebastian, si tu veux vraiment savoir ce que je cache, il va falloir que tu joues avec moi » je le vis se mordre la lèvre inférieur d'impatience,mais j'avais envie de le pousser à l'extrême et pour pouvoir profiter de ma surprise il allait devoir souffrir un peu pour mériter sa récompense. « -Je vais aller me cacher quelque part, dans l'enceinte du manoir ne t'en fais pas je ne sortirai pas même si je sais que ça ne représenterait pas vraiment une grande difficulté pour toi...Bien sur tu n'as pas le droit de regarder où je vais et si jamais tu me trouves on fera absolument TOUT ce que tu veux sans que je ne puisse rien dire aussi tu devras attendre exactement deux minutes avant de te lancer à ma recherche. Si par malheur au bout de dix minutes tu ne m'a toujours pas trouvée, on fera ce que j'ai envie et si je m'aperçois que tu as triché aish.... tu risques de devoir te soulager toi-même pendant un très très très long moment mon cher et tendre. » Je m'étonnais encore, je n'avais jamais parler de cette façon mais vu le regard qu'il me lançai, ça ne lui déplaisait pas.
« Pourquoi pas, je reste ici. »me dit-il en croisant les bras sur son torse et en s'adossant contre un mur. Je pense qu'il n'avait vraiment pas envie de perdre, l'enjeu était beaucoup trop grand pour laisser passer cette chance.
« Parfait. » lui répondis-je en lui faisant un smack en vitesse avant de le laisser fermer les yeux pour que je puisse m'en aller. Juste avant de partir je pus l'appercevoir sourire et baisser la tête vers le sol, mon jeu lui plaisait apparement.
J'avais courus partout et je savais qu'il commencerait par me chercher dans les endroits les plus reculés de sa position car il était plus logique que j'essaie de lui faire perdre du temps en lui faisant parcourir du chemin. Or, j'avais laissé des fausses pistes un peu partout afin qu'il laisse tourner le compte à rebours car j'étais persuadée qu'il allait s'apercevoir du trucage et donc qu'il allait vite lâcher l'affaire.
Je m'étais réfugiée dans les grandes cuisines, dans un meuble où j'étais très à l'étroit et donc où ma position était tout simplement affreuse. Le temps était en train de défilé lorsque je l'entendis dévaler les marches les unes après les autres, me faisant stresser. Il ne restait bientôt plus que dix secondes lorsqu'il pénétra dans la cuisine : j'étais finie, c'était sûr et certain. Alors que son temps limité ne lui accordait plus que deux secondes, il ouvrit la porte et me sourit diaboliquement. Je soufflais de frustration : j'y était presque !!
« J'AI-GA-GNÉ. » me dit-il en me narguant et en articulant chaque syllabe formant sa courte phrase.
« Alors fais ce que tu veux. » lui répondis-je en sortant de cette maudite prison.
« Tu ne me le diras pas deux fois. » me répondit-il en passant ses bras sous mes épaules et mes genoux afin de me soulever délicatement comme une princesse.
« Aurions-nous échangés nos rôles ? Toi le délicat et moi la diabolique ? » lui demandais-je avec une pointe d'amusement dans la voix.
« Tu ferais mieux d'économiser tes cordes vocales, celles-ci vont être mises à rude épreuve alors méninge-les. » me dit-il avec une voix des plus graves et un regard plus embrumé encore par le désir que celui qu'il affichait depuis mon arrivée chez lui.
Il nous emmena directement dans sa chambre, me balança violemment sur le lit et verrouilla la porte à clé. J'étais presque sonnée par la violence du choc, c'était la première fois qu'il était ainsi : aujourd'hui était la journée des surprises visiblement !
Il se retourna lentement vers moi, qui m'étais relevée sur mes coudes afin de l'observer, et s'approcha à vitesse grand V de mon corps reposant sur son lit, sur ses couettes si douces... Je me relevai au même moment, me collant complètement contre son torse en le regardant dans les yeux. Je lui enlevai patiemment sa veste de costume noire qu'il portait puis lui déboutonnais lentement sa chemise. Trop lentement à ses yeux visiblement vu qu'il poussa mes mains et qu'il déchira sa chemise devant mes yeux. Tous les muscles du haut de son corps étaient tendus, en contraction et ne demandaient qu'à fournir un effort en particulier, il avait besoin d'assouvir son désir, il transparaît l'envie de me prendre ici et maintenant.
Il mit également ma robe en lambeaux, n'ayant absolument aucune pitié pour elle alors que je gémissais en sentant le froid de la pièce mordre ma peau à présent nue. C'est au moment où je ne portais plus rien pour cacher mon corps qu'il compris mon changement : d'habitude je portais des sous-vêtements sobres ou bien pastel afin de garder un côté « mignon » ? Or en ce moment je portais un ensemble entièrement en dentelle rouge, qui laissait absolument tout transparaître. Visiblement la vue lui plaisait car il ne cessait d'observer mon décolleté et ne pouvait plus quitter mon corps des yeux. L'envie et la stupéfaction l'avait cloué au sol immobile.
J'en profitais donc pour le mettre dos au lit afin de le pousser assez fort dessus pour qu'il tombe sur le matelas. Je montai au ralenti sur le lit, le faisant languir et pousser un nouveau grognement d'impatience avant de me mettre à quatre pattes sur lui. Je laissai glisser mon nez de sa nuque à sa V-line, lui provoquant des frissons partout sur le heurt de son corps et de légers gémissements passant la barrière de ses lèvres que j'aimais tant. Je souris satisfaite de sa réaction puis déboucla la ceinture en cuir noir qu'il portait juste avant de déboutonner son pantalon en toile. Il souleva son bassin afin de m'aider et je pus faire glisser son dernier habit au sol sans difficultés.
Nous étions maintenant tous les deux en sous-vêtements, j'étais remontée sur lui et m'étais assise sur son bassin. Je fis alors rouler le bas de mon corps contre le sien, faisant s'entrechoquer nos intimités ensemble et causant des gémissements de plaisir des deux côtés. Même si je sentais à quel point son corps criait son envie pour moi et que ma dentelle était tout simplement trempée, j'avais envie de le torturer encore et encore. C'est pourquoi je me décalai et plaqua ma main sur son entrejambe. À peine l'eut-il sentie que son corps se souleva voilement du matelas alors que j'entreprenais des mouvements de vas et viens afin de le faire languir.
À présent, il avait la tête rejetée en arrière et pinçait sa lèvre inférieure entre ses dents jusqu'au sang, me laissant le loisir d'avoir une vision divine de mon démon qui me donnait envie de défaillir. Je me rapprochai de son oreille et lui chuchotais avec une voix séductrice que je ne me connaissais pas :
« My divine demon, aimes-tu ce changement ? Te convient-il où je devrais être ainsi aussi avec tout le monde ? Je crois que beaucoup m'apprécieraient ainsi... »
À l'entente de ma phrase, il me retourna et me plaqua durement sous lui, appuyant ses mains de chaque côtés de ma tête sur mes épaules m'empêchant de bouger d'un seul millimètre de ma position actuelle. C'est alors que lui aussi s'approcha de mon oreille et commença à frotter son bassin avec le miens, me causant des gémissements que je retins difficilement en me mordant la lèvre.
« Si jamais tu te montres ainsi devant qui que ce soit d'autre sweetheart, je ne crois pas que les choses tourneraient à ton avantage. Tu es à moi et je veux être le seul à pouvoir te mettre et te voir dans cet état. Je suis le seul à être autorisé à te toucher de cette façon, à profiter de ton corps nuit et jour quand bon me semble et même si j'aime te voir avec autant de confiance, tu vas devoir redescendre parce qu'ici c'est moi qui domine..» m'avait-il dit en laissant ses marques sur mon cou et en parlant d'une voix énervée et à la fois remplie d'envie
Il remonta de la base de mon cou jusqu'à ma mâchoire en me léchant lentement, langoureusement, d'une manière affamée s'arrêtant juste à la commissure de ma lèvre qui mourrait d'envie de rencontrer leurs jumelles. Je grognais de frustration car j'essayai tant bien que mal de lui capturer ses deux croissants de chair mais lui m'évita et rigola gentiment à la place. Il colla nos fronts et nos nez ensemble avant de fermer les yeux et de reprendre la parole :
« J'aime ce changement, je t'aime toi et je veux te faire mienne, ce soir plus que toutes les autres fois. Ce soir plus violemment que toutes les autres fois... »
« Alors rien ne t'en empêche. » lui avais-je répondu en commençant à avoir la respiration saccadée due à l'excitation qui montait en moi comme une flèche !
Il me sourit et passa ses mains froides dans mon dos, me causant un millier de frissons. Il dégrafa mon soutien-gorge libérant ainsi ma poitrine plutôt imposante. Il plaça ses deux mains à plat dessus, me procurant ainsi une vague de plaisir qui me fit rejeter la tête en arrière sur les oreillers libérant ainsi mon cou qu'il assaillit à nouveau de baisers enflammés. Alors que je contenais un autre gémissement me mordant également jusqu'au sang, sa voix dure s'éleva :
« Je veux t'entendre. » m'avait-il ordonné en commençant à maltraiter ma poitrine. Croyez-moi, il m'a entendu, ma voix s'élevant dans toute la pièce, brisant le simple bruit de nos corps mouvant l'un contre l'autre. Les gémissements et les cris de plénitude remplissaient la pièce comme jamais ils ne l'avaient fais, et qu'est-ce que j'aimais ça !
Je cambrais mon dos et effleurai de mon intimité son membre encore caché par son dernier vêtement. Il arrêta tout mouvement me faisant grogner à nouveau de frustration, me regarda dans les yeux et je pus vois ses bras trembler à cause de l'excitation. Résultat il colla plus fort encore nos bassin ensemble, écrasant son entrejambe contre la mienne me faisant lâcher un gémissement encore plus fort que tous les autres semblable à un véritable cris de détresse.
« Tu me cherches, tu vas me trouver ne t'en fais pas. »
Il m'avait violemment arraché ma culotte et avait balancé son dernier bout de tissu à l'autre bout de la pièce. Il écarta d'un seul coup mes jambes et se plaça entre celle-ci, se stoppant en me regardant dans les yeux avant de me sourire et de me pénétrer d'un seul coup, sans aucunes retenues.
« Sebastian... »
Lui était en transe, comme à chaque fois mais c'était encore autre chose, quelque chose de plus lointain, de plus profond que le reste du temps. J'étais particulièrement serrée d'après lui, tellement qu'il lui était presque impossible de rentrer plus de deux doigts en moi lors des préliminaires alors imaginer mon antre si serrée autour de son membre si imposant. Il ferma les yeux un instant et ne bougea même plus une fois qu'il fut en moi jusqu'à la garde.
Lorsqu'il les rouvrit, il se pencha vers moi et m'embrassa avec une douceur infinie comme s'excusant de la torture qu'il allait me faire subir. Il exerçait des mouvements frénétiques, rapides, courts et bien placé me transportant dans un autre univers. Je n'étais plus qu'un désastre sans nom, bonne qu'à gémir car c'était la seule chose que j'étais capable de faire sur le coup.
« Sebastian, Sebast-... » il m'avait coupé en m'embrassant.
« Si tu ne te tais pas, je vais venir en moins de deux minutes alors, arrêtes de gémir mon nom c'est une torture. » m'avait-il dit en me suppliant presque, alors que sa voix commençait à se casser du à son souffle saccadé.
Il continuait par la suite ces mouvements qui me rendaient folle puis accéléra encore plus faisant bouger le lit qui accompagnait maintenant ses mouvements. J'avais la respiration complètement coupée par ce qu'il était en train de me faire vivre. Il rentrait et sortait de moi à une vitesse fulgurante et je n'arrivais même plus à gémir du au plaisir et à ma voix qui n'était plus. Il sortit complètement de moi me causant un manque immense de sa présence.
« À quatre pattes Sweetie. » m'avait-il dit fermement.
Je m'exécutais sans broncher et je pus enfin ressentir son membre en moi, sortant et rentrant à un rythme soutenu. Au bout d'une bonne trentaine de minutes, je commençais à ne plus sentir mes jambes et si il ne me tenait pas grâce à son bras sur ma poitrine, je serais déjà tombée de fatigue.
« J'en peux p-plus, je vais ve-venir...han ! »
Il venait de toucher le fond et je m'étais de nouveau violemment cambrée vers l'arrière.
« Alors viens, viens pour moi et gémis mon prénom (YN), prouves à tous ses hommes que seuls moi peut te rendre ainsi et te posséder.»
À peine avait-il prononcé sa phrase que mes parois s'étaient resserrées autour de son membre montrant ainsi que j'allais atteindre mes limites. Environ deux minutes plus tard, j'avais essayé tout du long de me retenir mais je n'y arrivais plus alors je gémis plus fort que les autres fois, plus longuement encore que je ne l'avais jamais fais.
« Sebastiaan !!!! »
Puis je vins, mes bras tout tremblants mais lui n'en avait pas assez et entreprit des mouvements encore plus secs, plus brutaux et sous l'effet de mon précédent orgasme, mes yeux étaient voilés à cause du plaisir et je n'arrivais plus à distinguer quoique ce soit. Finalement il vint en moi, en gémissant mon prénom de sa voix si rauque me faisant venir une seconde fois.
Nous continuâmes nos ébats toute la nuit même si j'étais éreintée car lui était visiblement en pleine forme. Quand nous arrêtâmes finalement, il se coucha à côté de moi, ses cheveux noirs corbeaux lui collant au visage a cause de la pellicule de sueur qui nous recouvrait tous les deux.
Il me serra dans ses bras contre son torse musclé afin que je ne bouge plus et je m'endormis contre lui, contre le démon de ma vie.
« - Tu es à moi. »
« - Et tu es à moi »
~end~
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