Livaï x reader partie 2 (attack on titan)
Voici la suite du premier one shot sur Livaï, qui m'a été demandé par : @lunaAkabanee
Et vu que vous, oui vous, avez l'air d'adorer le thème de la jalousie peu importe la personne, celui-ci ne dérogera pas à la règle. J'hésitais à faire un lemon pour leurs retrouvailles alors si vous en voulez un, dites-le moi dans les commentaires, à ce moment je modifierais l'histoire pour le glisser dedans ;)
Bonne lecture !
« Hoy tout le monde! » éleva-t-il la voix pour que tout le monde se taisent et l'écoutent. Il monta sur une table m'attirant contre lui :
« Cette fille s'appelle (YN) et elle est à moi. Donc le premier morveux que je surprends en train de la regarder devra courir jusqu'à ce qu'il meurt de fatigue. Littéralement. » et il m'embrassa devant tout le monde me faisant rougir et sourire contre ses lèvres.
Un tonnerre de cris et d'applaudissements largement dominés par Hanji s'éleva dans la grande salle.
Lorsque nos lèvres se détachèrent, j'étais à bout de souffle alors que Livaï me regardait avec des yeux pleins d'amour. Je cachais ma tête dans le creux de son cou où je pouvais sentir son odeur si apaisante qui m'avait tellement manquée...je crois que c'est parce qu'avant j'avais l'habitude de la sentir tous les jours et dès que j'en avais envie en fait. Lorsque j'vais peur dans les bas-fonds, il était là pour moi à chaque instant, me rappelant qu'il ne laisserait jamais rien m'arriver...Je crois qu'il s'en veut depuis que je suis réapparue dans sa vie. Je crois qu'il s'en veut de ne pas avoir réussit à me protéger comme il l'aurait vraiment souhaité, comme il me l'avait promis...
« - Je crois que tu es la bienvenue chez nous mon coeur... » me glissa-t-il dans l'oreille tout en m'embrassant la tempe sans pour autant desserrer son étreinte qui écrasait mon corps contre le sien si musclé par les années !
Je fis simplement de petits mouvements de haut en bas avec mon nez sur son épiderme et je pus déjà sentir sa peau avoir la chaire de poule me faisant sourire. Alors je lui faisais toujours autant d'effets ? Je finis par relever mon regard vers le sien puis lui demandai :
"-Alors je peux rejoindre une escouade finalement ?"
"-Même pas en rêve."
Ma tête se décomposa alors que je soupirai lui arrachant un rictus que seul moi pus voir. Puis il reprit à l'attention de tous:
"Ah ouai j'avais oublié ça aussi. Le premier ou la première que je vois donner du travail à (YN) est mort. Elle ne rejoint aucunes escouades ni ne bosse de mon vivant. Je me suis bien fais comprendre ?!"
"-Oui caporal !" hurla la foule à mon plus grand damne.
Étrangement les gens ne recommencèrent pas à manger sûrement parce qu'ils attendaient l'approbation de mon Livaï qui avait l'air bien trop perdu dans la contemplation de mon corps pour se rendre compte de l'instant présent. Alors se fut mon tour de prendre la parole essayant d'aller à l'essentiel quant une mignonne brune passa dans mon champs de vision en train d'agoniser devant sa purée de pomme de terre. Je me retournai donc en souriant et fis retentir ma voix comme le son de la délivrance pour certains :
"-Vous savez, vous pouvez manger, je ne suis pas si importante que ça."
"-Oua--"
Livaï me serra plus fort encore et fit tonitruer sa voix de sorte que plus personne n'ouvre la bouche pour parler :
"-T'as pas finis de dire des conneries pareilles ?! Tu es la personne la plus importante que le bataillon est jamais reçue alors tu mérites même bien plus qu'une simple pause au milieu d'un repas mais c'est tout ce que je peux t'offrir pour l'instant..."
Erwin se leva de sa chaise et prit pour la première fois depuis ce soir la parole calmant toutes les personnes de cette pièce où les cadets commençaient à redouter les tours de piste pour avoir oser vouloir commencer à manger.
"-(YN), Livaï a raison. Tu es la femme d'un des plus grands hommes que cette Terre ait jamais connue. Tu es d'une importance des plus cruciales et tu mériterais un accueil digne de ce nom de la part du bataillon. Or nous n'avons pas vraiment les ressources pour en ce moment-"
"-Major, je n'ai jamais demandé une telle chose, je n'en ai pas besoin, pas du tout en fait. J'ai quasiment l'âge de toutes les personnes qui me font face et je ne leur suis aucunement supérieure-... »
Je sentis le corps de Livaï se tendre alors j'entremêlais mes doigts aux siens ce qui eut un effet immédiat sur lui que tout le monde remarqua, je l'ai vu dans leur yeux mais ne dit aucuns commentaires là-dessus.
« J'ai juste envie d'être un membre à peu près normal du bataillon malgré mes restrictions non négligeables du caporal- chef. (Je suis sûre d'avoir entendue un grognement sortir de la gorge de mon « supérieur » au moment où j'ai prononcé cette phrase. À noter, il déteste que je l'appelle autrement qu'avec un surnom ou Livaï. Remarque même Livaï ça ne passe pas avec lui d'après mes souvenirs quand je suis triste...ou que l'on se dispute forcément). « Donc s'il-vous-plaît mangez ! Et bon appétit à tous ! »
Après ça, nous descendîmes enfin de la table en bois pour rejoindre celle des chefs d'escouade. C'est sans s'étonner que personne à part Hanji et Livaï n'ont pus s'asseoir à côté de moi : « Ce sont des hommes donc ils te voient comme moi je te vois et je n'aime pas ça du tout tch ! ». Le dîner fut bon malgré que plutôt simple mais tout m'allait du moment que je ne me retrouvais plus seule, du moment que j'étais toujours avec lui. Lorsqu'enfin il se fini, chacun retourna travailler dans son bureau ou se reposer dans son dortoir. Une fois la porte passée en dernière après Livaï, je me dirigeais vers les dortoirs des soldats avec la boule au ventre à l'idée d'être une fois encore loin de l'être aimé. J'étais loin d'imaginer que j'allais à nouveau passer au-dessus des règles établies.
Je me sentis soulevée dans les airs et reconnu alors le dos et l'odeur de « Shorty » donc je ne dis aucuns bruits pour ne déranger personne autour de nous.
« -Tu comptais faire quoi au juste ?»
« -Aller dans le dortoir avec les autres pour dormir, moi aussi ça fait longtemps que j'ai pas dormi... »
« -Dans ce cas je vais devoir expliquer au bébé quelles sont ses règles personnelles en plus de celles qu'il connaît déjà : TU-DORS-AVEC-MOI. TOUJOURS. SANS EXCEPTIONS. Tu as interdictions de te rendre dans les dortoirs, y'a trop de débiles en chaleur là-bas. »
Il se mit en marche vers son bureau.
« - Je suppose que j'ai encore une fois pas le choix hein...? »
Il s'arrêta alors devant la porte de son lieu de vie faisant tourner la poignée tout en me répondant très justement :
« -Parce que t'avais envie qu'on soit séparés toi ? T'en as pas assez d'être loin de moi ? Y'a pas non plus assez d'ordures qui t'ont touchée sans que je ne les tue sur place ?! »
Rien à répliquer. Il a tout juste sans aucunes fausses notes cette fois. Alors comme plus tôt dans la soirée il s'assit sur sa grande chaise devant son bureau et me plaça sur ses jambes. Mais maintenant j'étais comme un réel bébé dans le ventre de sa mère : j'étais complètement blottie contre son torse, ma tête au niveau de son cœur dont j'en pouvais très nettement distinguer le son à chaque nouveau battement. Il plaça une couverture sur nous deux et s'empara de son stylo tout en m'embrassant le front.
« - T'as encore du travail ? » lui demandais-Je en contemplant de côté son visage qui me dit bientôt face éclaire d'un très fin sourire.
« - C'est pas un bouleau des plus agréables caporal, je vais devoir envoyer des lettres aux familles des soldats morts et encore un tas d'autres paperasse à remplir avant demain. Mais toi dors mon ange. »
Au moment où je déposai ma main contre sa joue, je le sentis inspirer et expirer plus fort de bonheur et le vis fermer les yeux profitant enfin de l'instant.
« - Je refuse de dormir si toi tu ne te reposes pas. Je vais rester éveillée avec toi, même si ça doit durer des siècles et des siècles je ne dormirai plus jamais sans savoir que ton esprit est tranquille aussi. »
Je l'embrassai sur la joue mais reçu à nouveau un grognement de mécontentement de sa part.
« Quoi...? »
Il me regarda simplement dans les yeux, comme si il gravait mon image dans son cerveau, comme si c'était la dernière fois qu'il me voyait.
« Me regardes pas comme ça, s'il-te-plaît, je vais encore pleurer sinon. »
« -Nouvelle règle : tu ne pleures plus jamais. Peu importe la raison je veux toujours te voir sourire compris ? »
« -Non. » dis-je joueuse.
« - Et ça voulait faire partie de mon escouade ? On ne t'as pas appris qu'il fallait toujours respecter ses supérieurs ? »
Son visage se rapprocha encore du miens alors que je fixais ses lèvres dont le toucher me semblait à présent...inaccessible.
« - Si. Mais on m'a signifié que j'avais des règles spéciales puisque mon conjoint est spécial ET aussi mon supérieur... »
« -Mise au point alors : tu m'écoutes TOUJOURS. Tu ne remets pas en cause mes ordres peu importe la situation (YN). »
Ses lèvres effleuraient les miennes et mes yeux se fermaient à mesure que la distance entre nous s'amenuisait.
« -Pas sûre de pouvoir respecter toutes ses règles caporal-chef, vous savez c'est compliqué pour moi. Un jour un jeune homme m'a dit que j'étais libre de faire ce que je voulais car il était toujours derrière moi pour assurer mes arrières... »
« - Qui est-il cadet (YN) ? »
« -Personne de très important pour moi mon caporal. »
« -Tu es sûre ? »
J'acquiesçais d'un léger mouvement de tête tout en gardant mes yeux clos devinant cependant le sourire qu'il devait arborer.
« -C'est juste l'homme qui m'a toujours fait sentir aimée et qui a toujours veillé sur moi. Accessoirement c'est aussi celui qui occupe les trois quarts de mon cœur. »
«-Comment ça les trois quarts seulement ?! »
Je le dis taire en prenant l'initiative de l'embrasser parce que sinon je sens que l'on va rester très longtemps dans mon jeu et que ça va finir par déraper.
A un moment, je ne sais pas quand, mes yeux on finit par se clore et je n'ai pas senti quand Livaï m'a transportée jusqu'à son lit, ni même quand il m'a prise dans ses bras, ni même encore quand il m'a embrassée à nouveau pour me souhaiter une bonne nuit.
Et je me retrouve ce matin, toute habillée de la tenue des cadets. Non parce que je n'ai pas le droit de participer à leurs entraînements mais ce n'est pas pour autant que je suis interdite de porter le même uniforme qu'eux. Encore heureux d'ailleurs !
Alors j'ai vite pris mon petit déjeuner sans vraiment en vouloir à Livaï de ne pas m'avoir attendue car malgré tout, il a des responsabilités et je ne veux même pas imaginer comment il a réussi à partir sans moi alors qu'il ne pouvait plus me lâcher depuis hier.
Une routine s'installa depuis ce jour J. Je me levai le matin dans les bras de l'homme que j'aimais le plus au monde, la plupart du temps on passait une heure entière éveillés à se contempler et à s'écouter parler l'un l'autre. Ensuite nous nous habillions, bien sur nous lavions ensemble parce que je crois réellement que si j'avais demandé à aller dans les douches avec les autres, le bataillon n'aurait plus aucuns membres en son sein mis à part Livaï. Nous partions ensuite déjeuner avec les autres puis soit il faisait l'entraînement de son escouade dans la forêt, soit il remplissait des papiers. Quant à moi, je lui faisais son thé ou l'admirais voltiger.
Jusqu'à ce qu'un jour j'en eus marre de cette routine lassante et redondante. Je ne tenais plus en place et pourtant je me faisais violence pour essayer de m'occuper au maximum mon esprit mais rien à faire, il m'avait trop habituée à me défouler. Alors un jour je suis allée voir Mike et je lui ai demandé de me faire voler avec lui.
« -Aucuns risques, Livaï n'est pas là, je crois qu'il est encore parti entraîner Eren et son groupe dans la forêt... »
« -D'accord, mais ça reste entre nous alors ? »
« -Promis ! »
Tant de joie me parcourue à ce moment que je lui sautai au cou afin de le remercier. Il s'occupa donc de m'équiper en vitesse et il se chargea de me surveiller tout seul n'ayant besoin de personne pour cette tâche des plus simples m'avait-il dit. Le temps passa à une vitesse incroyable et nous ne nous en rendîmes pas compte puisque nous avions passé toute l'après-midi ensemble à jouer dans les airs usant aux passages quelques cartouches de gaz...
Sauf que Livaï n'était jamais bien loin quand il s'agissait de moi depuis que j'étais revenue. Et c'était une des choses que j'ignorais. Il avait toujours un œil sur moi sans que je ne m'en rende compte et l'étreinte que j'avais donnée à Mike n'avait fait qu'attiser la flamme grandissante de la jalousie qui commençait à consumer tout son être de l'intérieur.
Alors quand je suis rentrée dans son bureau, je ne m'y attendais pas de sa part mais à l'instant même où j'ai passé le pas de la porte...ce fut un Livaï tremblant de fureur et de rage qui me gifla violemment. Tellement fort que ma tête a suivi le mouvement de sa main. Je le savais, tout était trop parfait entre nous, quelque chose clochait.
« -T'as pas osé me faire ça à moi Livaï ? Dis-moi que je rêve j'espère. »
« -Ferme-là !!!!! C'EST TOI QUI PARLES ?? T'AS OSÉ PASSER TOUTE TON APRÈS-MIDI AVEC CE SALAUD ALORS QUE TU ES MA FEMME ?!!! J'ESPÈRE BIEN QUE TU TE FOUS DE MOI ?!! »
La colère monta en flèche en moi à l'écoute de son argument.
« - Et moi j'espère que tu te FICHES DE MOI AUSSI ?! DE QUEL DROIT EST-CE QUE TU LÈVES LA MAIN SUR MOI HEIN ?! QU'EST-CE QUE TU AS CRUS QUE J'ÉTAIS POUR TOI ?! UN CHIEN PEUT-ÊTRE ?! »
Niveau discrétion je crois que l'on a battu des records, pas besoin d'être un génie pour savoir que plus de la moitié du bataillon était en train de nous entendre nous engueuler mais cette fois, il est allé trop loin !
Il me plaqua contre la porte et reprit tout en continuant de me hurler dessus ce qui commença à faire monter les larmes en moi :
« -DE QUEL DROIT ?! MAIS MERDE (YN), TU M'APPARTIENS CORPS ET ÂME ! DEPUIS QUAND TU PEUX TE PERMETTRE DE CÂLINER LES AUTRES QUAND ÇA TE CHANTE ?! ET J'ESPÈRE QUE TU AS BIEN PROFITÉ DE TE COLLER À LUI DURANT CETTE PETITE SÉANCE DE VOLTIGE PARCE QUE C'EST LA DERNIÈRE FOIS QUE TU SORS DE CETTE PIÈCE TU M'AS BIEN COMPRIS ?! »
SLAP !
Ce fut alors à mon tour de le gifler alors que j'avais les joues inondées de larmes salées qui ne s'arrêtaient plus de couler. Je réussi à me dégager de son étreinte et je courus me réfugier dans la chambre en fermant la porte à clef. Mais ça n'était pas de l'avis de Livaï qui défonça la porte de la chambre. Il s'approcha du lit où je me trouvais alors prostrée à cause de la terreur qui m'envahissait en ce moment.
Il se mit debout en face de moi et lorsque je le regardai, je ne pus réprimer un cris d'horreur qui déchira l'ensemble du bâtiment. Personne ne semblait réagir mais qu'est-ce qu'ils font ?!
« -TOI AUSSI TU VAS ME FRAPPER ?! TU VAS FAIRE COMME LUI ET ME TRANSFORMER EN ESCLAVE COME LUI ?! AVOUES AU MOINS QUE TU FAISAIS SEMBLANT JUSTE PARCE QU'ISABELLE ET FURLAN ÉTAIENT AVEC NOUS ! AVOUES !! »
Toutes mes angoisses avaient ressurgit de mes entrailles et avaient pris le dessus sur moi. Celui qui avait toujours représenté la sécurité et l'amour à mes yeux était devenu le double de mon bourreau en cet instant. Tout ce que je voulais alors, c'est que la vie s'arrête pour moi. Je n'avais jamais rien fais de mal, pas même déjà frappé quelqu'un et pourtant ma vie semblait vouée à sombrer dans les ténèbres sans que je ne puisse rien faire pour l'en empêcher !
Et pourtant au contraire de mon bourreau, Livaï s'arrêta net à la suite de l'expression de mes sentiments. Il me regardait ça je le savais mais j'avais caché ma tête dans mes bras qui entouraient mon corps recroquevillé sur lui-même. J'étais pétrifiée de terreur et ma lèvre ne voulait point cesser de trembler.
Ce moment de solitude et de combat interne dura peut-être deux bonnes minutes où je n'entendis plus aucuns bruits. Tout ce que je sentis après ça, ce sont les deux bras qui m'avaient toujours bercée, faire ce qu'ils faisaient depuis toujours. Le même sentiments de chaleur que la première fois me parcourue et pourtant je ne pouvais pas me calmer, il m'avait fait ressortir tous ces moments de cauchemars pour moi et je n'arrivai plus à les engouffrer sous une fausse couche de bonheur.
Il me prit alors sur lui, moi contre son torse qui m'agrippais à lui comme à une bouée de sauvetage. Mon corps tremblait sans fin lorsqu'il prit enfin ma main dans la sienne. Je cachai encore une fois ma tête dans son cou, incapable de soutenir son regard. Mais je sentais qu'il pleurait aussi certes pas énormément mais cela signifiait que sa peine était plus grand que n'importe lesquels des deuils auxquels il avait dû faire face. Seul.
Alors qu'il me caressait le dos et qu'il m'embrassait la tête, je me mis à espérer des excuses mais l'homme que j'aime est incapable de prononcer ces paroles, même pour moi. Mais je ne lui en voulais pas pour ça. Je ne pouvais pas lui en vouloir parce que je savais qu'il s'en voulait déjà lui-même pour dix personnes. Alors cette ouragan qui avait bouleversé mon quotidien changea tout. J'avais le droit de tout faire sauf partie en expédition. Je pouvais aller où bon me semble du moment que j'avais toujours quelqu'un avec moi qui s'avérait être tout le temps Livaï.
Il avait su se faire pardonner au fil du temps. Il avait réussi à effacer les horreurs dans ma tête. Et pourtant j'ai l'impression qu'il avait prévu tout ça : comme si il voulait me détruire pour me rebâtir mais pour cela il devait faire un acte qui me marquerait à jamais dans notre histoire. Et je crois bien qu'il a réussi à forger une meilleure version de moi-même. J'étais toujours aussi fragile sans lui mais avec lui, j'étais la femme la plus forte du monde avec l'homme le plus fort que la Terre ait jamais connue.
~end~
Pardon pour cette très longue absence, je n'arrivais plus à écrire et en plus les cours me prennent beaucoup de temps donc.... mais je vais essayer de sortir un ou deux os chaque jour à partir d'aujourd'hui :) j'espère que celui-ci vous a plût et à plus tard ;)
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