🍋 Karma x reader (lemon) 🍋
Pour @Miss_todorokiii_
(J'ai légèrement changé le scénario, j'espère que tu ne m'en voudras pas ! )
Juste au cas où :
(YN)= ton prénom
(LN)= ton nom de famille
(CC)= la couleur de tes cheveux
(CY)= la couleur de tes yeux
(LC)= la longueur de tes cheveux
(CP)= la couleur de ta peau
En gros ici, je les place plutôt au lycée avec le même contexte parce qu'ils sont quand même un peu jeunes pour avoir des rapports.....(ce n'est que mon avis sur la question, ne vous fâchez pas si le votre diffère du miens!!!!). Par contre je suis désolée, la personne qui m'a demandée cet os a spécifié que la reader avait une poitrine développée....c'est le seul critère « imposé » de cette histoire :)
Il y a quelques jours de cela, une nouvelle élève était arrivée dans la classe de Koro-Sensei. Son nom ? (YN). (YN) (LN). Tout le monde était assez surpris par cette nouvelle inattendue dans la classe : après tout, ils n'avaient même pas êtes prévenus à l'avance ! La jeune fille avait de (LC) cheveux (CC), de jolis yeux (CY) et une belle peau (CP). Le détail qui attira le plus rapidement l'attention de la gente masculine fut sa poitrine développée...toutes celles des filles de leur classe paraissaient ridicules maintenant ! Mais le plus choqué de tous était au fond de la classe, les yeux écarquillés et la bouche grande ouverte : c'était Karma Akabane.
Pas besoin qu'on lui présente cette beauté, il la connaissait déjà. Il la connaissait même vraiment très bien : sa tolérance à l'alcool, sa joie de vivre mais surtout son corps. Maintes et maintes fois il avait eu l'honneur de toucher ce corps, de toucher ces formes voluptueuses. Ces seins qu'il aimait tant, tellement doux, on pouvait faire tellement de choses avec : les malaxer, les mordiller les utiliser pour son propre plaisir et voir son visage se recouvrir de sperme. Ahhh qu'il aimait ses cuisses aussi qui étaient laissée à la vue de tous par cette jupe d'uniforme trop courte pour que sa patience ne dure. Qu'il aimait les serrer dans ses mains jusqu'à en laisser des bleus sur la peau (CP) de la (CC ex: brune, blonde...) qui ne manquait jamais de gémir au contact de sa peau contre celle du rouquin. Mon dieu ses gémissements. Elle n'arrivait jamais à les contenir lorsqu'elle passait sous ses doigts experts que dis-je, sous cette bouche et ces dents affamés qui ne réclamaient que sa peau.
Il l'avait rencontrée plusieurs fois lors de soirées que des amis en commun avaient organisées. Et en ce jour d'avril, il était le plus comblé de tous mais sans se mentir, le plus excité. L'idée de la voir tous les jours en uniforme ? De la voir porter à chaque seconde cette jupe qui ne demandait qu'à être soulevée par lui ? Jamais il ne tiendrait et c'est bien ça qui le rendait le plus dingue. Son corps lui avait manqué plus que n'importe quoi depuis qu'il était né. Sa chaleur lorsqu'elle était excitée était intoxicante et il donnerait tout ce qu'il avait pour ressentir tout ça à nouveau. Et c'est ce qu'il comptait faire.
Alors qu'elle ne l'avait pas remarqué, trop occupé à répondre à une question qu'un camarade lui avait posée, lui sentait déjà son pantalon devenir trop serré pour le contenir. Et comme le hasard fait bien les choses, elle dû s'asseoir à côté de lui et ce n'est qu'à ce moment que le rouge lui monta au joue : et oui, Karma Akabane était tout sauf facile à oublier.
« -Mais qui vois-je là ? Ma poupée !!! *chuchote* j'espère que t'es prête chaton parce que je ne risque pas d'y aller doucement avec toi alors que tu viens dans MA classe à côté de MOI. Mais dis-moi, je t'ai manqué-.....
-KARMA ! LAISSE LA NOUVELLE TRANQUILLE dit koro-senseii
-ouai ouai....*chuchote* tu payes rien pour attendre toi. »
Je crois qu'elle ne se rend toujours pas compte dans quoi elle vient de se mettre. Vous me direz, elle a rien fait, elle n'a même pas réagit. Mais c'est bien ça mon problème. 0 vraie réaction m*rde. Elle a même pas lâché un mot ou un sourire ! Elle va prendre cher. Très très cher.
J'ai laissé Koro continué sans vraiment écouter on va pas se mentir quand j'ai eu une idée. J'ai laissé ma main vagabonder jusqu'à sa cuisse que j'ai serré dans ma main en mordillant ma lèvre sans pour autant pouvoir m'empêcher de sourire. Je serrai fort, vraiment fort et je la voyait se mordre le point et baisser la tête pour éviter de faire du bruit. J'ai pas aimé ça. Oh non ma grande, tu vas pas faire ta fière longtemps.
Elle me lança un regard lourd de sens mais moi le miens lui faisant clairement comprendre qu'elle n'avait pas intérêt à faire quoi que ce soir pour m'empêcher de l'utiliser à ma guise. Elle était à moi. Je l'avais marquée assez de fois pour pouvoir l'affirmer haut et fort. C'est donc délicatement que je frôlait sa cuisse du bout des doigts en remontant, tout doucement, sentant sa peau frissonner sous mon toucher.
J'atteignis enfin la barrière de tissus qui m'empêchais d'atteindre mon fruit défendu dont le souvenir me fit saliver d'impatience. Rapidement et furtivement, je glissais deux doigts sous sa culotte et lui enfonçais directement en son sein, la faisant sursauter et gémir fort dans son pull. Tout le monde s'est retourné vers nous mais elle prétendit s'être cogné le genou et tout le monde la cru en la voyant au bord des larmes. Et moi je souriait de fierté parce que je savais que ces larmes, c'était des larmes d'excitation.
Elle était mouillée et chaude et plus je bougeais mes doigts en elle, plus sa respiration devenait forte et s'accélérait. Je fis des mouvements de ciseau pour écarter ses parois et la préparer au mieux ce qui la fit se pencher en avant contre sa table. Face contre plastique dur pour se refroidir mais dans cette position, je pouvais aller encore plus profond. Alors je fis un mouvement plus sec et rapide qui la fit couiner de façon ridicule. Pendant ce temps je laissais quelques soupirs m'échapper en me caressant. Rien n'était mieux que de la sentir toute serrée autour de moi mais je devais prendre mon mal en patience.
Par contre, aucune pitié pour elle. Pendant que mon indexe et mon majeur était toujours fourrés en elle, la fouillant intensément, je me suis permis une petite folie : je rentrai mon pouce tout doucement dans son rectum. Son corps se battait pour m'extirper de là mais il était hors de question pour moi de renoncer. Alors je m'enfonçais en appuyant plus fort et avec plus de détermination en serrant des lèvres et en accélérant mes mouvements sur mon membre qui devenait de plus en plus impatient.
Quand soudain, la sonnerie retentit me faisant retirer ma main de sous sa jupe, sans pour autant manquer de claquer ses jolies fesses. Elle couina dû à l'absence de ma main.
« -Voilà ce que je veux entendre mon ange. Maintenant soit gentille et suis-moi. » lui chuchotais-je à l'oreille en la saisissant par le bras. Bénissez la pause midi au grand dieu du sexe.
Je courrais avec elle dans les couloirs, mon sac sur le dos, laisser à la vue de tous mon érection prominante. Enfin, c'est pas comme si c'était la première fois qu'ils me voyaient dans cet état. Puis on atteignit enfin la réserve. C'était soit j'envoyai le fils du directeur à l'hôpital soit il me passait les clés.
Je l'ai clairement balancé à l'intérieur avant de fermer à clé derrière nous. Je l'ai plaquée contre le mur et ai baissé sa culotte d'un coup. Puis je l'ai embrassée violemment : je n'avais plus aucune patience avec elle, on avait dépassé ça elle et moi. J'ai très vite descendu ma braguette et mon boxer avant de m'insérer d'un coup en elle, la faisant violemment gémir.
« -Haannnn »
Je claquais ses fesses une nouvelle fois :
« -Ferme-là. Autant tu m'excites autant je veux pas me faire renvoyer pour toi compris ? » elle hocha la tête vivement et pour la récompenser je mis un gros coup de rein en elle.
Je sais ce que vous pensez : je suis clairement un conn*** avec elle mais je vais pas lui montrer mes sentiments aussi facilement. Il va falloir qu'elle galère comme elle m'a fait galérer.
On a dû y rester au moins 45 minutes. 45 minutes de gémissements, de mordillements mais surtout de violents vas être viens. Elle était tellement chaude et serrée, c'était devenu ma maison. Je ne pouvais plus me passer de cette sensation réconfortante qu'elle me procurait et elle ne pouvait plus se passer de moi. Entre mon membre dur et mes mouvements secs et rapides, elle a dû jouir deux fois au moins. Je faisais mon travail moi.
Et quand j'ai senti mon pic arriver, je l'ai retournée et mis à genou devant mon membre que j'ai enfoncé avec une certaine lenteur dans sa bouche : je veux pas non plus qu'elle s'étrangle, mon but est quand même qu'elle se sente bien.
J'ai repris mes vas et vient dans sa bouche, elle prenait tout ce qu'elle pouvait dans sa bouche, sa main malaxant mon paquet (an: 😖🤯) : elle m'a presque fait venir d'un coup cette idiote. Pendant ce temps, elle était en train de se doigter de ses deux longs et fins doigts : elle n'en a jamais assez. Et puis d'un coup elle a de nouveau jouit, ce qui a causé des vibrations venant de sa gorge entraînant ma propre jouissance.
Lorsque je me retirai de sa bouche, mon sperme coulait le long de son menton alors elle ramassa ce qu'elle n'avait pu avaler avec son pouce et le mit dans sa bouche en me regardant droit dans le yeux, me faisant grogner. Je la relevais de force et la plaqua à nouveau contre le mur mais cette fois avec moins de force et je l'embrassais tendrement, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus respirer et qu'on doive se séparer.
Chacun essayait de retrouver sa respiration, pour autant je la gardais collée contre moi et le mur, enfouissant ma tête dans son cou dont l'odeur me rendait dingue.
« -Bonjour à toi aussi Karma » me dit-elle en rigolant doucement.
Je vais la démonter.
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