Karma x reader (assassination classroom)
Pour _Laura15_
En espérant qu'il te plaise ;-)
Pdv Karma
Cela va faire bientôt sept ans que je suis avec (YN). Nous sommes en couple depuis la troisième et je l'aime toujours autant voir même plus. Nous vivions ensemble depuis un an maintenant et tout se passait à merveille entre nos moments d'amour et nos moment de chahutage où nous redevenions de simples adolescents. J'allais de surprise en surprise avec elle et étonnamment, nous ne nous étions jamais réellement disputés jusqu'ici.
Je suis jaloux et possessif de nature donc je lui avais déjà fais des crises de jalousie, naturellement, mais nous avions toujours désamorcé le problème avant que cela ne parte trop loin. Mais pas cette fois-là. Je n'ai jamais eu aussi peur de ma vie de la perdre et nos mots à tous les deux ont dépassé notre pensée...
Flashback
(YN) m'avait envoyé un texto pour me dire qu'elle rentrerait sûrement un peu tard se soir. Comme tous les autres soirs depuis deux semaines en fait et je vous avoue que je le vis assez mal. J'aime l'avoir près de moi, pouvoir sentir son odeur et la serrer aussi fort que j'en ai envie sans avoir à la partager avec qui que ce soit! Autant vous dire que depuis ces quatorze jours, à chaque fois qu'elle me donnait un horaire, elle rentrait au moins une voir deux heures plus tard que prévu!
J'ai une confiance aveugle en elle, je sais qu'elle m'est fidèle mais je déteste le regarde que pose son soi-disant patron sur elle. J'avais eu la ''chance'' de le rencontrer et autant vous dire que je n'ai jamais lancé de regard aussi noir qu'à ce sale type! Il reluquait les fesses de ma petite-amie et en plus il la gardait plus tard le soir?! Nan mais je rêve ça ne tourne pas très rond là : c'est moi qui est censé la voir le plus souvent, elle est à moi et rien qu'à moi!!!!
Ce soir donc elle rentra une heure plus tard, comme je vous l'avais prédis. Elle retira ses chaussures à talon, son manteau et traversa le salon pour venir s'allonger sur moi, sur le canapé.
« Bonsoir mon cœur. » me dit-elle juste après m'avoir embrassé.
« Bonsoir mon amour. Tu as passé une bonne journée? » lui demandais-je simplement essayant de ne pas paraître trop exaspérer par cette situation.
« Mon patron n'a fait que m'appeler dans son bureau aujourd'hui pour toute sorte de chose, on aurait dit que j'étais son assistante je te jure! »
Je cherchai la raison du pourquoi quand soudainement je senti une odeur qui m'étais peu familière sur sa robe, qui d'ailleurs était beaucoup trop courte à mon goût! Je suis désolé mais là il y a des limites je lui fais confiance mais j'ai besoin d'avoir des réponses à mes questions :
« (YN), lèves toi et dis moi avec qui tu étais ce soir. Ne me mens pas. » lui ordonnais-je assez froidement.
« J'étais avec mon patron et un collègue à moi au bureau pourquoi? » me demanda-t-elle exécutant mes ordres.
« D'une je voudrais que tu m'expliques ce que tu faisais avec une robe pareil au bureau et de deux je voudrais que tu éclaires un point s'il te plaît : t veux dire que tu étais SEULE avec DEUX HOMMES dans un espace clôt c'est bien cela? J'ai aussi une autre question, comment se fait-il que tu sentes le parfum d'homme et que ce ne sois pas le mien?! » l'avais-je assailli de questions alors que je savais qu'elle était éreintée, qu'elle n'avait rien fait et que c'était tout sauf le moment de parler de ça. Mais je ne me suis pas tût et j'en ai payé le prix...
« Quel est le problème avec ma robe hein?! Et oui j'étais avec deux hommes mais je suis restée collée derrière l'écran de mon ordinateur là aussi tu vas être jaloux?! Et ce soit disant parfum que tu as senti, c'est le parfum de mon frère que j'ai rejoins à midi et qui m'a donné sa veste pour que je n'ai pas froid!! » dit-elle en commençant à plus que sérieusement s'énerver.
C'était trop tard, la machine était lancée et je ne pouvais plus rien faire pour me taire...
« Ta robe est magnifique mais trop courte, on dirait une fille facile comme ça! Limite tu n'as pas besoin d'écarter les jambes qu'on a compris le message! Tu m'étonnes que ton patron t'as gardé toute la journée avec lui, la seule chose qu'il voulait c'était pouvoir te matter sans avoir à te demander la permission voilà tout!
Et elle me colla le plus grand aller-retour que je ne m'étais jamais pris de toute ma vie. Mais je le méritais même si je ne l'ai pas reconnu à ce moment-là.
« Je te demande pardon?! Répètes ce que tu viens de dire si tu l'oses! » explosa-t-elle.
« Parfaitement madame, tu avais l'air d'une fille facile et ça ne m'étonnerai pas que depuis deux semaines, tu ailles voltiger à gauche à droite pour te faire de nouvelles expériences! Lui hurlais-je dessus alors que je ne pensais pas un seul traître mot de ce que Je venais de dire.
Le pire de tout arriva, je venais de la faire pleurer, pour la première fois en sept ans je la rendais triste et pas qu'un peu d'ailleurs...
« Tu n'es qu'un connard Akabane! Un sale égoïste et un enfer à vivre! J'ai toujours été là pour toi pendant ces sept ans, je t'ai toujours fais plaisir et voilà comment tu me remercies?! Tu sais quoi? Va te faire foutre et ne viens plus jamais me parler. »
Elle voulu partir mais je la retiens par le poignet en lui parlant comme si je parlais au démon en personne, avec un profond dégoût dans la voix :
« Ça veut dire quoi ça hein?! Tu vas tout foutre en l'air pour ça ?! »
« Toujours aussi perspicace. Toi et Moi c'est finit Akabane, oublies que j'existe un point c'est tout. »
Puis elle se dégagea de mon emprise et partie.
Fin flashback
Voilà où j'en était aujourd'hui, j'avais perdu l'amour de ma vie pour une stupide histoire de jalousie alors que j'avais une confiance aveugle en elle. Cela fait trois mois que je ne l'ai pas revue, que je n'au pas entendu le son de sa magnifique voix et surtout, que je ne l'ai pas touchée. J'ai toujours été extrêmement tactile avec elle.
De plus, son odeur avait maintenant disparue de tous ses vêtements et l'appartement était vide sans elle. Je partais travailler le matin avec une vague de chagrin qui m'envahissait à chaque fois que je passais devant ce coin devant la porte d'entrée : là ou des dizaines de photos et d'album trônais, me permettant de voir à quel point j'avais été con et à quel point la personne qui partageait ma vie était un miracle que la vie avait déposé sur mon chemin.
J'étais dans mon bureau quand ma secrétaire me dit que j'avais une réunion importante avec plusieurs entreprises et leurs représentants. Je m'y rendis en avance et je LA vit. Debout, devant moi plus resplendissante que jamais mais avec des yeux remplis de tristesse.
« (YN)... »
Elle se retourna et lorsqu'elle me vit, elle me jeta un regard des plus noirs mais elle ne réussi pas à retenir ses larmes c'est pourquoi elle se retourna afin que je ne puisse pas la voir craquer devant moi.
« S'il te plaît écoutes moi j'ai besoin de toi... » la suppliais-je.
« Et moi tu crois que je n'ai pas besoin de toi?! Tu crois que je n'ai pas voulu venir te voir pendant ces trois mois?! Tu crois que tu ne l'as pas manqué ?! C'est que tu es sacrément idiot Akabane. »
« Je n'ai.. » mon téléphone retenti et je l'en saisi immédiatement pour vérifier que ce n'était pas une urgence.
« Monsieur, la réunion a été annulée en raison des intempéries. »
« Très bien merci. »
Je raccrocha et ferma la salle de réunion à clef. Par chance celle-ci était totalement insonorisée. Je soupirai restant de dos à elle, ma main toujours sur la poignée.
« Il n'y a aucuns mots qui permet de décrire la violence de les paroles à ton égard. Je ne pensais, ne penses et ne penserais jamais de telles choses à ton propos. Je t'aime éperdument, amoureusement et je Sia dise tu es la femme de ma vie alors je t'en supplie, reviens-moi, pardonne-moi et je peux te jurer que plus rien de ce genre n'arrivera jamais! » et j'avais moi aussi craqué.
Je n'arrivais pas à la regarder dans les yeux mais je me retournai dans sa direction et m'approchai d'elle qui n'avait toujours pas réagis depuis le début de mon appel.
« Je t'en supplie mon amour dis moi quelque chose, j'ai mal, j'ai terriblement mal et j'ai besoin que ton amour me soigne. J'ai besoin de te savoir à mes côtés s'il te plaît ! » l'implorais-je comme je l'avais fait plus d'un millier de fois durant ces trois derniers mois.
Et je tomba à genoux devant elle qui ne cessait de pleurer silencieusement en se mordant la lèvre inférieure jusqu'au sang.
« Je t'aime. » fut tout ce que je lui dit avant d'entendre pour la première fois depuis ce supplice, sa voix si douce.
« Relèves-toi Karma. »
Je m'exécutais sans broncher et la fixais dans les yeux.
« Je t'aime aussi et ça ne changera jamais, j'ai besoin de toi mais quelque chose me bloque et je n'arrive pas à venir vers toi! »
« Je t'en pris laisse moi te prendre dans les bras s'il te plaît, j'ai besoin de te toucher, laisse moi te montrer à quel point je t'aime! »
Elle fit un pas envers moi et je compris tout de suite de message : elle étais de nouveau mienne. Je la serrai tellement fort que je crois que son sang ne pouvait tout simplement plus passer dans ses jambes! Je humais son odeur comme un toxicomane qui aurait été privée de sa drogue pendant trop longtemps! J'avais posé ma tête sur la sienne mais je le décalai pour pouvoir l'embrasser seulement, je m'arrêtai à quelque millimètres de ses lèvres en attendant son autorisation.
Et elle me fit attendre comme ça pendant au moins trente secondes, les plus longues et les plus dures de toute ma vie!
Puis le graal : elle m'embrassa avec force sans aucune douceur. Notre échange nous permettait juste de rattraper le temps perdu, au diable la patience notre baisé était enflammé et nous étions dans un autre monde.
« Je t'en supplie ne me fais plus jamais vivre cet horreur! Je ne veux plus jamais revoir ce dégoût dans ton regard! Tu m'as détruite et je.. »
Elle refondit en larme mais cette fois c'était dans les bras. Je pouvais enfin la consoler comme je le voulais!
« Je te le jure mon amour, tu ne verras rien d'autre que de l'amour et de l'admiration dans mes yeux lorsque je te regarderais à l'avenir. Tu es la femme la plus incroyable que le monde ait jamais connu et tu es avec moi! Alors crois moi que je te traiterai mieux qu'une reine et que plus jamais un mot de travers ne sortira de ma bouche ! »
« Es-tu sincère ? »
Seule cette salle de réunion fut témoin de nos retrouvailles très...amoureuses ;-)
~End~
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