Gaara x reader (Naruto)
Pour @MissDeidara
En espérant qu'il te plaise !!!
Le début est assez étrange, en fait c'est Gaara qui est entrain de lire la lettre que vous lui avez écris mais directement après c'est son pdv alors je ne vais pas le préciser ;-)
(VI) Votre initiale de prénom
Lettre du 03/03
Je suis en train d'admirer les magnifiques dunes de sables qui entourent le village de Suna, me rappelant de tous les bons moments que j'avais pu passer en ta compagnie. J'avais pensé à notre première rencontre qui avait eu lieu exactement à l'endroit où je me trouvais en ce moment, seule.
Tu étais encore en train de pleurer à cause de ta solitude et tu te renfermais de plus en plus sur toi-même, remplissant ton cœur de noirceur. Pour toi, tout le monde était identique, trop stupide pour voir tout l'amour que tu renfermais, n'apercevant que le monstre que tu habitais. Moi je voyais en toi un héros, car sans toi nous serions tous mort à cause de la puissance de ce démon que tu devais supporter à longueur de journée sans avoir personne à qui te confier. Même pas tes parents ou ton frère et ta sœur.
J'avais décidé d'être ta sauveuse, je voulais te voir sourire comme tous les enfants de notre âge et mes parents ne pourraient rien contre ça. Malgré tout je savais qu'il ne me reprocherait aucunement mon geste car ils faisaient parti des rares qui ne t'en voulaient pas le moins du monde. Alors c'est sans hésité que du haut de mes 7 ans j'avais couru à travers le désert. Je savais que tu y serais car ventait le seul endroit où personne ne pouvait te juger car aucuns habitants du village ne se rendait à travers le sable sans une bonne raison.
J'avais toujours aimé ces petits grains dorés, je ne sais pas pourquoi mais j'adorais les caresser et les façonner même si j'étais loin d'avoir ton talent. Oui à mes yeux tu étais bourré de talent et je t'admirais pour tout ce que tu arrivais à faire avec « tes pouvoirs ». Au bout de presque un quart d'heure de recherche, je te trouvais enfin, seul et assis sur cette dune. J'avais accélérer car j'étais effrayée à l'idée que tu t'enfuisses. Alors que je ne me trouvais plus qu'à quelques mètres de toi, tu t'étais violemment retourné et tu avais voulu m'attaquer pendant que j'étais un énième assassin. Seulement lorsque tu m'aperçus, tu arrêta ton sable à une très courte distance de mon visage. Résultat j'avais placé mes mains devant et avais fermé les yeux cependant lorsque je ne senti rien venir, j'avais relâché toute la pression et avais pris la parole. Je m'étais présentée et je t'étais demandé si je pouvais m'installer à côté de toi car je voulais être ton amie (ce que l'on peut être innocent lorsque l'on est enfant...). Tu m'avais regardé étrangement me faisant rire, je t'avais alors demandé si j'avais quelque chose sur le visage pour que tu me dévisages de cette façon. Tu avais simplement répondu que tu préférais que je m'en aille car tu ne savais pas être un bon ami.
Je m'étais alors installée tout près de toi et t'avais fais un grand sourire rassurant en te disant que cela n'avait aucunes importance car j'allais t'apprendre et que tu allais devenir le meilleur ami qu'une personne puisse rêver d'avoir. C'est d'ailleurs à ce moment que tu me fis un léger sourire puis que nous avions commencé à jouer comme deux enfants normaux, que nous étions toi et moi.
Je t'avais fais part de mon admiration pour toi et tu avais rougi. Je t'avais trouvé tellement mignon si tu savais !! J'ai commencé à faire un dessin de fleur dans cette étendu doux et doré puis je l'avais accompagné de nos silhouettes à toi et moi. Tu étais resté silencieux dans mon dos jusqu'à ce que je finisses mon « œuvre d'art » puis tu lui avais donné vie, littéralement, j'avais donc pu voir ma fleur géante s'épanouir devant moi. J'étais restée émerveillée devant tant de talent, je ne comprenais tout simplement pas comment tu pouvais ne pas en être fier.
J'étais en réelle admiration devant toi, alors je m'étais retournée et t'avais serré dans mes bras en te remerciant et en te félicitant un nombre incalculable de fois.
Puis nous nous étions revus encore et encore mais visiblement je n'ai pas réussi à te sauver comme je l'aurai voulu. Tu étais malgré tout devenu froid et violent et ce envers tout le monde. La raison ? Cinq ans après notre première rencontre j'avais dû partir loin de toi pour des raisons familiales afin d'apprendre de nouvelles techniques. Lorsque je t'avais appris cette nouvelle, tu étais devenus extrêmement triste et tu n'avais plus voulu me revoir alors qu'il me restait une semaine entière à passer à tes côtés. J'étais encore jeune mais je comprenais bien que je t'aimais plus que de raison. Alors avant de partir, je n'avais pu retenir mes larmes et je t'avais simplement demandé pourquoi tu faisais du mal aux gens qui t'aimais réellement alors que j'étais toujours là. Tu avais écarquillé les yeux en me voyant pleurer et tu t'étais rapidement relevé en me disant que si je ne partais pas sur le champs, tu allais finir par me faire quelque chose de regrettable. Je t'avais regardé dans les yeux et je voyais bien que tu en étais incapable mais que malgré moi, je t'avais également profondément touché par mon aveux.
Tu avais l'impression que comme tous les autres avant moi, ta mère, ton oncle, ta famille, je t'abandonnais et que je n'avais fais que te mentir et jouer la comédie depuis le début. Alors que tout ce que j'ai pu faire ou dire était plus que sincère, j'ai toujours aimé ta compagnie mais nous avions tous les deux été piqués à vif alors nous nous étions séparés sans aucunes autres paroles qui aurait pu me faire partir en bon thermes avec toi.
C'est donc par le biais de Témari que je me tenais au courant de tous tes fais et gestes mais surtout, de ton changement ! J'étais tellement heureuse de savoir que tu avais réussi à passer outre toutes tes douleurs et blessures si tu savais !! Alors dès que j'ai pu, presque trois ans après mon départ et ton examens Chunin, j'avais eus la chance de pouvoir le rendre à Konoha. J'avais demandé à voir Naruto Uzumaki et lorsque je l'avais aperçue, je ne m'étais même pas présentée et je l'avais serré dans mes bras en pleurant. Lorsque je l'avais lâché il me regardait avec un regard complètement perdu qui me fit rire au possible. Je lui expliquai donc l'ancien lien que nous possédions toi et moi et surtout combien je lui étais reconnaissante pour avoir réussi cet exploit.
Je n'étais peut-être pas la meilleure amie du monde, pas la plus parfaite mais je me tenais toujours au courant de tout ce qui t'arrivait. J'étais très attristée car les seules choses qui me permettaient de constater ton changement étaient de tarés photo que ta sœur arrivait à me glisser dans ses lettres que je chérissais tant. J'étais aussi contrariée car je ne pouvais toujours pas retourner à Suna en raison d'une mission que j'avais reçue.... alors je dis attendre encore un an et j'appris que tu était devenus le nouveau Kazekage.
Je me rappelle avoir lu le papier au moins cinq fois d'affilée me demandant si ma vue ne commençait pas à baisser. Je ne doutais absolument pas de tes capacités, loin de là, j'étais tout simplement à nouveau impressionnée par ta personne. Même à distance tu continuais et tu continues encore à m'influencer alors je ne sais pas si tu recevras cette lettre un jour mais si tu le fais au moment que j'avais prédis, tu devrais me voir arriver dans notre village, dans TON village.
Je ne sais même pas si tu te souviens réellement de moi, je ne pense pas t'avoir marqué tant que ça. Je ne sais même pas pourquoi je t'écris ça au bout de quatre ans alors que je ne t'ai jamais donné de signes de vie...je suis une piètre amie pardonnes-moi. Tout ça pour te dire que je serai de retour et qu'il va falloir que je passe te voir pour récupérer mes missions et mes clef d'appartement. Saches une chose : tu n'as jamais quitté mon esprit et tu m'as toujours manqué ! Penser à toi me déchirai le cœur mais me reboostait tant tu incarnais le courage pur à mes yeux.
Celle qui a sûrement quitté ton esprit depuis un moment : (YN) (FN).
Je refermai la lettre et devins soudainement nostalgique : non moi non plus je n'avais jamais réussi à te sortir de ma tête (YN). Si tu savais comme je suis désolé de t'avoir effrayée cette fois-là. Tu es parfaitement su me cerner, j'étais blessé et je n'avais plus confiance en toi. Enfin, jusqu'à ce que Naruto croise ma route, il a sauvé tellement de mes relations tu ne peux pas imaginer ! Je regardai l'heure et me dis qu'elle ne devrait pas tarder à arriver et je comptais bien l'attendre en personne et l'accueillir comme elle le mérite : comme ma meilleure amie, la seule vraie que j'ai jamais eus et que j'ai toujours aimé au fond de moi.
Alors je laissai un clone à mon bureau et me rendis discrètement à l'entrée du village. Je tenais dans ma main la fleur qu'elle avait dessinée dans le sable lors de notre première rencontre. Je rigolai en agitant ma tête lentement en me rappelant de ce magnifique sourire qu'elle m'avait adressé cette fois-là. Il était tellement radieux qu'elle avait réussi à me faire rougir !! Je comptais bien lui rendre la monnaie de sa pièce mais pour le moment il ne me restait plus qu'à l'attendre patiemment.
Quand soudain, j'aperçus une silhouette : celle d'une jeune femme visiblement avec de (LC) cheveux (CC) flottant dans le vent. Je ne pouvais la distinguer parfaitement mais je devinais facilement qu'il s'agissait d'elle. Plus elle se rapprochait de moi et plus elle baissait la tête en me voyant. Ne me dites pas que je lui fait encore peur ?! En même temps ce serait un peu normal mais je ne pus empêcher mon cœur de se serrer à cette pensée.
Une fois qu'elle fus devant moi, elle se courba complètement avant de prendre la parole :
« Bonjour Kazekage-sama. »
« (YN)-chan arrêtes tout de suite de m'appeler ainsi, tu n'es pas une étrangère. »
« C'est simplement tout le respect que je vous dois. »
« Commence par te relever et comportes-you normalement, je ne veux pas que tu mettes autant de distance entre toi et moi. »
Elle se releva et me regarda tristement dans les yeux.
« Pourtant je l'ai déjà fais quand je t'ai laissé seul... »
« J'ai grandis et j'ai mûri. Je ne t'en veux plus le moins du monde, tu n'as absolument rien fais de mal. C'est moi qui avait mal réagit en te tournant le dos de la sorte. »
« Tu as changé en effet, en bien je veux dire. »
« Vu les échos que j'ai eus de toi il y a à peine une heure, je peux dire que tu as beaucoup changé aussi et pas que physiquement. »
« Hum... »
« Tiens c'est pour toi. » lui dis-je en lui souriant lorsque je lui tendis sa fleur.
Je pus de nouveau apercevoir un magnifique sourire sur son visage qui me dit craquer : cette fille était encore plus adorable qu'avant. Celui-ci était malgré tout timide et je n'arrivais pas à faire sortir la petite fille que je connaissais et qui était toujours au fond d'elle. C'était à présent à mon tour de la prendre sous mon aile et ça allait commençait dès maintenant. Je lui fis donc faire le tour du village qui avait pas mal changé depuis tout ce temps puis je lui avais donné les clés de son appartement afin qu'elle s'installe de nouveau dans son chez-soi. Nous avions convenu de dîner ensemble afin de rattraper tout ce temps perdu.
Le soir-même, une fois que j'eu finis de remplir tous mes papiers, je passai la chercher chez elle puis nous partîmes ensemble au restaurant. Je l'écoutai plus que je parlai tant je buvais ses mots à peine sortis de ses lèvres rosées. Le repas passa assez rapidement et s'un commun accord nous poursuivîmes notre soirée ensemble par une ballade dans le désert. Il faisait bon à cette heure-ci même si le climat restait arride. Elle avait d'ailleurs changé sa tenue pour une autre beaucoup plus découverte se composant d'un haut sans manches et d'une jupe plutôt sourire qui cachait un bas noir. Elle était ravissante et je ne le remarquais vraiment qu'à partir de ce moment.
Nous nous assîmes l'un à côté de l'autre sur une dune des plus hautes, admirant l'étendu doré qui s'offrait à nous.
« Gaara ? »
« Oui ? »
« Tu crois que l'on peut recommencer à zéro ? » me demanda-t-elle le plus sérieusement du monde en laissant traîner son doigt dans les grains de sable nous entourant. « Je veux dire, je ne veux rien oublier mais je veux reprendre depuis notre présentation. »
« Pourquoi pas. » lui dis-je en souriant lorsque je la vis dessiner une forme dans le sable fin et chaud du désert de Suna.
Cette fois-ci ce ne fut pas une fleur, mais une maison avec nos deux corps droits devant celle-ci. Une fois qu'elle eut terminé, elle resta ainsi à le regarder tandis que derrière elle, se trouvait à présent son dessin mais en réalité. Je lui avais à nouveau donné vie, mais je l'avais remplis d'un tas de chose. Je me levai et lui pris la main afin de l'entraîner dans mon mouvement. Je la retournai délicatement et lorsqu'elle vit ce que j'avais fais, elle rigola me permettant d'entendre ce doux son que je n'avais pas entendu depuis un très long moment. Elle se retourna face à moi et parla d'une voix enjouée :
« Tu es encore plus doué qu'avant ! Je vais devenir ta fan numéro 1 !!
« Tu vas avoir de la concurrence je crois. » lui dis-je en voulant la taquiner.
« Je m'en fiche, je serai la numéro 1 un point c'est tout !! » avait-elle dit comme une enfant me faisant rigoler aussi.
Pdv extérieur
« Et comment feras-tu lorsque je me marierais ? » l'avait interrogé Gaara en attendant sa réponse au tournant.
« C'est simple, ta femme se sera la femme la plus importante de ta vie et moi je serais ta fan la plus importante !! »
*si tu savais comme je voudrais que tu sois les deux* pensait-il.
*Si tu savais comme je souhaiterais incarner les deux rôles* pensait-elle.
Le rouge la fis entrer dans la maison et elle, regardait absolument tout avec des étoiles dans les yeux. L'adolescent n'arrivait plus à la quitter du regard et elle, s'était le berceau qu'elle ne voulait plus quitter des yeux.
« Tu veux devenir mère ? » lui avait-il demandé en se rapprochant d'elle, la regardant tendrement pendant qu'elle caressait du bout des doigts le meuble factis.
« Oui, plus tard je veux des enfants et tu sais quoi ? » lui avait-elle demande en se retournant vers lui.
« Dis-moi. »
« Je veux me rappeler toute ma vie de cette maison et de cette fleur comme ça je pourrais raconter à mes enfants à quel point le meilleur ami de leur maman était incroyable !! »
« Et leur père, tu ne vas pas le rendre jaloux ? »
* Si tu savais comme je voudrais que tu sois le père de mes enfants.* pensait-elle.
*Si tu savais comme je voudrais que tu sois la mère de mes enfants. » pensait-il.
« Il devra faire avec ! Tu es mon Kazekage et mon meilleur ami alors il est inévitable que je parles de toi à mes enfants !! »
Ils s'étaient tous les deux souris puis étaient montés à l'étage. Lui avait tout imaginé selon ses goûts à elle et les siens, comme si c'était leur demeure à eux seuls. Alors forcément, il avait glissé de subtils détails un peu partout de leur histoire comme des petites fleurs dans les faux cadres ou autre. Lorsqu'ils pénétrèrent dans ce qui se voulait être une chambre parentale, elle remarqua tout de suite le G et le (VI) enchevêtrés l'un avec l'autre qui se trouvaient sur la porte ou sur les cadres.
Elle sourit malgré elle et lui le remarqua se demandant si elle avait put remarquer ces détails.
« C'est subtil Gaara, je ne l'aurai presque pas vu si je ne m'imaginais pas aussi dans cette maison avec toi. » lui avait-elle dit en bougeant dans la pièce le laissant bouche bée et stoïque. « Tu aimes cet endroit n'est-ce pas ? »
« Oui, plus que tout mais toi est-ce que tu l'aimes au moins, histoire que tu ais de bon souvenirs à raconter à tes enfants plus tard. » dit-il avec une pointe d'amertume dans la voix ne prêtant aucune attention à ce qu'elle venait de dire.
« Oui je l'aime Gaara et tu sais quoi ? Je pourrai dire à NOS enfants à quel point leur père est extraordinaire et à quel point il a bon goût en matière d'architecture. Je veux que notre maison ressemble à ça plus tard, lorsque nous serons ensemble toi et moi. »
Il se rapprocha d'elle et serra son dos contre son torse musclé.
« On peut déjà l'être (YN). »
« Je ne peux pas Gaara, j'ai encore le souvenir de nous deux brises et j'ai peur que notre relation donne la même chose... » dit-elle en baissant la tête vers le sol de sable blanc.
« Ce n'est absolument pas pareil et je ne laisserai jamais une telle chose arriver. Nous allons nous laisser du temps toi et moi mais saches qu'au bout du compte nous serons ensemble dans cette maison, avec nos enfants. Crois-moi, nous ne nous séparerons plus jamais. » lui avait-il promis alors qu'elle se retournait pour lui faire face.
« Tu me le promets ? » avait-elle demandé les yeux brillants.
« Je te le promet ma (YN). » lui avait-il répondu en la regardant avec de l'amour et de la tendresse dans les yeux alors qu'à présent elle rougissait. Lui sourit intérieurement en se disant qu'il avait enfin atteint son objectif.
Il s'approcha lentement de son délicat visage et la rapprocha encore plus de lui a l'aide de ses bras taillés par l'entraînement. Elle fit le reste du chemin les séparant et à quelques millimètres de leur bouche l'une de l'autre, ils se chuchotèrent ces simples mots qui vous font chavirer le cœur :
« Je t'aile Gaara/ (YN). »
Puis ils s'étaient enfin embrassés, clouant parfaitement leur journée de retrouvaille qu'ils attendaient tous les deux impatiemment.
Cependant malgré ce baiser, celui-ci sonnait plus comme la concrétisation de leur promesse. En effet, les deux jeunes adolescents avaient prévus de se laisser le temps de se redécouvrir l'un et l'autre et ce geste servait simplement à les rassurer, leur prouvant que l'autre leur appartenait malgré tout .
Ils restèrent dans les bras l'un de l'autre toute la soirée puis il la raccompagna chez elle avant de repartir. Leur manège dura bien presque un an, la grande guerre enchaînant, avant qu'ils ne se décident à enfin se mettre ensemble pour le plus grand plaisir du reste de la fratrie du sable et de leurs amis. Pas très longtemps après, Gaara avait lancé la construction de sa future maison familiale et sentait marié dans les désert avec tous ses plus proches amis de présent. Lui et sa compagne nageait dans le bonheur et se rendaient parfois la vie invivable mutuellement, les faisant toujours rire au final. Quelques mois après leur mariage, ils eurent quartes enfants ensemble : deux garçons et deux filles qui étaient les enfants les plus aimés et choyés du monde.
Au final :
Elle, avait réussi à trouver son équilibre et à renouer avec l'homme de son passé, de son présent et de son futur.
Lui, avait pu concrétiser cette impression qu'il avait eu la première fois qu'il avait effet son sable a quelques centimètres de son magnifique visage qui désormais lui appartenait : elle ne l'abandonnerait jamais.
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