Chapitre 96
Annonce importante à la fin du chapitre 😉
"Celui qui veut réussir trouve un moyen. Celui qui veut rien faire trouve une excuse"
EMMA
Mes pas ralentissent lorsque j'arrive devant le grand bâtiment du commissariat de Chicago. Je n'ai jamais été ici, même pour le harcèlement que j'ai vécu alors je me sens assez mal à l'aise mais je n'ai pas le choix. Je dois le faire.
J'étais là alors je dois témoigner et en plus, j'ai promis à Aurore qu'elle ne sera pas seule durant cette période qui risque d'être compliqué pour elle, et pour Brent.
Hier soir, au moment d'aller chercher Austin, Liza, la mère des jumeaux est venue me voir car son fils avait oublié de me dire qu'il faudrait que je témoigne. J'avoue que cette annonce m'a mise une légère pression mais j'ai accepté de le faire au plus vite pour ne pas faire durer les choses trop longtemps.
C'est donc pour ça que là, je me retrouve ici avec Liza. Elle a accepté de m'accompagner et sa présence me rassure.
— Tu as l'air stressé, tu n'as pas à l'être tu sais, tout va bien aller.
— Je stress pour tout, riais-je nerveusement, j'espère que je vais réussir à trouver les bons mots pour en parler.
— Mais oui ne t'en fais pas, ça ne durera pas longtemps je t'assure, dit-elle.
Je hoche la tête en prenant une grande aspiration avant d'ouvrir la porte. La mère d'Aiden me suit jusqu'à l'accueil où je me présente. Étant légèrement en avance, nous allons nous asseoir dans la salle d'attente.
Le professionnalisme de cette femme me surpasse. Je ne sais pas comment elle fait pour rester aussi calme, dans cette histoire, elle doit défendre son amie d'enfance et le fils de cette dernière alors ça serait normal de voir en elle quelques failles qui prouvent que tout cela la touche, mais elle ne laisse rien transparaître.
— Comment faites-vous ? Demandais-je curieusement.
Je ne parle pas très fort malgré le fait qu'il n'y ait que deux personnes avec nous. Elle fronce les sourcils alors je reprends la parole pour qu'elle comprenne mieux.
— Comment vous faites pour ne pas vous laisser dépasser par tout ça, toute cette situation ?
— Mon métier ne me permet pas de me laisser aller, mon objectif est de défendre mes clients du début à la fin jusqu'à ce que nous gagnons. Si je me laisse aller, je prends le risque d'être déstabilisé et de paraître moins persuasive, répondit-elle.
— Mais c'est votre amie, et Brent le meilleur ami de votre fils et le petit ami de votre fille, continue-je.
— Emma, commence-t-elle en souriant tendrement, ce n'est pas parce que je ne montre pas que je ne ressens rien, ça devrait te rappeler quelqu'un non ?
Elle fait sans aucun doute allusion à Aline et Aiden.
— Les jumeaux, souriais-je.
Elle hoche la tête.
— C'est dans ma personnalité et j'avoue que mon métier à renforcer cet aspect-là. Je sais que tu es très sensible Emma et très compatissante, je pense que c'est pour ça que tu t'accroches autant à aider les autres lorsqu'il baisse les bras.
Brent.
— Toi aussi, tu peux très bien ne pas te laisser emporter par ce que tu ressens c'est juste que tu n'y arrives pas encore, poursuit-elle en posant une main sur mon épaule.
— J'aimerais bien y arriver vite, j'ai l'impression que c'est à cause de ma sensibilité que Brent s'est éloigné de moi, me confiais-je.
— Non Emma, seulement, il a besoin de prendre du recul en ce moment. Vous êtes amies, il a accepté ta sensibilité dès le jour où vous vous êtes liés d'amitié alors il ne te le rapprochera pas, me rassure-t-elle.
— J'ai vraiment hâte que tout s'arrange, soupirais-je.
— Tu te poses trop de questions, je comprends mais c'est ça qui fait que tes émotions te submergent. C'est bien de réfléchir, mais parfois, il vaut mieux éviter, sourit-elle.
Elle a raison, je le sais et il faut que je l'écoute car sinon je perdrais le contrôle de tout et ça, à chaque fois. Peut-être que là, le meilleur moyen de contrôler les choses, c'est de ne rien contrôler.
— Tu sais Emma, je crois que la meilleure chose qui a pu arriver à mes enfants et à Brent cette année, c'est ton arrivée, déclare-t-elle.
Je fronce les sourcils. Ça, ça veut dire qu'elle m'aime bien et si ma belle-mère m'apprécie c'est super ! Si ça n'avait pas été le cas, Aiden et moi serions toujours ensemble mais cela aurait pu créer des tensions mais rien de tout ça n'arrivera.
— Merci beaucoup, souriais-je.
— C'est plutôt à moi de te remercier, avant que tu n'arrives, il était presque impossible pour nous de pouvoir parler avec Aiden, il ne nous parlait de rien, nous étions presque des inconnus, dit-elle.
Je me souviens. Je me souviens de cet Aiden que j'ai rencontré en début d'année scolaire. Il n'a pas complètement disparu mais il a bien changé et je sais qu'il est bien plus heureux comme ça alors si ça peut aussi rendre ses parents heureux, il n'y a rien de mieux !
— Avec Aline, c'est toujours compliqué quelquefois mais depuis le début du lycée, elle ne ne nous avait jamais présentés d'amie à elle, elle se renfermait sur elle-même tout le temps mais maintenant ça n'arrive plus, continue-t-elle.
Les souvenirs de la journée que j'avais passé avec Aline lorsque Lana et Aiden étaient arrivés pour regarder notre film me reviennent en tête.
C'est vrai qu'Aline m'avait confié qu'elle n'avait pas l'impression d'avoir des amies, que des connaissances qui l'utilisaient pour pouvoir devenir amie avec son frère. À ce moment-là, je détestais Aiden alors je pense que c'est l'élément qui a fait que nous sommes devenus amies !
— Aline est toujours très secrète, même si je pense qu'elle me parle de beaucoup de choses, je sais qu'elle garde des choses pour elle. Elle est comme ça, répondis-je en haussant les épaules.
— Tu l'as bien cernée, rit-elle. En ce qui concerne Brent, grâce à toi il a enfin pu faire ce qu'il aime et même si les choses en sont arrivés là à cause de son père, je suis certaine qu'il est heureux d'avoir pu profiter de sa passion.
Je souris tristement. Si seulement il pouvait profiter pleinement de la danse, en participant au concours.
— Alors si un jour, tu doutes de nouveau sur ce que tu peux apporter à tes amies, repense à tout ça.
— Emma Bertman, entendis-je.
Je relève la tête et tombe sur un officier de police. Je me lève sous le regard encourageant de l'avocate. Tout va bien se passer.
Le policier m'accompagne silencieusement dans une salle qui ne ressemble pas du tout à cell dans les films. Je ne suis absolument pas dans une pièce sans fenêtre avec une sorte de miroir dans lequel les personnes qui sont de l'autre côté peuvent me voir secrètement.
Oui, je ne suis pas dans un film et bizarrement cela m'a rassuré légèrement. Je suis dans une sorte de bureau qui pourrait très bien ressembler à un bureau de directeur dans n'importe quel lycée.
— Asseyez-vous, l'officier Wallace va arriver.
Je m'exécute mais reste bloqué sur le nom que je viens d'entendre. Wallace.
Lana Wallace. Officier Wallace.
Je vais parler au père de Lana.
Peut-être que Lana lui a déjà parlé de moi, ou de Brent . Je ne sais pas trop quoi penser, s'il a un avis déjà fonder sur moi à cause des disputes que j'ai eu avec sa fille est-ce que cela pourrait porter préjudice à Brent et Aurore ?
Non. Normalement il doit rester professionnel.
Je ne dois pas stresser pour rien. Il n'y a aucune raison de l'être.
— Bonjour mademoiselle.
Mon visage se tourne et un homme grand, assez robuste me fait face. Il ferme la porte et me sourit avant de venir s'asseoir devant moi.
— Bonjour, finis-je par dire.
— Nous allons faire en sorte que ce ne soit pas très long alors je vous demande d'être honnête dans vos réponses, ça nous aiderai, dit-il.
Comme si je comptais mentir.
— Bien sûr, répondis-je en hochant la tête.
Il hoche la tête en retour et appuie sur le bouton de l'enregistreur.
— Alors, mademoiselle Bertman, comment connaissez-vous monsieur Stanford ? Me demande-t-il.
— C'est mon professeur de sport au lycée et le père de mon ami.
— Vous le connaissiez bien ? Me questionne-t-il.
— Non, je ne me suis jamais intéressé à lui. C'était juste mon professeur alors ça ne m'a pas paru utile, dis-je.
— Mais c'est aussi le père de votre ami, Brent, il ne vous a jamais parler de son père ?
C'est un témoignage que je dois apporter où c'est un interrogatoire qu'on me fait passer ? Franchement là, j'ai l'impression d'être le suspect numéro un d'une affaire de meurtre.
— Quelquefois mais dès qu'on cherchait à en savoir plus, Brent restait évasive pour ne pas nous inquiéter, déclarais-je.
— Très bien. Est-ce que vous avez déjà vu monsieur Stanford avoir des comportements violent ou menaçant au lycée ?
Aline et moi sommes sur les gradins, l'entraînement se termine enfin et j'imagine déjà le soulagement que ce doit était pour Brent qui en a pris pour son grade.
Réflexion par ci, réflexion par là, j'aurais déjà explosé.
Soudain, son père l'appelle après avoir ordonné à tout le monde de retourner aux vestiaires. Aline et moi restons attentives mais n'entendons rien de là où nous sommes.
Brent fronce les sourcils et ferme les poings. Il essaie de s'en aller mais son père le retient en le repoussant, Brent retire sa main de lui et s'écarte en secouant la tête avec dégoût.
— Mademoiselle ? Entendis-je.
— Euh oui, excusez-moi j'étais dans mes pensées, dis-je.
— Pouvez-vous répondre à la question s'il vous plaît ?
— Oui, une fois j'ai vu Brent et son père discuter et la conversation n'avait pas l'air de bien se passer et son père était très énervé.
— Est-ce que quelqu'un peut confirmer ce que vous dites ? Me questionne-t-il.
— Oui, Aline Parker.
Il hoche la tête. Je ne sais pas si mon amie voulait être mêlée à ça mais je suis certaine que pour aider Brent, elle ne m'en voudra pas.
— Bien, maintenant je vais vous demander de me raconter tout ce qu'il s'est passé le soir ou monsieur Stanford à être arrêté par la police. Prenez votre temps, poursuit-il.
Je prends une grande aspiration et médite quelques secondes avant de prendre la parole.
— Je venais de sortir de l'école après avoir été chercher mon petit frère et je devais aller parler à Aurore de Brent alors je me suis rendu chez eux, commençais-je.
— Vous déviez la voir pour quel sujet ? Me demande-t-il.
— Je viens de le dire, je devais lui parler de Brent. Nous étions en froid tous les deux et je voulais prendre de ses nouvelles, savoir comment il allait.
— D'accord, continuez.
— Quand nous sommes arrivés, elle était seule chez elle. Brent était allé courir dehors et son père était sûrement encore au lycée, j'ai pu parler à Aurore et au bout d'une trentaine de minutes le père de Brent est arrivé. Il n'a pas vu son fils à la maison alors il s'est énervé et quand il m'a vu moi il était encore plus contrarié, déballais-je.
— Pourquoi l'était-il ? Vous m'avez fait comprendre que ce n'était que votre professeur de sport alors pourquoi a-t-il réagi ainsi ? Me demande-t-il.
Parce qu'il n'accepte pas de voir son fils heureux grace à moi, à travers notre passion commune.
— Brent fait du foot mais il n'a jamais aimé ça, il a toujours voulu faire de la danse comme moi, nous allions participer à un concours de danse et quand son père la su, ça ne lui a pas plus du tout. Il préfère que son fils fasse du foot, comme il l'a fait lui alors je pense que si son père ne m'apprécie pas c'est parce que j'ai encouragé Brent à faire ce qu'il aime.
— Que s'est-il passé ensuite ?
— J'ai dit à mon frère de monter à l'étage car j'avais peur que les choses dérapent. Son père s'est mis à hurler en me disant que c'était de ma faute si Brent était comme ça, le ton est montée entre nous deux cars je n'ai pas voulu le laisser dire n'importe quoi, déclarais-je.
Il attrape mes épaules et me pousse sur le mur violemment, il répète son action plusieurs fois de suite.
Je ferme les yeux et serre les dents, prend mon courage à deux mains et le repousse en arrière.
— Mademoiselle, est-ce qu'il a été violent avec vous ?
Je sors rapidement de mes pensées pour ne pas le faire attendre.
— Il... il m'a bousculé plusieurs fois contre le mur, commençais-je. À un moment je l'ai repoussé en arrière pour qu'il arrête mais il est arrivé vers moi, plus rapidement, plus menaçant mais il n'a pas eu le temps de me faire quoi que ce soit, Aurore la arrêter en lui jetant un vase.
— Ce qui explique la griffure sur votre joue, constate-t-il. C'est un éclat de bout de verre ?
— Oui c'est ça.
Il se réinstalle correctement sur sa chaise avant d'appuyer sur le bouton pour terminer l'enregistrement.
— Merci beaucoup Mademoiselle, ce que vous me dites concorde avec les dires de madame Stanford. Nous ferons appel à Aline Parker, m'annonce-t-il.
— Pas de soucis, répondis-je.
— J'ai une dernière question à vous poser si vous me le permettez, continu t-il.
— Oui bien sur.
Je fronce les sourcils.
— Votre petit frère pourrait-il être un témoin oculaire de ce qu'il s'est passé ? Me questionne-t-il.
— Non, je lui ai dit de monter à l'étage donc il n'a rien pu voir, il n'a que six ans et je connais mon frère, il n'oserait pas parler à la police.
— D'accord, ne vous inquiétez pas, il ne sera pas mêlé à cette histoire je vous assure, me dit-il en se levant.
Je fais de même en me disant que ça y est, c'est terminé je vais pouvoir rentrer chez moi. L'officier Wallace me salue puis je sors de la pièce pour rejoindre Liza, la mère des jumeaux.
Elle est assise et au téléphone, lorsqu'elle m'aperçoit elle raccroche et vient vers moi en souriant.
— Alors, tout c'est bien passer n'est-ce pas ? Me demande-t-elle.
— Oui, c'était assez bizarre au début mais ça a été, je pourrais vous en parler demain ? Il est tard, je dois rejoindre Austin.
— Oui bien sur Emma, rentre chez toi et n'oublie pas tout ce qu'on s'est dit tout à l'heure, me sourit-elle.
— Merci beaucoup, dis-je en m'orientant vers la sortie du commissariat.
La porte se ferme derrière moi et m'arrête lorsqu'une silhouette que je reconnais très bien me fait face au bout du trottoir.
Brent est là et semble nerveux. Nos regards se croisent rapidement mais il baisse la tête en s'avançant vers le commissariat. Je le suis du regard jusqu'à ce que la porte se ferme derrière lui.
Brent va témoigner.
****
— Fais attention à tes doigts Austin.
— Oui t'inquiète pas, je sais faire, répondit-il.
— Tu vas devenir un vrai pro des papiers cadeau, riais-je.
— Oui, affirme-t-il fièrement. J'espère que ça va faire plaisir à Lizzie.
Je souris tendrement. Depuis que je lui ai dit qu'il pourrait aller à son anniversaire, il ne parle que de ça. Kristen est allé avec lui pour chercher un cadeau et maintenant nous sommes en plein atelier papier cadeau.
— J'espère que c'est moi qui offrira le meilleur cadeau.
— Ce n'est qu'un détail Austin, si elle t'apprécie vraiment bien, je peux t'assurer que même si tu n'offrais pas de cadeau, elle sera heureuse, expliquais-je.
— Oui mais si elle aime le cadeau peut-être qu'elle m'aimera encore plus ! Insiste-t-il.
Je lève les yeux au ciel en arrachant un bout de scotch pour coller le papier correctement.
— De toute façon, elle a dit qu'à moi qu'elle aimait dessiner donc c'est sûr qu'elle va me préférer, continu t-il.
— Chaque fois qu'lle dessinera dedans elle pensera à toi alors, dis-je.
Il hoche la tête frénétiquement en souriant. Il est totalement piqué par cette petite fille, c'est fou. Moi à son âge, je ne me rappelle pas avoir eu d'amoureux mais apparemment j'en avais eu. Je ne devais pas autant les aimer si je les ai oublié. Oups.
Quand Austin a su que Lizzie adorait dessiner, il a insisté pour que son cadeau soit un carnet de dessins mais pas n'importe lequel. C'est un carnet personnalisé pour qu'elle n'oublie pas que c'est Austin qui lui a offert.
Un carnet, ça peut paraître banale comme cadeau mais pour une petite fille qui va avoir 7 ans et qui adore le dessin, je pense que ça fera amplement l'affaire.
— Et voilà, c'est terminé !
— Merci Emma, s'exclame Austin en se levant.
— Fais attention, range le bien en attendant mercredi pour ne pas l'abîmer, prévenais-je.
— Oui promis, sourit-il en marchant en direction de sa chambre.
Plusieurs minutes passent, Austin est revenu sur le canapé à côté de moi pour regarder la télévision. Soudain, la sonnerie de la porte d'entrée retentit.
Ça ne peut pas être Aiden. Non, lui il ne sonne pas, il tape sur la porte comme un fou.
Le court d'un instant, je me dis que je vais faire comme si je n'étais pas là alors je baisse le son de la télé et Austin ne bouge plus comme si un clignement des yeux gâcherait tout.
— Emma s'il te plaît, j'ai besoin de te parler.
Je hausse les sourcils, étonnée. Austin reconnaît aussi cette voix et fait une grimace. Il file dans sa chambre quand il me voit me lever vers la porte. Je ne peux pas l'ignorer malgré tout.
J'ouvre finalement la porte.
— Merci.
— Qu'est-ce que tu fais ici Brent ? Demandais-je.
NOTE DE L'AUTEUR :
700 000 vues ! Merci merci merci ❤️
Désolé je vous ai fais un peu attendre pour ce chapitre Mais j'espère qu'il vous a plu !
Comment allez vous ? Moi, franchement, le cap des 700k m'a motivée plus que jamais à écrire 🥰
Qu'avez vous penser de ce chapitre ?
— Les conseils de la mère des jumeaux, Liza ?
— Le rendez vous avec l'officier Wallace, le père de Lana ?
— Austin et Lizzie ?
— Brent ?
— Qu'imaginez vous pour la suite ?
GRANDE ANNONCE :
Je profite du fait que l'on ai atteint les 700 000 vues pour vous en parler mais sur mon compte Instagram, j'en ai déjà parler alors les lecteurs qui sont abonnés à mon compte sont légèrement en avance mais pour ceux qui ne le sont pas je voulais vous dire que...
Malchance aura un TOME 2 !!!
Je vous le dis déjà, ce n'est pas un spoil, ça ne sera plus l'histoire d'Emma mais celle d'Austin ( même si Emma sera toujours présente ), ça sera lui le personnage principal avec un autre personnage aussi 😉
Je pense que ça sera un Tome qui pourra se lire indépendamment même si Emma sera toujours bien présente 🤫
Voilà voilà j'espère que cette nouvelle vous fais plaisir hihi
Je vous invite vraiment à me suivre sur Instagram car j'ai déjà mis quelques indice sur ce tome 2 eheh et au 100ème chapitre je vais faire une grande FAQ.
Je ne la fais pas sur Wattpad car le système des "questions" sur Instagram est beaucoup plus pratique alors voici mon compte Instagram : twowriite
Merci encore pour les 700k, bisous à tous ❤️
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