Chapitre 14: Moment à deux et discussion avec les Lightwood.

Avertissement : contenu mature

Magnus

Alors c'est fait, Matthew vient à la maison tout le mois de juillet. J'ai pris cette date parce que mon contrat avec la boutique en ville devrait être fini et j'aurais à cette période toutes les créations pour leur ouverture. Je ne voulais pas être surchargé par le travail sachant que Matthew est à la maison avec Alexander qui a mis d'ailleurs l'ouverture de sa salle en suspens pour moi... pour nous. Il m'a dit que ça ne le dérange pas et que l'ouverture à la rentrée lui convenait, il aura plus de client à cette période, vu que l'été les gens partent en vacances et ne s'enferment pas dans une salle. Mais je ne l'en remercierai jamais assez d'avoir fait ça pour nous pour qu'on puisse profiter ensemble. Je suis patron et je n'ai pas de codirecteur malheureusement pour que je puisse même prendre une semaine de congés.

Ça va faire un mois que Camille est "adoucie ". Alexander m'a conseillé de rester sur mes gardes ce que je fais, je ne lui fais pas confiance. Elle peut être élue la femme de l'année, rien ne changera ce qu'elle a fait par le passé. Des gens comme elle ne changent pas. Elle est trop manipulatrice, elle aime jouer avec les gens et là, elle joue à un jeu que seul elle connait, je le sais. Mais elle ne m'aura pas, elle ne m'aura plus. J'ai appris de mes erreurs. Lui faire confiance fait partie de ces erreurs. Autant j'ai regretté Matthew au début, maintenant ce n'est plus pareil, Matthew est mon fils et il fait partie de ma vie à part entière, comme Alexander fait partie de ma vie.

Elle pourra faire ce qu'elle veut, elle n'arrivera pas à ses fins et si ça se révèle vrai qu'elle veut changer, elle ne peut s'en prendre qu'à elle-même si personnes ne la croit ou ne fait pas d'effort pour le voir. Après tant d'années de noirceur, un cœur reste noir.

Enfin, je peux rentrer à la maison, journée finie, nouvelle création et tenue complète faite. Il ne me reste plus que la lingerie femme et la collection est terminée. Ils avaient demandé des designs pour enfants, mais je ne suis pas trop inspiré pour le faire, j'avais donc refusé avec l'accord de Clary qui n'avait pas d'inspiration non plus. Peut-être, une prochaine fois, on pourra travailler dessus.

Enfin à la maison, je respire la bonne odeur de nourriture qui embaume tout le loft. Ma veste est enlevée, mes chaussures suivent et je me dirige vers la cuisine pour y trouver mon adorable petit ami devant les fourneaux, livre de cuisine ouvert et concentré sur sa recette. Je ne veux pas le déranger, il ne m'a pas vu, ni entendu alors j'en profite pour le regarder... plus attentivement. Il porte un jean slim clair qui lui font des fesses divines qui se trémoussent à cet instant quand il remue ce qu'il prépare dans le bol... Ahem, je disais, jean slim clair troué aux genoux, tee-shirt gris chiné qui serre juste aux bons endroits... Ses cheveux noirs de jais toujours en bataille, on dirait qu'ils ne sont pas coiffés, mais si j'y passe mes doigts, je n'y trouverai aucun nœud. Ils sont indisciplinés, il ne peut rien y faire, même une bonne coupe de cheveux ne changera pas grand-chose. La seule chose serait une tonne de gel, mais il n'aime pas ça.

Décidant de me faire connaître, je rentre dans la cuisine pour enlacer sa taille et en même temps j'embrasse sa nuque. Il sursaute, mais se détend aussitôt quand je lui chuchote un bonsoir à l'oreille. Il continue sa recette en me servant un jus de fruit, d'habitude j'aurais bu un verre de vin, mais il n'y a plus d'alcool à la maison, j'ai tout jeté. Alexander ne voulait pas au début, il ne voulait pas me priver, mais je n'ai voulu laisser aucune tentation ici dans notre maison. Il est assez confronté à la tentation à l'extérieur, alors pas besoin d'en ajouter ici. Pour ma part l'alcool n'a jamais été quelque chose de régulier. J'aime bien un verre en soirée, mais sans plus. Une fois à une fête étudiant à la fac, oui j'ai bu. J'ai expérimenté ma première gueule de bois et ça m'a suffi et puis depuis... Sam, j'évite l'alcool.

— Tu as faim ? demande mon petit ami alors qu'on s'installe à table.

— Une faim de loup. J'ai hâte de goûter ce que tu as préparé mon amour.

— C'est une recette de maman. J'ai retrouvé le livre dans les miens alors j'ai cuisiné ce qu'elle avait l'habitude de faire quand...

Il s'arrête là alors que sa gorge se noue et je vois ses yeux briller de larmes.

— Mon amour, soufflais-je en me levant et vais m'agenouiller devant lui en le forçant à me regarder.

— C'est le plat préféré de Max. Elle lui faisait quand il était malade, elle l'appelait le plat réconfortant.

Max a toujours été un sujet difficile. Il a encore et aura probablement des remords même de la culpabilité. Mes mains sur ses cuisses, je me relève pour me mettre à califourchon sur lui et le prend dans mes bras. Il enterre son visage dans mon cou.

On reste comme ça un moment jusqu'à ce qu'il me dise d'aller manger avant que cela ne soit froid. C'est un régal, le poulet est cuit à la perfection. Je peux gouter le curry qui est présent, mais juste ce qu'il faut et l'accompagnement de pomme de terre cuite à l'étouffée est assaisonné comme il le faut. Mon petit ami est un vrai cordon bleu.

— Ta mère a toujours été une excellente cuisinière. Tu suis ces traces, complimentais-je.

Ses joues prennent une jolie teinte rosée... adorable.

— Merci... Max aimait beaucoup le poulet. Il demandait ça presque à chaque repas. Les pommes de terre, il aimait bien, mais il ne les mangeait que si c'était de la purée. Alors une fois, elle lui a fait goûter comme ça et il a aimé, après maman a découvert qu'il aimait le curry alors elle a associé tout ça et ça à donner ce plat m'explique-t-il avec un sourire tendre et ses yeux toujours brillants avant d'ajouter.

— Je me demande de qui tient Isabelle ? ricane-t-il.

— Elle cuisine si mal que ça ? lui demandai-je en le regardant hoché la tête.

J'avais déjà eu vent de péripéties culinaires d'Isabelle par Jace qui s'était retrouvé plus d'une fois malade. J'avais eu du mal à croire que la cuisine d'Isabelle en soit la cause à l'époque, connaissant Jace toujours dramatique. Mais Alexander me confirme que sa jumelle est une catastrophe dans une cuisine.

—Je te le jure, elle ne sait pas cuisiner même un bol de riz, elle est arrivée à le cramer ou une fois, elle a voulu faire une soupe, on ne sait toujours pas ce qui baignait dedans... On ne l'a pas mangé bien sûr... trop peur d'être malade, rit-il.

Riant avec lui, le repas se passe dans le partage de souvenirs et d'anecdotes sur la cuisine d'Isabelle. La pauvre elle doit avoir les oreilles qui sifflent ou le cul qui gratte... 😂 (N/A : expression de chez moi, de ma contrée lointaine...)

Douche prise, je rejoins le lit, soufflant d'aise quand je me glisse sous la couette. Alexander m'y attendait et se colle directement dans mon dos après avoir éteint la lumière de chevet. Je somnole prêt à m'endormir.

— Bonne nuit bébé, murmure-t-il contre ma nuque en me faisant sourire.

Ça y est, il s'est mis au nom doux...

— Bonne nuit mon amour, répondis-je sur le même ton.

Fin du point de vue

Le sommeil emporte vite notre couple. Après cette journée et cette soirée, le repos est bien mérité.

⚠️ Chaleur du matin ⚠️

Magnus se cambre sous les mains d'Alexander, gémit sous la langue et le souffle chaud de celui qui l'étreint. Criant de plaisir quand son point sensible est touché par des doigts taquins. Il supplie pour avoir plus... beaucoup plus.

Il regarde Alexander répondre à sa demande quand il remonte vers lui pour relier leurs bouches d'un baiser passionné mélangeant leurs souffles rapides. Il peut sentir sous ses doigts, le cœur de son petit ami battre à tout rompre, alors que de l'autre main, il attrape la bouteille de lubrifiant. Le redressant, il lubrifie le sexe d'Alexander avant de le pousser sur le dos, chevauchant ses hanches dans le même élan.

Il regarde Alexander dans les yeux alors qu'il s'assied doucement sur ses cuisses, les siennes tremblent d'effort. Il se laisse s'ajuster dans un premier roulement de hanches, il s'arrête pour poser ses deux mains à plat sur la poitrine de son petit ami qui lui a les mains qui arpentent ses cuisses tremblantes.

Se détendant, dans un souffle mi-tremblant et mi-gémissant, Magnus relève les hanches doucement pour les redescendre tout aussi doucement répétant ce mouvement plusieurs fois, avant d'établir un rythme langoureux aider par les mains d'Alexander sous ses fesses. Leurs yeux ne se lâchent pas, leurs intensités est semblable à chacun, les souffles grognés de son petit ami correspondent à ses cris de plaisir.

Leurs gémissements se font intenses, la sueur commence à couler sur leurs deux corps quand Alexander le ramène sur son torse pour plier les jambes et planter ses pieds dans le matelas. Ses hanches s'arrêtent pour laisser Alexander bouger.

Criant au changement de rythme, Magnus accepte les coups de reins fiévreux de son petit ami. Il s'extasie de ses grognements, de ses mots qui glissent de sa bouche. Le plaisir intense qu'Alexander lui donne le fait crier de plaisir, il ne se retient pas de les laisser sortir... il ne peut pas.

Un coup de rein puissant, rompt ses dernières barrières, se jetant sur la bouche de son petit ami. Il sanglote sa jouissance, finit par haleter de plaisir dans son cou quand il sent son petit ami pulser en lui alors qu'il bouge ses hanches plus doucement.

Alexander baisse ses jambes, pour que Magnus puisse se détendre. Il ne s'éloigne pas de son petit ami, il ne fait que de se nicher sur sa poitrine, tentant de faire redescendre son rythme cardiaque ainsi que son souffle. Les mains de son petit ami caressent son dos tendrement, balayant ainsi la sueur qui le recouvrait, le faisant frissonner quand l'air frais de la pièce rencontre son dos.

Alexander le garde sur ses genoux en se redressant et prend la couette pour lui couvrir le dos et ils restent comme ça un moment, partageant des caresses et des baisers tendres, jusqu'à ce que le désordre entre eux leur fasse rappeler qu'une bonne douche s'impose.

Ils sortent de la douche pour aller déjeuner. Avec un gloussement Magnus se rappelle son réveil et se dit que le sexe du matin est toujours le meilleur. Non pas que ce n'est pas bon aux autres moments mais... s'il doit l'avouer, un bon sexe du matin, il commence sa journée de bon entrain. Mais avant tout, c'est un moment passionné et sauvage lui montrant un autre côté, une autre facette de son petit ami doux et timide qui rosit aux moindres compliments.

—Tu fais quoi aujourd'hui ? demande Alexander alors qu'il tend un café à son petit ami.

— On finit la collection normalement, souffle Magnus prenant place pour déjeuner.

— Normalement ? questionne Alexander le rejoignant à table.

— Oui, il manque la lingerie femme. Moi j'ai la tenue, Clary a attendu de la voir pour faire le design de la lingerie, mais elle est bloquée.

— Sur quoi elle bloque ? demande Alexander en lui tentant sa salade de fruits.

— Elle a la couleur, elle manque juste d'inspiration pour la forme et le choix du textile, marmonne Magnus la bouche à moitié pleine.

Il gagne les yeux plissés de son petit ami, une légère grimace déforme sa jolie bouche.

— Ah ! Je n'y connais rien. Tu sais moi à part des caleçons noirs en polyester, dit Alexander avec un haussement d'épaules.

— Je sais. Elle trouvera, je lui fais confiance là-dessus. Si ça tombe, je vais arriver au bureau et elle va débouler avec l'idée du siècle, déclare Magnus avant de roter légèrement derrière sa serviette.

Il rit à la grimace et au nez plissé de son petit ami qui comprend qu'il le taquine... un vrai gamin. Secouant la tête, Alexander rit et lui donne une tape derrière la tête comme Maryse lui aurait fait s'il avait fait ça à sa table.

— Violence domestique, murmure Magnus dans un rire tout en se redressant pour finir son café en regardant l'heure sur sa montre.

— J'espère que ça ira quand même, s'inquiète Alexander.

— Ne t'inquiète pas mon amour, rassure Magnus. Et toi quoi de beau aujourd'hui ?

— Oh pas grand-chose je dois voir Luke, souffle Alexander avant de croquer dans sa galette de riz.

— Luke ? demande Magnus les sourcils froncés.

— Ouais... Je voulais lui proposer d'être mon associé pour ma salle. Il me faut quelqu'un qui puisse assurer les cours quand je ne serais pas disponible et qui sait de quoi il parle. Je ne vois que lui et je n'ai pas envie de passer par le système d'entretien d'embauche.

— Et tu es sûr qu'il va te suivre ? demande Magnus.

— Je le pense. La dernière fois qu'on a discuté, je trouvais qu'il était un blasé et fatigué de devoir toujours se déplacer chez les clients qui des fois ne sont pas très reconnaissant du travail derrière... Ils croient que c'est le métier "bon plan " " pas fatiguant "mais on travaille aussi en même temps qu'eux, chaque exercice on les accompagne on transpire aussi, explique Alexander en se levant de la table.

— Ouais je comprends. En tout cas, ça serait super s'il accepte, dit Magnus en se levant à son tour.

— Je croise les doigts. De toute façon, j'aurais besoin de toi pour parler du salaire et faire un contrat parce que je n'ai aucune idée de comment je dois faire ça s'il accepte mon offre, déclare Alexander en accueillant Magnus dans ses bras.

— Je serais ravi de t'aider mon amour, souffle Magnus avant de poser ses lèvres sur les siennes.

Ils s'embrassent doucement avant de se reculer, se disent au revoir et bon courage pour la journée qui s'annonce.

— À ce soir mon amour, chantonne Magnus en attrapant sa veste dans l'entrée.

— À tout' bébé, crie Alexander de la cuisine qui s'affaire à la nettoyer après leur petit déjeuner.

Magnus referme la porte derrière lui avec un grand sourire. Il se dirige vers le parking pour prendre sa voiture avec un rebond joyeux dans ses pas.

Il doit être devin ou réfléchit à se reconvertir en médium puisque Clary a bien déboulé dans son bureau avec le design de la lingerie. Approuvé par Magnus, il part à la confection. Un poids en moins sur ses épaules. L'ouverture est annoncée dans une quinzaine de jours, ce sera un peu plus calme pour accueillir Matthew pendant un mois. Il pourra peut-être même prendre une journée pour profiter de son fils et de son petit ami pendant un long week-end prolongé.

Il se rappelle qu'il doit encore une explication aux parents d'Alexander qui sont au courant pour Matthew. Alexander en avait parlé, mais pas de ce qu'il sait passer avec Sam. Il appréhende cette discussion, il doit encore tout raconter et il veut que ça reste dans le passé, après ça, il ne veut plus en parler, ni en entendre parler. Il sait que Robert et Maryse ne le jugeront pas, il ne veut plus s'en rappeler et de devoir raconter ce moment où il a perdu un an de sa vie à partir de cette nuit-là et qui a poussé Alexander à sombrer.

Il ne veut pas de leur pitié, il veut juste qu'ils comprennent qu'il n'a pas brisé le cœur d'Alexander. Il leur avait promis et jamais il ne fera plus de mal intentionnellement à son petit ami. Les années lycée sont loin maintenant, il a mûri et grandi.

Après ce qu'ils ont traversé, jamais ô grand jamais, il ne fera la même erreur.

Alors c'est pour ça qu'en fin de journée, il se retrouve devant le manoir Lightwood appuyant sur la sonnette, soufflant un grand coup quand la porte s'ouvre sur Robert.

Il avait envoyé un SMS à Alexander pour le prévenir et celui-ci l'attendait à l'intérieur. Après s'être saluer poliment et embrasser son petit ami, Magnus s'installe dans le salon sur le canapé avec son petit ami, Robert et Maryse assis tous deux en face d'eux.

— Alexander nous a dit que tu voulais nous parler ? demande doucement Maryse en sentant la tension dans les épaules du couple assis en face d'elle.

— Oui, je... je voulais vous parler de ce qu'il s'est passé avec Sam.

— Tu n'es pas obligé. Ce qu'il s'est passé entre vous, vous regarde. Ça va mieux entre vous maintenant non ? questionne Robert les sourcils froncés.

— Oui on est heureux. Mais je dois vous dire que ce qu'il s'est passé ce soir-là, tout ce qu'Alexander a vécu après...

— Ne dit pas que c'est de ta faute, intervient Alexander regardant son petit ami.

— Je sais... Je voulais dire que ce qu'il s'est passé ce soir-là, je ne l'ai pas voulu.

Maryse inspire d'un seul coup, son visage plissé d'effroi indique à Magnus qu'elle a compris.

— Sam... Sam m'a... Il a abusé de moi, murmure Magnus.

Il détourne les yeux de Maryse pour les ancrer sur ses propres mains posées sur ses genoux qui sont vite rejoints par celles de Robert qui est maintenant agenouillé devant lui.

Il sent la main chaude de Robert se poser sur sa joue et y essuyer une larme traîtresse. Il ose lever le regard pour rencontrer celui de Robert qui brille d'une intensité rare... Ils brillent de fierté ?

— Tu es un homme courageux... Nous le dire a dû te demander beaucoup d'effort et beaucoup de courage... Je m'excuse. Mon Dieu, je suis désolé d'avoir cru tout ce temps que tu avais trompé mon fils, j'aurais dû savoir... j'aurais dû mieux savoir...

La voix de Robert est rauque et enrouée, la culpabilité se lit sur son visage, Maryse a le même regard. Elle finit par se lever et s'asseoir à côté de Magnus pour l'enfermer dans ses bras. Elle chuchote qu'elle est désolée, elle aussi.

Dans cette étreinte maternelle, les mains de Robert refermer sur les siennes et la main d'Alexander qui caresse son avant-bras qu'il entend renifler, il se laisse aller une dernière fois sur cette histoire. Il laisse couler ses larmes comme pour laver toute la souffrance que Sam avait engendrée.

Ils n'en parlent plus après à la demande de Magnus, ce qu'accordent Maryse et Robert. Ils finissent par prendre une tasse de café en discutant de tout et de rien. Ils partagent même le dîner, rejoints par Jace et Isabelle qui eux n'ont pas encore quitté le nid familial. Trop bien chez papa et maman qui les charrient tous les deux, voulant en rire, mais ils savent que Maryse même après sa journée de travail aime s'occuper de ses grands enfants.

Magnus et Alexander rentrent chez eux avec un poids en moins sur leurs épaules. Même si elle a été douloureuse, cette discussion était nécessaire. Maintenant, il peut retrouver l'entente qu'il a partagée avec Robert et Maryse, toute vérité étant dite.

Ils avancent tous ensemble plus sereinement comme ça.

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