Charlie regardait Zayn, avec des gros yeux. Elle n'arrivait pas à croire que quelqu'un osait venir la déranger dans sa solitude et se pleinitude. Pour une fois qu'elle était calme. Elle le regardait droit dans les yeux. Elle voulait lui retirer ce sourire qu'il avait sur les lèvres. Elle voulait anéantir toute once de bonheur dans son corps. Elle voulait le déssimer pour l'affront qu'il lui faisait. Mais il n'en avait rien à foutre de la froideur et puissance de son regard. Il voulait juste qu'elle tente de voir à quel point le monde peut être beau et pas si décevant.

Zayn perdit comme même son sourire, mais détourna imméditement le regard pour ne pas que la jeune fille ne le voit. Il n'en avait pas honte, mais c'était plutôt de la fierté. Il devait bien avouer qu'elle avait un regard aussi froid que la neige et les stalagmites réunies. Il devait bien avouer qu'il n'avait pas envie qu'elle sache qu'elle avait réussit ce qu'elle voulait faire. Il voulait qu'elle croit qu'il avait juste détourné le regard et non que son sourire soit partit. ll releva la tête, avec un sourire en coin et regarde devat lui, le soleil se couchant.

Zayn admirait la beauté du paysage, des étincelles dans le regard. Il aimait bien regarder autour de lui, faire attention à tout ce qui l'entoure. Même jusqu'à la façon dont le soleil se couche. Il ne savait pas vraiment pourquoi il était ainsi. Il était ainsi, c'était une façon de libérer ces pensées, de se vider le crâne quand celui-ci menaçait d'exploser. Il regardait le soleil, disparaître un petit peu plusà la chaque seconde dans que cela ne soit très voyant. Il souriait, toujours en coin, se demandant si la jeune fille regardait la soleil de la même façon que lui ne le faisait.

Charlie ne prêtait plus vraiment son attention à l'anglo-pakisanais et à son sourire en coin. Elle regardait le soleil et dérivait dans ses pensées du mieux qu'elle le pouvait. Elle ne savait pas vraiment ce que cela pourrait avoir comme conséquences, toutes ces pensées morbides, mais elle les pensait comme même ne trouvant pas mieux que de s'y perdre, tant qu'elle avait encore sa tête pour penser. Tant qu'elle était encore de ce monde. Elle ne savait pas que le soleil pouvait être aussi bien et majestueux à regarder. Elle n'avait jamais remarquer la beauté d'un tel spectacle.

Charlie regarda Zayn, voyant le sourire en coin qu'il avait et l'étincelle qui naissait dans ses prunelles. Elle ne pouvait pas lui en vouloir de lui faire un peu de compagnie, elle qui en manque tant et qui le désire. Elle est le type de personne, à désirer quelque chose au plus profond d'elle-même, tellement fort que cela se produit, mais que quand il se réalise, elle fuit. Elle est ainsi, une fuyarde. Elle ne changera sûrement jamais parce que pour, la meilleure solution à tout est de fuir, que de faire face n'amène que des problèmes et des enmerdes.

Zayn regarda Charlie, voyant ces yeux ne posant plus un regard glacial comme auparavant, mais plutôt une douceur qu'il n'avait jamais vu auparavant. Il ne se posait pas énormement de questions étant donné qu'au moment où leurs regards se sont croisés à nouveau, il perdit so cerveau. Il ne pensait plus à rien, sa tête était complètement vidée. Il ne savait sûrement même plus comment il s'appelait, mais il n'en avait rien à faire pour le moment. Sa tête était vide, il ne pourrait plus s'en faire de quoi que se soit. Il est vidé de l'intérieur par un seul regard.

Zayn et Charlie avait besoin d'un miracle pour sauver leur vie respective. Ils avaient tous les deux besoin d'un petit coup de pouce du destin. Ils avaient besoin d'avoir le cul un peu bordé de nouilles (Nda: Expression pour dire être chanceux). Ils avaient besoin d'avoir quelqu'un sur qui s'épaulé réellement. L'anglo-pakistanais ne pouvait pas vraiment compter sur qui que se soit, n'étant plus un rejeton pour les autres qu'un ami. L'anglaise, ne pouvait réellment compte sur personne. Même lui avait plus de chance qu'elle dans sa vie, alors qu'il l'ignorait totalement. Ils avaient besoin de nouveaux horizons.

Zayn détourna le regard, voulant se reprendre un peu en main avant de faire une quelconque connerie ou de faire une bête erreur qui pourrait lui valoir assez chère. Il n'aimait pas les regrets, les remords, la peine et le chagrin. Ce n'était pas vraiment des éléments qui faisaient parties de sa vie quotidiennement, et qui en était, même assez rare. Il ne se vantait pas de ne pas connaître cela. Il n'en avait même rien à faire, ce n'était pour lui, pas du tout la chose la plus importe de sa vie. C'était plutôt la moins importante, d'après ses idéaux.

Charlie, quand à elle, était noyée sous les remords, peines, chagrins, regrets et tout ce qui s'en suit. Elle avait quotidiennement ce goût dans la bouche, celle de la défaite. Quand ce goût se mélangeait à celui de la nicotine, elle en devenait complètement folle. Ele ne savait pas vraiment jusqu'où sa folie allait, jusqu'où son corps en subissait, ni même jusqu'où la folie pourrait encore frapper. Mais ce qu'elle savait et comptait le plus à ses yeux était qu'elle savait qu'elle était là et que son père, si elle était folle, ne l'enmènerait même pas dans un asile.

Zan et Charlie étaient sûrement deux opposés, avec deux vies totalement opposées et pas vraiment même apte à s'emboiter non plus. Ils avaient plutôt une vie que seul un aimant pourrait faire réunir. Ils étaient tous les deux là, assit sur ce banc, avec leurs deux mondes totalement opposés entrain de s'entrechoquer de toutes les manières possibles et inimaginables. Ils ne savaient pas encore ce qui se tramait, mais ils n'allaient sûrement pas tarder à le savoir. La vie leur avait apporter, à chacun, un joli petit coup de pouce qui pourrait savérer être bien plus qu'un smple petit coup de pouce qui paatira quand tout se sera stabilisée. Non, la vie donnera sûrement bien plus que ça. Elle peut être généreuse, parfois.