Zayn était une bonne personne. Il n'avait jamais vraiment dépasser les limites qu'on lui avait imposé dans sa vie. Il les avait toujours respecté et quand il les frôlait, il le sentait et stoppait, ainsi, tout ce qu'il faisait. Il avait toujours été ainsi. Mais il avait toujours été aussi celui qui ne décidait de rien et qui ne faisait pas vraiment grand-chose par lui-même. On lui avait toujours dit ce qu'il devait faire et jamais insiter à se débrouiller seul. D'après pas mal de personnes, ce n'était pas dans ses cordes alors qu'il en était tout à fait capable.

Zayn était aussi une personne très patiente, qui aimait être au service des autres même si cela le mettait dans une merde insurmontable, qui d'ailleurs, finissait toujours par être surmonter. Il avait un grand coeur qui, quand il aimait vraiment une personne, pouvait être d'un bon soutient. Il aimait être là pour les autres, pour que jamais on ne lui reproche de ne pas avoir été là. Et pourtant, il ne savait pas être partout à la fois, mais il arrivait comme même à tout concorder. Personne ne lui avait jamais reprocher de ne pas avoir été à ses côtés.

Zayn était aussi quelqu'un de très serviable dont on pouvait, très facilement, abusé de sa tendresse et de sa patiente. Beaucoup de personnes profitaient qu'il soit ainsi et non conçu autrement. Il se détruisait, à petit feu, en étant ainsi. Il faisait parfois pitié. Il était une bonne personne qu'on exploitait pour faireles tâches ingrates ou pour demander de faire une chose dont on a la flemmardise de le faire. Il n'en avait pas conscience, de cette auto-destruction, puisqu'il le faisait toujours avec plaisir, avec un sourire scotché sur les lèvres. Un éternel sourire qui ne semblait pas connaître la mort.

Zayn souriait constamment trouvant la vie trop courte que pour ne pas sourire tout le temps. Il trouvait même, que de se balader avec une mine blasée, était une insulte à la vie. Il était rare de le voir perdre son sourire. C'était comme si c'était la fin du monde. Mais là, où se sera la fin du monde, c'est quand on le verra pleurer. Personne ne l'avait jamais vu pleurer, ou avoir les yeux humides ou rougies par les larmes. C'était totalement impossible pour lui, autant que pour les autres. Il n'avait jamais pleuré et était très bien ainsi.

Zayn était aussi une personne qui pouvait se montrer parfois un peu désagréable, mais malgré cela, il avait toujours ce même sourire plaqué sur les lèvres. Il ne le perdait jamais, même dans des situations où pleurer paraît être la seule chose à faire. Il narguait parfois quelque personne, mais il savait, encore et toujours, quand il devait s'arrêter. Il savait quelles limites il ne devait jamais enfreindre. Il n'aimait pas vraiment qu'on lui dise non, mais il ne supportait pas qu'on lui dise oui non plus. Il se disait que c'était lui à être là pour les autres pas eux pour lui.

Zayn écoutait tout le temps le monde. Il chantonnait avec lui l'hymne du bonheur et des sourires éternelles. Il était rare que le jeune homme écoute une chanson triste et la chante était encore plus rare. Sa vie ne tournait pas qu'autour du bonheur. Même le bonheur dont il était question n'était pas le sien mais celui de tous ceux qui l'entouraient. Le bonheur devait être pour sa mère mais pas pour lui par exemple. Il était quelqu'un en or qu'il serait vraiment triste de briser, de détruire, de punir. Sa génitrice ne l'a jamais punit une seule fois.

Zayn était quelqu'un d'attentif à se qui l'entourait et ce qui contistue cette planète. Il aimait savoir quand une personne était mal pour la soutenir et quand une personne était heureuse pour propager cette joie. Il aimait voir les autres heureux, c'était pour lui, l'une des plus belles choses qui constituaient ce monde. Il ne saurait pas sauver tout le monde non plus, mais il tentait d'en sauver le plus qu'il le pouvait. Il avait déjà aidé pas mal de monde depuis sa naissance et n'était pas vraiment prêt de s'arrêter non plus, surtout pas en si bon chemin.

Zayn était aussi quelqu'un d'admiratif envers ce que le monde lui donne. Il dit que le monde est gentil avec lui, parce que lui-même est gentil avec. Il dit que c'est en retour, une sorte de monnaie d'échange, un cadeau en gise de remerciement. Mais il est bien naïf aussi. Et con, pour la plupart des personnes de cette Terre. Mais il restait comme quelqu'un d'aimer, d'apprécier et d'admirer par pas mal de personnes. Il restait toujours celui que peu détestait et dont tout le monde allait lui demander un etit service à droite et à gauche. Il le faisait avec plaisir.

Zayn était aussi quelqu'un qui faisait ce qu'on lui demandait avec beaucoup de plaisir et avait une grande satisfaction quand il réussissait. Il était aussi une personne qui souffre pour les autres avec plaisir. Il était une personne qui ne serait pas déranger par le fait de saigner si c'est que pour une personne qu'il aime, puisse être heureux et vivre. Il était assez sociable mais il n'appelait pas tout le monde comme son frère, sa soeur, son ami(e), son meilleur ami, sa meilleure amie, son cousin, sa cousine, son pote, sa pote, son amour, son bras droit, son bras gauche.

Zayn avait des critères bien spécifiques pour chaque personne qu'il côtoyait pour les mettre dans les catégories de ce qu'ils sont pour lui. Il les met en fonction de ce qu'il serait capable de faire pour eux et de ce que ces personnes pourraient bien faire pour lui si un jour, il est dans la merde. Il fait les différences ainsi, n'ayant que peu de différence entre chacun des stades mais que, pour lui, c'était une différence énorme. Il est quelqu'un de peu désagréable et pas vraiment très intimidant. Il est serviable, toujours avec un sourire, mais il a comme même, lui-même, une limite à ne pas dépasser. Il est conçu ainsi et n'est pas vraiment prêt à changer.