Le Donjon Baal Partie 2

Précédemment :

Le trio suivi le gigantesque dragon, ce dernier atterit devant une grande porte bleue avec de petits orifices sur chacune d'elles.

Kalisse : Comment allons-nous passer sans nous faire dévorer par cet animal ?

Drakon : En le tuant naturellement.

Drakon ramassa un bouclier puis s'élance vers la porte mais une fois devant, cette dernière refusa de s'ouvrire.

Le gigantesque Dragon poussa un rugissement en direction de Drakon ce qui l'effraya.

Dakon : Allez ouvre toi fichu porte !

Le Dragon se dirigea vers Drakon qui était totalement pétrifié.

Est-ce la fin ? Vais-je vraiment mourire ? Mourire... Je vais mourire...

Non ! Je ne peux pas, je veux vivre !

Drakon : Je... je veux vivre, non je refuse de mourire !

Alors que le dragon allait s'attaquer à Drakon Sinbad l'attaqua puis assèna une séries de coups au Dragon pendant que Kalisse mit Drakon hors de danger.

Qualques instants plus tard, Sinbad tua  le Dragon et deux sphère verte qui à l'origine étaient sur les yeux du Dragon tombèrent au sol. Ce dernier les saisit et en tendit une à Drakon.

Les deux hommes mirent les sphères dans les orrifices de la porte et cette dernière s'ouvrit comme par enchantement, le trio penètra alors dans ce qui sembla être une salle aux trésors.

****

Kalisse s'élança vers le trésor et comtempla les objets avec des étoiles pleins les yeux.  La pièce était tapissé d'une peinture bleuâtre recouverte d'une dizaine d'étagères où était exposés des objets d'arts, de la porcelaine mais aussi d'innombrables objet constitués d'or et de pierres précieuses.

Kalisse : Sinbad, je peux prendre ça ? Dit elle en tendant une main vers un verre en or orné de pierre et de diamant.

Sinbad : Non attends Kalisse, surtout ne touche à rien !

Kalisse fit gonfler ses joues en rangeant ses mains dans ses poches.

Sinbad grimpa en haut d'un escalier et prit dans ses mains une lampe posé sur une table, cette dernière se mit à briller et une lumière aveuglante envahi la pièce en une fraction de seconde.

Quand je réouvre mes yeux, je vis un immense... heu... je sais pas quoi bleu flotter au dessus de nos têtes.

Je suis Baal, le djinn de la colère et de l'héroïsme, qui de vous trois deviendra...
le djinn s'arrêta de parler en me voyant.

Baal : Que fait-tu ici toi ? Dit il en se penchant vers moi.

Je recule d'un pas, intimidée par sa grandeur. Le djinn me regarda quelques instants intrigué puis il allongea son bras pour me saisir.

Kalisse : Hey ! Lâchez moi ! Criais-Je.

Sinbad allait intervenir mais le djinn fit un geste de la main, lui signifiant de le laisser faire.

Baal : Vraiment étrange, ton peuple s'est pourtant éteint il y a bien longtemps maintenant, alors que fait une jeune Kîñh ici, dans mon donjon ? Demanda Baal en examinant la jeune fille sous toutes les coutures.

Kalisse : Arrêtez de me dévisager comme ça ! Hurlais-Je au djinn.

Baal : Tu ne te souviens de rien ? Me demanda Baal.

Kalisse : Mais, me souvenir de quoi ?

Baal me regarda encore un peu, puis me déposa à ses côtés.

Baal : Je suis navré, mais t'es origines ne te permettent pas de devenir reine.

Je fis la moue pendant que Sinbad et Drakon commencèrent à se battre.
Je n'ai jamais su comment ni pourquoi je suis arrivée à parthevia, mais Baal lui semble me connaître. Peut être qu'il peut répondre à mes questions.

Kalisse : Baal comment tu....

Baal : Je ne répondrai à aucune de tes questions, Kalisse. Dit il sur un ton calme et posé.

Kalisse : Mais pourquoi ? Je veux savoir d'où je...

Baal : Tu le sauras le moment venu.

Contrariée par sa réponse, je fit un petit grognement en faisant la tête. Baal annonça la fin du duel. Sinbad est le vainqueur et à la droit de repartir avec le pouvoir du djinn. Ce dernier dessina un étrange symbole sur l'épée de Sinbad puis disparus dans un éclair bleu.

Quelques secondes après, le donjon disparu puis nous nous sommes retrouvés dans une grande fausse, à l'endroit exacte ou se trouvait le labyrinthe avec un immense trésor au centre.

Soldat : Regardez, le labyrinthe à disparu !

Une cinquantaine de soldat vinrent s'entasser autour de nous. Un homme s'approcha et nous dit.

Soldat : Donnez nous le pouvoir du labyrinthe !

Mon frère se releva et déclara.

Sinbad : Jamais, j'ai gagné ce pouvoir tout seul, il est à moi et à moi seul !

Soldat : Comment oses-tu trahir notre roi, donne le pouvoir sans résister ou tu seras exécuté. Hurla le vieux barbu.

Au même moment Yunan apparut, assis sur le trésor.

Yunan : Pourquoi est ce que tu n'utilise pas tes nouveaux pouvoirs ? Demanda-t-il à Sinbad ?

Soldat: C'est qui lui ? Il sort d'où cet olibrius de la lune ? Dit-il en rigolant avec ses hommes.

Sinbad : Hum, je veux bien mais je ne sais pas...

Yunan : C'est bon j'ai compris, je vais t'aider pour cette fois. Dit il en touchant le symbole gravé sur l'épée de Sinbad.

D'un seul coût, Sinbad, le trésor et moi nous envolons jusqu'au village de Tyson. En nous relevant, l'une des villageoise que nous connaissons bien est arrivée en courant pour nous prévenir que notre mère est au plus mal. Nous nous dirigeons vers notre petite maison, ou se trouve notre mère allongée sur son lit, ainsi que quelques villageoise qui sont restées à son chevet.

Sinbad : Maman. Dit il en prenant sa main.

Notre mère respire anormalement, elle est trempée de sueur et elle a de la fièvre.

Maman a commencée à parler à Sinbad comme si elle parlait à son mari. Sa voix était faible et rouillée à cause de la fatigue, ce qui me brisa le cœur. Sinbad et moi nous sommes mis à pleurer, et nous avons continuer à l'écouter de parler jusqu'au bout. Même si ce qu'elle nous disait n'avais pas vraiment de sens. Et sur un dernier effort, la voix de maman s'est tu. Nous avons fondu en larme. Je prit Sinbad dans mes bras et il me serrât en retour. Nous restâmes plusieurs minutes ainsi nous réconfortant l'un l'autre. Puis sans prévenir, Sinbad se mit debout, sécha ses larmes et me dit.

Sinbad : Petite sœur, nous allons enterrer maman, nous allons lui offrir le plus belle enterrement de tout Parthevia.

Je laissa un sanglot s'échapper et essuya mon visage rempli de larmes.

Sinbad : Et puis, nous allons quitter ce pays et partir.

Kalisse : Mais... partir où ? Dis-je entre deux sanglots.

Sinbad : Poursuivre notre aventure. Nous allons pourvoir réaliser notre rêve et fouler de nos pieds chaque plage, chaque ville, chaque pays du monde entier. Nous pourrons vivre des aventures, rencontrer des personnes, des compagnons de route, des amis fidèles qui nous accompagneront dans toutes nos aventures, et surtout.

Sinbad marqua une pause en posant ses mains sur mes épaules.

Sinbad : Je pourrais atteindre l'objectif que je me suis fixé.

Je regarda Sinbad avec incompréhension.

Kalisse : Quel objectif ?

Sinbad : Maintenant j'en suis sûr, je vais fonder mon propre pays et devenir roi.

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