Chapitre 70 - FIN -

Madinah - Ce n'était pas pour moi.

©️️AYSHA__DYA

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Quelques jours après le décès d'Aminata, j'étais enfermée chez moi caché sous ma couverture entrain de pleurer dans les bras de mon père.
J'étais mal, j'avais mal au coeur, jusqu'à j'en avait mal à la tête.

Depuis quelques temps ma famille ce fait lynché par toute la terre car je serais la cause de tout ce désarroi et eu le « culot » d'après eux de venir me présenter chez la famille d'Aminata pour leurs présenter mes condoléances.

J'estime personnellement de n'avoir rien fait à cette famille ni à personne d'autre, je suis juste victime des bêtises d'Amina qui s'est exposée elle même a la mort, et c'est moi le problème ?

La famille d'Aminata est allé gâter le nom de ma famille partout, vous connaissez les Diakhankés comment ils sont ... commérage sur commérage, toro tiniaro sur toro tiniaro ( gatage de nom sur gatage de nom ).

Il y en a qui ce permettent d'appeler ma famille est les insulter, il y a tout juste 20 minutes ma mère a reçu l'appelle d'une personne et là insulter comme pas possible.

Pareille pour la famille d'Housman, on est au coeur de tout ces problèmes apparement mais lui, ne le vie pas si mal ... il s'en fou mais complètement.

Mon père - Madinah écoute moi

- *en larme* Je leurs ai rien fait à ces gens, je l'ai connais même pas

Mon père - Je sais, je sais que tu ne ferais pas de mal à une mouche mais ne te met pas dans des états pareilles

- *En larme* Si, c'est à cause moi ! Ils t'insultent, insultent Mama, Kadyatou, Ousmane, tout le monde !

Mon père - Dit pas n'importe quoi *en me prenant dans ses bras* ils n'ont qu'à nous insulter jusqu'à leurs bouches ce déchirent, moi c'est pas mon problème, tous ce qui m'importe là, c'est toi et ta santé mentale.

- *En larme* J'suis fatiguée, je veux que ça s'arrête, j'en ai marre.

Mama - *en entrant dans la chambre* Madinah ? Mon bébé pourquoi tu pleures ?

Mon père - Elle t'as entendue te disputer avec la personne qui t'a appeler

Mama - Ah mais c'est moi qu'on insulte, on s'en fou Madi

- *En larme* Non, on s'en fou pas.

Mama - Oh Madinah j'ai subi bien pire, c'est pas les petits écervelés comme eux là qui vont me faire tomber en dépression, on s'en fou ! Tata N'néné aussi ce fait insulter et on s'en fou

- *en larme*

Mama - Pleure pas pour ça, on s'est tous ici comment tu es, c'est nous qui t'avons mis au monde et c'est nous qui t'avons fait grandir jusqu'à devenir la femme que tu es et on est fière de toi parce que tu as toujours suivie tes principes et tes valeurs, faut être fière de ça

Mon père - Oui, exactement ! Soit fière de toi mon bébé et on en emmerde le monde, on les emmerdes, on les emmerdes 1000 fois

Mama - On attend juste la personne qui aura les couilles de venir ce pointé ici, pour m'insulter *en tapant sa cuisse* ce jour là, les murs vont trembler, eux même vont trembler, on va tous les secouer ici, ils vont comprendre qui nous sommes ce jour la, ces chiens la

Ils ont essayé de me remonter le morale mais c'était peine perdue
Je voulais juste quitter ce monde, ne plus exister et ne plus a avoir à subir tout cette acharnement.

Ma mère, m'a laisser avec mon papa et j'étais là dans ses bras, perdue dans mes pensées.
Je veux quitter cette ville, cette endroit, ces gens, ce cauchemars, je veux tout quitter.

Rachelle - *en entrant dans ma chambre* Salut, regard qui je vous ramènes

Housman - Surprise * Avec un grand sourire*

Naïssa - *Toute joyeuse* OUAIIIIIIS *en levant les bras au ciel*

Mon père - *Sourire* Regarde il y a Naïssa

J'étais déprimée mais juste le fait de les voir comme ça, ça m'a fait sourire.

Mon père - Je vous laisse, je reviens tout à l'heure ok ?

- Hm

Mon père - *en m'embrassant
le front* A tout à l'heure ma puce

- À tout à l'heure.

Il s'en est allé, j'ai pris la petite dans mes bras et je l'ai serrer super fort dans mes bras, elle, elle était entrain de marrer.

Rachelle - Tu v'as bien ?

- *en haussant les épaules* je sais pas

Rachelle - J'aime vraiment pas te voir comme ça

- ... ils continuent d'appeler ta mère toi ? *en m'adressant à Housman*

Housman - Ouais mais bon *en haussant les épaules* j'estime n'avoir rien fait dans cette histoire, tout comme toi, tu devrais pas te mettre dans cette état ! On est des victimes Madinah dans cette histoire et Aminata est victime des bêtises de sa soeur fin de l'histoire

- Il n'y a pas que ça, c'est un tout.

Housman - Je ... franchement, je peux comprendre que tu en es marre, tu n'as pas une vie facile à gérer mais aide toi de ça pour devenir encore plus forte, si t'es dans cette état je vais faire comment moi ? C'est grâce à toi que je suis motivé à me reprendre en main

Rachelle - Mais tu ne peux pas te refaire dans un milieu qui t'a détruit

- ...

Housman - ...

Rachelle - Tu devrais vraiment, vraiment changer d'air, partir ailleurs, te refaire Madinah ! Je n'ai rien contre ta famille ou quoi mais tu ne peux pas rester ici, c'est trop toxique.

Housman - Hm je valide mais elle ne travaille pas, tu veux qu'elle ailles ou ?

Rachelle - Je compte partir étudier en Angleterre, tu pourrais venir avec moi

Housman - Donc vous comptez m'abandonner ?

Rachelle - Mais viens, on prend un bête d'appartement là-bas, on fait une petite collocation à 3

- Siraba ? Et Naïssa ? Non c'est pas possible.

Rachelle - Siraba ? Vos mamans sont là pour s'occuper d'elle et je suis sûr que si elle ce réveille, elle comprendra que vous aviez besoin de changer d'air.

- Hm je sais pas

Franchement ? J'étais grave tentée de me barrer en Angleterre, j'ai plus la force de supporter tous ce qu'il ce passe ici.

Housman - C'est une bonne idée en vrais.

- J'ai pas d'argent ...

Rachelle - Tu as l'argent.

- Non ce ...

Rachelle - Tu v'as utiliser cette argent et tu v'as la fermé.

- Non, jamais, jamais, je n'utiliserais pas cette argent ! C'est mort.

Housman - Et bien dit toi que tu v'as l'utiliser pour Naïssa, tu va trouver un petit appartement ou une petite maison ou te loger avec l'enfant de Moussa.

- C'est pas son enfant.

Housman - Madinah la ferme, j'ai dit pour Naïssa

Rachelle - Vous me redirez, je part ce soir toute façon

- Hé Rachelle, tu vies deh

Rachelle - Il le faut ... si vous venez dites moi, je n'est pas envie de me retrouver seule

Housman - Mais tu t'attendais à quoi ?

Rachelle - Je devais y aller avec Aminata *en détournant le regard* Mais elle avait d'autre projet apparement

- ... Désolée pour toi

Rachelle - ...

Housman - *en la prenant
dans ses bras* Pleure pas bichette, ça va aller

Rachelle - ...

Elle s'est mise à pleurer d'un coup sans pouvoir s'arrêter, ça fait quelques jours qu'on ce voit et je ne l'ai pas vue 1 fois pleurer ou même avoir l'air triste... elle cache bien ses émotions.

Naïssa - Oh

- Tata elle est tristes

Naïssa - *d'un air triste* Ooh

Housman - Ah non Naïssa, je comptais sur toi

Naïssa - *D'un air triste* Tata

Housman - Oui, tata est triste

Et du Naïssa était aussi triste, elle, allait ce mettre à pleurer.

- Mon petit bébé d'amour *en la serrant dans mes bras*

J'ai passer le reste de l'après-midi avec eux, ensuite vers 17h Housman à raccompagner Rachelle chez elle, du coup j'avais un petit moment avec Naïssa.

Au retour d'Housman, il était accompagné de cartons de pizzas mdr ça faisait longtemps.

Housman - Regarde ce que j'apporte

- Yes

Naïssa - Yeees *en levant les bras*

Housman - *Rire* On va bien manger

Naïssa - Ouaiiiis

- Elle répond comme si c'était pour elle.

Housman - C'est clair, tu sais il y a la famille de Siraba qui m'a contacté, il n'y a pas longtemps

- Ah ouais ? Ils t'ont dit quoi ?

Housman - Qu'il voulait récupéré la garde de Naïssa le temps que Siraba ce réveille ... ou non.

- *D'un air triste* Ohw non, je l'aimais bien cette petite et ils sont pas au bled ?

Housman - Non, la famille de Moussa a prévenue celle de Siraba y'a pas longtemps là

- Depuis tout ce temps ils étaient pas au courant ?

Housman - Apparemment pas mais ils habitent dans l'ancienne maison de Moussa pas celle où il a essayé de nous faire cramer mais celle d'avant

- Ah.

Housman - ... qu'est-ce qu'il y a ?

- Rien, rien,ça va ! On mange ?

Housman - Ouais vas-y sert toi, aujourd'hui j'étais voir la psy

- C'est vrais ? Ça c'est bien passer ?

Housman - *en haussant les épaules* Oui, comme toujours mais elle tu as raté beaucoup de séance

- Je sais, j' ai pas envie de sortir.

Housman - Non. Tu as peur du regard des gens et ça m'énerve ! TU n'as rien à te reprocher en fait, tu n'as rien fait, ils nous accusent parce qu'ils cherchent des coupables frère, te met pas dans des états pareilles alors que tu as une santé mentale à soigner.

- Oui mais ...

Housman - Non, non, ce ne son que des petits cons qui ne sont pas capable de faire la part des choses et jamais je me mettrais à pleurer parce qu'ils ce permettent d'insulter ma famille ou moi même ! NOUS SOMMES les victimes et c'est à nous de pleurer parce qu'on a vécu des choses horribles à cause de gens complément déranger, tu n'as pas à pleurer parce que un tel ou un tel ta insulter d'assassin ou autre

- ...

Housman - Sur ce coup là, tu m'énerves par contre on a d'autre chose à faire cousine

- Mais tu comprends même pas pourquoi ...

Housman - Madinah passe à autre chose, on s'en fou des gens

Il m'énervait, parce qu'il parlait comme si il me comprenait ou si il m'avait écouté, c'est pas juste le fait qu'on accuse d'avoir anéanti la famille d'Aminata, c'est un tout pour moi, lui vit avec ses deux parents, il n'a pas le cul entre 2 chaises ... il a une vie normale quoi.

Moi j'apprends tout les jours des nouvelles choses ... de mauvaise nouvelle en plus et j'en suis toujours la cause, là je vous dit il y a même des gens de ma famille qui doivent me détester, des gens que je côtoie tout les jours comme tonton Bambo qui me déteste encore plus qu'il ne me détester a cause de ça

Je sais pas, si je me suis faite comprendre mais je sature.

- ... Tu comprends rien.

Housman - Je comprend pas quoi ?

- Rien, laisse tomber c'est pas la peine.

Housman - Pourquoi tu braques comme ça ? On parle tranquille

- ...

Nous avons mangé avec la petite Naïssa, qui a finis par s'en dormir sur ma poitrine.

Housman - Je vais rentrée avec la petite

- Ok

Housman - Demain je doit la déposer chez sa famille tu viens avec moi ?

- Hm oui

Housman - Vas-y, je t'appelle alors

- Oui Housman

Il est venue récupérer la petite sur la poitrine, je l'ai accompagnée à la porte puis s'en est allé.

Mama - Ah quand c'est pour ton chéri, tu sors du lit hein

- N'importe quoi

Mama - Regarde moi t'es yeux gonflé là, tu pleures tellement Madinah tchiaaa c'est trop

- *hausse les épaules*

Mama - Vas-y prendre une douche  puis on va prier avant de mangé ok ?

- Oui mère.

Mama - *Ricane* Mon amour de ma vie que j'aime *en me serrant dans ses bras* mon petit coeur

Elle s'est mise à me bombarder de bisous, ça m'a fait sourire parce qu'elle me chatouiller dans le vouloir.

- *Rire* Mamaaa

Mama - *Sourire* Vas-y prendre une bonne douche

Je suis donc allé prendre une bonne douche bien chaude là, c'était parfait il manquait juste le petit cocktail et ça aurait était parfait.

Après mettre laver, j'ai pris mes ablutions et je suis allé rejoindre ma mère accompagnée de son mari là pour prier « en famille ».

Son mari était devant car il dirigeait la prière, ma mère et moi étions placé juste derrière l'une à côté de l'autre ... enfin bref nous avons prier une fois finis, nous avons dîner tout les 3

Je peux vous dire que c'était une ambiance très très lourde à supporter, le téléphone de ma mère ne cessait de vibrer, pareille pour son mari j'étais mal ... c'est à la limite de l'harcèlement là.

J'avais une boule au ventre, elle était énorme à tout moment je craque, j'avais vraiment du mal a le supporter que ce soit encore une fois a cause de moi, que tous ça leurs arrivent.

Surtout, le mari de mon père j'appréhendais vraiment, vraiment sa réaction à tout moment il craque et me sort des choses que je ne veux pas entendre.

Mama - Tu manges pas ?

- J... Non j'ai pas faim, je vais allé dormir, j'me sent pas bien

Tonton Bambo - Mange et tu cesses de te mettre dans des états pareilles, tu l'as pas poussé cette fille, tu ne l'as pas balancé, tu n'as rien fait ! Donc arrête moi ça et mange.

- ...

Tonton Bambo - Je ne te laisserai pas t'enfermer dans cette chambre tant que tu n'as pas finis ton assiettes

- J'ai pas faim.

Puis la, il a fallut qu'à ce moment là, mon ventre ce manifeste quoi, là poisse.

Mama - Mange

Tonton Bambo - Aller mange, on va rester ici jusqu'à demain matin si tu ne mange pas, je ne rigole pas.

- ...Non, je me sens vraiment pas bien

Tonton Bambo - Pourquoi ?

- Parce que.

Mama - Elle va re commencée à pleurer

- ...

Mama - *en essuyant mes larmes* On va changer de numéro t'inquiète pas que tous va bien ce passer après ça et puis on a porter plainte contre eux.

Et comme ils l'ont dit, on m'a vraiment forcé à manger fin « forcer » c'est un grand mot parce que en soit j'avais la dalle.

Après avoir bien manger, j'ai débarrassé la table fait la vaisselle avec ma mère avant d'allée m'enfermer dans ma chambre.

Puis je me suis mise à pensée à ce Rachelle m'avait dit ... l'histoire de vouloir partir loin d'ici et j'y penser vraiment.

Toute mes journées qui ont suivie cette journée, je ne pensais qu'à ça ! Partir, partir et partir loin d'ici, même pas pour rejoindre Rachelle non, je voulait partir loin et toute seule.

Plus les jours passées et plus j'y pensée, je me suis mise à faire des recherches sur différents pays ou ville puis je sais pas, en regardant certaines annonce sur l'Australie, je n'avais qu'une envie c'était d'aller là-bas ou en Amérique, j'étais vraiment prête à tout faire.

J'en avait parlé à personne de cette envie de partir même pas Housman, lui d'ailleurs j'essayais de l'évité au maximum depuis que nous avons accompagnée Naïssa chez sa famille ... je me suis un peu éloigné de lui, il savait et avait compris que j'essayais de m'éloigner de lui mais il lâchait pas l'affaire, il faisait celui qui ne voyait rien.

Mais surtout ce qui a fait que nous avons commencé à s'éloigner l'un de l'autre c'est qu'il y a très peux de temps le mec ma posait une du genre « Si jamais je te demande en mariage demain tu acceptes ? », je lui ai répondu que « non », pourquoi ? Parce que je pense ne pas être prête à m'engager dans une histoire de mariage après tous ce qu'il sait passé, j'ai besoin de temps pour moi, pour me reconstruire et plein d'autre chose.

Et ça là toucher que je réponde comme ça « non » sans hésitation ni rien, je sais ce que je veux dans ma vie et pour l'instant me marier n'est pas une chose que je veux à tout prix, j'en ai eu ma dose.

Quand je lui demande un service il me le refuse sous prétexte qu'on ce doit rien etc... j'ai vue qu'il s'éloignait de moi du coup je l'ai laisser faire mais il est quand même revenue un peu à la charge.

Nous étions un lundi matin, nous avons rendez-vous chez Docteur Floricourt, lui et moi, nous étions en route vers le cabinet ...

Housman - Tu as était voir Siraba ces derniers temps.

- ... Oui.

Housman - Pourquoi tu me mens ?

Je ne suis pas une très bonne menteuse, il est vrais que ça fait très longtemps que je n'est pas était voir Siraba.

Pourquoi ? J'ai pris la décision de partir sans rien dire à personne et comme je n'est de temps que la journée quand ma mère et son mari son au travail pour préparer mes affaires, faire mes valises etc ... j'en oublie Siraba ...non je ne l'oublie pas, je ne trouve tout simplement pas le temps.


- ...

Housman - tsss.

Il m'énerve tellement quand il me « tsss. », il me fou la haine.

- Arrête tu va m'énerver.

Housman - Je sais même pas pourquoi je suis passé de récupérer

- Commence pas à me soûler avec des vieilles histoire là, j'ai d'autre chose à faire moi.

Housman - Parle correctement avec ta bouche.

- D'accord Housman.

Nous sommes arrivés chez notre psychologue la, en nous voyant arrivée la dame nous a accueillis en soupirant tellement on l'emmerde à chaque fois qu'on viens.

Docteur Floricourt - C'est quoi le thème aujourd'hui ?

- Il m'emmerde tellement ce mec purée, je ne peux plus me le voir

Housman - Et moi alors ? Elle est folle, elle s'énerve pour un rien

- Mais tait toi tu fais mal à la tête.

Housman - Me cherche pas Madinah

- Boucle la Housman, boucle ta gueule.

Housman - Et Madame je vais le gifler vite fait celle-là

- Gifle, gifle moi ! Clochard va.

Puis ça a continué pendant un peu près 10 minutes, de grands gamins fallait nous voir.

Docteur Floricourt - Bon ça suffit, stop

- Voila ta gueule

Housman - Toi, ta gueule

Docteur Floricourt - Mais vous êtes pas possible tout les 2, vous êtes infernale ces derniers temps, qu'est-ce qu'il ce passe encore ?

- Vraiment madame demander lui, il va vous dire

Housman - Y'a rien du tout, elle m'soule c'est tout.

- Je t'ai fait quoi ? C'est un malade.

Housman - Vas-y la ferme

- *Soupir* J'abandonne.

Docteur Floricourt - Alalalala les jeunes

Housman - ...

- ...

C'était une séance banale parmi tant d'autre, une fois finis comme l'autre gros gamin était encore énervée contre moi, il est sorti de la salle sans m'attendre, il s'est barrer bien vite.

Je suis sortie du cabinet et je me suis dirigée vers l'arrêt de métro ... Chelsea était là, elle était là, elle avait changer, elle était devenue ... une autre pas négativement hein.

Chelsea - Salut Madinah

- Salut.

Chelsea - J'ai appris ce qu'il c'était passer

- Hm.

Chelsea - Ça va ? Tu tiens le coup ?

- Oui.

Chelsea - Tu rentres la ?

- Oui

Chelsea - Ok, on fait la route ensemble

Le métro est arrivée nous sommes toute les 2 monter à l'intérieur s'installer tranquillement.

Chelsea - Ça m'étonne de te voir ici, tu n'as plus de voiture ?

- Si j'ai toujours ma voiture.

Chelsea - Ohw... j'espère que tu v'as bien ?

- Oui, ça va merci.

Chelsea - Et Moussa ...

- N...non, non, j'ai pas envie d'en parler s'il te plaît, j'ai pas envie.

Chelsea - Ok désolée

Moussa ? Je ne sais pas quoi en pensée, je sais pas quoi dire ou quoi, c'est un sujet très complexe.

C'est quand même quelqu'un avec qui j'ai tout partager, vraiment tout, on a vécu des années ensemble, je l'ai côtoyée, je les respirer ... Moussa c'était la moitié, c'est mon double puis il a merder.

Sur le trajet je me suis mise à pensée à Moussa, ça me rendait triste ce voir qu'on a tout gâcher, on a fait de la merde et ça me rend triste.

Chelsea - Tu pleures ?

- ... Hein ? Non. *en essuyant mes larmes* Je..salut

Je suis descendue à une arrêt qui n'étais même pas la mienne et quand j'suis descendue du métro, je me suis mise à pleurer, j'ai pleurer, je pleurais pour Moussa et c'est ça qui m'énervais le plus.

J'ai marché à pied, jusque chez moi en me noyant dans mes larmes.
J'étais dans une phase vraiment laissé tomber, j'ai pleurer jusqu'à je me suis endormie.

Je me suis re réveillée vers 19h, j'étais fatiguée et pour couronner tout j'avais une mega migraine.

Je me suis lever complément sonner, je suis allé faire mes ablutions pour pouvoir prier bien au calme.

Une fois finis je suis allé rejoindre ma mère en cuisine.

Mama - Ma princesse * Grand sourire* Comment tu v'as ?

- Ça va.

Mama - Qu'est-ce qu'il t'arrive ?

- Rien, juste un peu fatiguée

Mama - Hm d'accord, tu as vue ton père aujourd'hui ?

- Non.

Mama - Hm, met la table on va pas tardé à passer à table

- D'accord

J'ai donc dresser la table avant qu'on puisse passer à table, pendant le dîner j'étais très silencieuse, j'étais perdue dans mes pensées, j'étais ailleurs.

Mama - Bah qu'est-ce qu'il y a ?

- ...

Tonton Bambo - Madinah ?

- Hm ? Qu'est-ce qu'il y a ?

Mama - Qu'est-ce qu'il y a ?

- rien du tout, pourquoi ?

Mama - ... Comme ça

Elle m'a regardé complément intriguée, cette femme s'est lire en moi comme elle lit dans un livre les gars, j'ai paniquer et je me suis levé pour quitter la table.

Mama - Mais mange ...

- J'ai plus faim, salut.

Mama - Madinah ...

Elle n'eut même pas le temps de commencé sa phrase que j'avais déjà quitter les lieux, je suis allée dans ma chambre réfléchir à si je devais vraiment partir ou rester ici à me tuer à petit feu.

Parce que j'ai déjà pris le billet direction L'Angleterre aller sans retour.
J'ai déjà louer un appartement parce que l'autre boug de Moussa était vraiment très riche ... j'ai réussie à louer un appartement très facilement, pour qu'elle raison ? J'en sais rien.

Mais je ne réfléchissais pas réellement, j'avais qu'une envie c'était m'en aller mais je ne savais pas comment l'annoncer à ma famille ... qui vont par tout les moyens m'en empêcher.

Mama - Madinah tu veux bien apporter cette assiettes chez Kadyatou ?

- Comment ? Je prend pas la voiture hein

Mama - Non, elle t'attend à côté de Franprix

- Ah d'accord

Alors comme prévue, je me suis habillée pour apporter une assiette que ma mère avait préparer pour Kady.

Je l'ai rejoint en face du Franprix qui n'était pas très loin de chez moi.

Kadyatou - Ça va toi ?

- oui, tranquille

Kadyatou - Tu n'as pas bonne mine hein

- Ouais je sais, j'suis un peu fatiguée c'est pour ça

Kadyatou - Ah bon, vas-y rentre il fait nuit ! Dès que tu rentres tu m'envoies un message hm ?

- Oui

Kadyatou - Vas-y ma belle

Elle m'a embrassée le front avant que nous nous séparions, alors les gars ! Sur le chemin du retour, tout aller bien hein, j'ai quitter chez moi toute sereine et tout.

C'est pas j'arrive devant chez moi et je vois toute une foule complément récolté, ça saccager mon jardin, ça crier mon nom, le nom de mes parents et tout, j'étais pas bien sûr le coup.

J'ai voulu faire demie-tour, pour aller ou ? Je sais pas mais je commençais à faire demi tour et la, y'a un mec il m'a reconnue et dès que je j'ai vue qu'il m'avait vue je me suis retournée bien vite pour courir.

Le mec - ELLE LA MADINAH *en me pointant du doigt*

Je sais pas ce qu'il m'a pris mais je me suis mise à courir et je vous jure, ils ce sont tous mis à me courir après au nom de Dieu, ils étaient tous derrière moi et ils étaient en masses.

Ils me coursait frère, pourquoi ils courent tous derrières moi ? La vie, je courait comme une folle, je me la donnait vraiment les gars.

J'avais le coeur qui battait à toute allure j'avais peur, très peur.

Je me suis mise à pleurer en courant, j'étais vraiment effrayée.

- *en larme* LAISSEZ MOI TRANQUILLE !

Pendant au moins 10 minutes je courais, j'avais plus aucun cardio wesh, ça fait des années que je n'est pas fait de sport et là on me court après en troupe en plus, pour qu'elle raison ? J'ai fait quoi moi.

Ils m'insultaient tous de tout les noms, un moment c'est pas j'étais entrain de courir et mon stopper net dans ma course car tu avais un 2ème groupe qui avait le tour.

On m'a attraper violemment par les cheveux, fin cette personne a d'abord retiré mon foulard avant de m'attraper par les cheveux avant de me balancé parterre et là, je me suis faites rouer de coup.

- *en larme* LAISSEZ-MOI !

Un gars - ON VA TE TUER CONNNASSE.

Ça m'insultait et ils me reprochaient tous, tous vraiment d'avoir tuer les jumelles Amina et Aminata.

Je me suis faites défoncée, DÉFONCÉE !

[ ... ]

Mama - LAHILA Y LALLAH, ILS ONT TUER MA FILLE, MON BÉBÉ * En larme*

Mon père - Je vais faire un massacre.

Tonton Bambo - Et bah voilà, quand on côtoie les mauvaises personnes.

J'étais entrain de pleurer devant le miroir, ils m'ont tuer, ils m'ont tuer, j'avais un visage tout gonfler avec des hématomes, j'avais la lèvre complètement rose/violet.

J'avais mal, je souffrais.
J'étais en souffrance totale.

Mama - *en larme* c'est des malades ces gens, Madinah leurs a fait quoi ? Ils auraient pu la tuer, elle aurait pu mourir.

Ma mère était sous le choque comme tout le monde d'ailleurs, elle essayait de me soigner alors qu'on pleurait toute les 2.

Mon père - Mariama arrête de pleurer, soigne la correcte...

Mama - *en larme* MOHAMED LAISSE-MOI, NE ME SOULE PAS

Mon père - Mais ...

Mama - *en larme* LAISSE MOI, LAISSE MOI MERDE !

Ils ont tous commencé à s'exciter et tout, c'était un cauchemar, ça m'a soûler et je suis allé m'enfermer dans ma chambre.

Si les grands de mon quartier de saurait pas venue me sortir de la, je crois que je serais morte à l'heure actuelle.

J'ai des bleus plein le corps, j'étais entrain de me regarder dans le miroir de la chambre en pleurant.

Mon père est arrivé a ce moment là avec la trousse de secours.

Mon père - Madi ?

- *en fondant en larme* J'ai rien fait à ces gens

Mon père - *en me tendant ses bras* Je sais mon coeur, je sais

- *en pleure* J'en ai marre, j'en peut plus, je veux mourir

Mon père - Ne dit pas ça

- *en pleure* J'ai mal partout, partout.

Mon père - *en me serrant dans ses bras* Ça va allé, je suis là ma fille

J'étais au plus mal et ça, franchement c'était la goute de trop, même si je porte plainte maintenant rien ne va changer.

Mon père a essayé de me soigné comme il le pouvais, en l'espace de 30 minutes la maison s'est remplis avec toute la famille de tata N'néné, Kadyatou, Ousmane et sa femme, la famille de mon père aussi est arrivée entre temps.

Quand ils ont vue dans l'état dans laquelle j'étais, j'ai cru même qu'ils avaient lu la mort en moi.

Ousmane - Oh les fils de pute *en touchant mon visage* je vais faire un massacre, c'est pas possible 

Mama - Touche pas son visage Ousmane, elle a mal

Tata N'néné - Mais c'est très grave ce qu'il t'arrive Madinah, faut prévenir la police

Tantie Fatouma - Oui, faut prévenir la police ! Ils ce prennent pour qui ces gens !? Ça va pas chez eux

Nordine - La vie de ma mère je vais allé les trouver dans leurs putain de quartier et les défoncés 1 par 1.

Mamadi - Tu va te faire baiser ta grande gueule tu v'as comprendre, chien va.

Nordine - BAH ON FAIT QUOI ? ON FAIT QUOI ?

Housman - Ça sert à rien de s'énerver.

Nordine - Toi, m'énerve pas, ta gueule

Ousmane - Mais qu'est-ce qu'il s'est passer ? Pourquoi tous ça ?

Mama - Je l'avais envoyé donner une assiette à Kady  et les garçons qui traines dehors tout le temps me l'ont ramené à la maison dans cet état.

Tonton Bambo - *Ricane*

Mon père - A-t-on dit quelque chose de drôle ?

Ousmane - Pas au dernière nouvelle, non.

Kadyatou - ce n'est pas le moment la, Madinah est complètement défigurée

Mon père - Madinah on va a l'hôpital

- Non.

Mon père - Madinah tu as reçu des coups violent a la tête, on peut pas ce permettre de te garder comme ça

Kadyatou - Oui c'est vrais

- ...

Mamadi - Vas-y prendre une veste on va à l'hôpital

Franchement ? J'étais même effrayé de sortir dehors, je comprend pas pourquoi tout cette acharnement sur moi.

J'avais une boule au ventre.

J'ai donc suivie Mamadi et mon père, direction l'hôpital, dans la voiture je pleurais en silence, j'en pouvais plus, à tout moment rien qu'en sortant les poubelles de cette maison je risque de mourir a tout moment.

Ça me faisait froid dans le dos.

Mamadi - Dors pas hein

- Hm

Mon père - Ça va aller ma puce

Il aime me rassurer en disant que « ca va aller » mais lui comme moi savons que rien ne va aller, j'ai peur, j'ai très peur.

Arrivée à l'hôpital, j'étais toute tremblante, j'étais vraiment effrayée, ils m'ont fait passé des examens voir si j'allais bien ce qui n'était pas le cas apparement parce que je me suis retrouver prisonnière dans ce lit d'hôpital.

- Je veux pas rester ici... toute seule en plus.

Mamadi - Mais c'est pour toi princesse, pour ta santé Madinah

- J'ai peur

Mon père - Mais je reste avec toi, ne t'inquiète pas

Mamadi - Vas-y je vais rentrée, je t'apporterais des vêtements de rechange demain

Mon père - Oui, fait attention quand sur la route et appeler moi si ils vous arrivent un truc

Mamadi - Oui t'inquiète

Mamadi s'en est allé et je me suis retrouver avec mon père, il était super inquiet en même temps il y a de quoi.

Mon père - Je ne bouge pas d'ici t'inquiète pas

-Hm

Mon père - ...

J'avais aucune envie de parler, j'étais fatiguée et perdue dans mes pensées.

C'est ce jour là et a ce moment que j'ai vraiment pris la décision de m'en allé, de partir loin, d'une part pour me sauver la vie et de l'autre pour survivre psychologiquement parce que franchement ? Je suis sur le point de craquer, Aminata et maintenant ça, tous ça en l'espace de 2 semaines ?

Je pense avoir assez souffert, que ce soit avec ma famille ou mon entourage maintenant ça suffit, je ne pourrais plus supporter en coup de travers, je n'ai plus de force mentalement et physiquement.

Mon père - T'es pas bavardes aujourd'hui

- Je viens de me faire tabasser.

Mon père - ...

- Qu'est-ce que tu veux que je te dise ? Hm ? Que je t'explique que j'ai faillit mourir étouffé ? Que ...

Mon père - Ça y est, c'est bon ! J'aurais du fermer ma bouche, c'était juste pour faire discussion et si tu veux pas parler, c'est ton droit.

- ...

Nous sommes rester silencieux comme ça, chacun de son côté j'dis qu'à ce qu'il s'endorme.
Je n'arrivais pas à dormir, j'avais trop de chose qui me revenais en tête, du coup je suis rester éveillée toute la nuit.

Mon père n'a ouvert les yeux que vers 9h du matin, j'étais entrain de le fixer Dieu sait pourquoi ... il a ouvert les yeux et ma fait les grands yeux.

- Mais quoi ?

Mon père - Toi quoi, pourquoi tu me regardes comme ça ?

- *Petit rire* Je sais pas

Mon père - On peut pas ce lever en paix aussi ici

- Ça va, ça va

Mon père - On fixe pas les gens comme ça, tu fais peur wesh

- « Wesh » ? Matin bonheur la « wesh » ?

Mon père - C'est comme ça on dit non ?

- *Rire* Oui c'est comme ça

Mon père - Tu as bien dormi ?

- ... Oui tranquille

Mon père - *en arquant un sourcil* Ah ouais ? Vraiment ?

- Oui

Mon père - On sait quand nos enfants nous mens hein

- ...

Mon père - Tu veux en parler ?

- Non, j'suis fatiguée

Mon père - Bah dors

- J'ai pas envie de dormir

Mon père - Bah t'a gueule alors

- Ah ?

C'est un fou votre vieux là, j'aurais cru avoir une discussion entre Mamadi et moi.
Il sort des « ta gueule » comme ça, au calme et sereinement en plus.

Mon père - Chute, bon j'arrive ! J'vais pisser

- Hé *Ricane* Parle correctement, tu me gênes

Mon père - *Rire* Bon ok j'aurais essayé hein.

Mamadi et Nordine son arrivée juste à ce moment là.

Nordine - Madinah

- Nordine

Nordine - Bien dormis ?

- Oui *en haussant les épaules* tranquille

Mamadi - Ah ouais ? *en arquant un sourcil*

- OUI

Mamadi - Ok ok, calmos ! Il est où papa ?

- Il est allé pisser comme il dit

Mon père - C'est vous qui parlez comme ça *en entrant dans la pièce*

Nordine - Mais tu es super gênant comme mec, tu comprends pas ?

Mon père - I woulo ( chien ) je fais ce que je veux, connard.

Mamadi - Guette comment il pète le seum

Nordine - J'te jure, il veut pas comprendre qu'il est plus dans game, le monsieur est père et grand-père en plus ça continue à vouloir rester jeune, ça y est

Mon père - Ta mère la vieille

Mamadi - Comme toi aussi

Mon père - Et puis laissez-moi tranquille, personne vous a demander

Nordine - Alalalala, les vieux

Mon père - *Regard noir*

Mamadi - Bon, place au petit déjeuner les amies

Nordine - On est grave pas ami poto !

- ...

Nous avons donc pris le petit déjeuner tout les 4 avant que Kadyatou arrive a son tour avec le petit déjeuner également, bon écouter hein ! On s'est fait plaisir.

Kadyatou - ... Vous savez pas ce qu'il ce passe à la maison

- y'a quoi ?

Kadyatou - On a reçu des lettres de menace et Housman à faillit ce faire sauter à son tour ce matin.

J'avais une énorme boule au ventre, j'étais pas bien.

Mon père - C'est une blague ?

Kadyatou - Non, Ousmane a appeler la police ce matin et ils étaient encore à la maison quand je suis partie.

- Ça me soûle.

Mamadi - Pleure pas

- Je comprend pas.

Kadyatou - Faut faire quelques choses, cette histoire va mal finir

Nordine - Ces lettres sont destinées à qui ?

Kadyatou - Bah ...

- Moi ?

Kadyatou - La plus part oui

J'avais tellement peur, j'en tremblait.

Kadyatou - On sera là pour te protéger

- ...

J'étais en stresse totale.

[ ... ]

Ce sont vraiment les jours, les jours après cette incident que tous s'est jouer, je n'en pouvais plus et je savais qu'à tout moment je pouvais craquer et devenir folle

Durant les jours qui on suivie c'était un carnage, dès que je mettais un pied dehors je me faisait suivre et ça me faisait super peur, très peur, jusqu'à j'ai arrêter de sortir meme ouvrir mes fenêtres je le fait pas, je suis tétanisée.

Nous avons continuer à recevoir des lettres de menace dans tout les sens, des objets contendant avec lesquelles on me menaçait de me faire du mal... c'était affreux.

J'ai réussi à m'attirer une nouvelle fois les foudre de tonton Bambo, parce que ça le soûler de trouver devant sa porte à chaque fois des lettres de menace ou autre, il me la fait comprendre et ça m'a toucher, j'en ai fait part à ma mère qui elle m'a répondu de le laisser, que ce n'était rien ... qu'il était juste énerver.

A chaque fois qu'on recevait des lettres, il me les balances à la gueule, un jour j'ai finis par me disputer avec lui et ma mère a oser prendre ça défense, j'étais choquée et déçu.

Je n'acceptais pas le mal que tonton Bambo me faisait subir... il ne le faisait pas physiquement genre en me donnant des coups non, il le faisait par son attitude et ses paroles.

J'ai finis par pété les plombs et me disputait avec lui, ça a pété et il a osait me gifler, me lever la main dessus.

S'en était trop pour moi et c'est comme ça, que moi Madinah Haïdara, j'ai décidé de prendre mes bagages et quitter cette maison.

Mes affaires était déjà prêtes, je n'avais plus qu'à les mettre dans le coffre dans ma voiture et m'en allé, j'étais très en colère mais je savais que c'était la meilleure chose à faire, je suis un poids en trop pour cette famille, je suis de trop, je suis à ma place nul part ici et avec personne, je ne leurs apporte que des problèmes ... je ne supporte plus de vivre de la sorte.

De voir les membres de ma famille ce faire incendier a cause des mauvais choix que j'ai pu faire par le passé me fend le coeur, je ne supporte plus de les voir souffrir, de les voir subir toutes ces choses négatives que j'ai apporter avec moi en quittant Moussa ... peut-être que j'aurais du rester avec lui, je serais peut-être morte à cette heure ci mais sans faire de mal à mon entourage et mes proches.

J'ai mal, mon coeur saigne ...

Voilà pourquoi j'ai pris la décision de m'en allé une bonne fois pour toute, loins d'eux, loins de tous ça afin de pouvoir mieux me reconstruire et enfin les laisser vivre leurs vie comme ils auraient du la vivre.


- FIN DE L'HISTOIRE -

_________

Madinah - Ce n'était pas pour moi.

©️AYSHA__DYA

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