Chapitre 2
3 .
Jerome hésita quelques instant, c'était compréhensible, c'est quand même faire sortir serpent de sa cage, mais il finit par le faire, il alla prendre une clé, il ouvrit le cadenas qu'il glissa dans une des poches de son grand manteau noir et ouvrit la cage, le serpent sortit d'abord sa tête, elle me regarda quelque instant, puis sortit de la cage, descendant tout son corps pour se poser au sol, comme une chute d'eau, puis elle commença à ramper, nous échangeons un regard avec mon oncle et nous commençons à la suivre, suivit de Jerome, Lee et le chef de piste, le rouquin vient se mettre à côté de moi et murmura
-Merci pour ce que vous avez dis tout à l'heure, Dit il a voix plutôt basse
-C'est normal Jerome je déteste qu'on traite les femmes comme ça alors que les hommes font exactement le même
Nous nous échangeâmes un petit sourire et un regard, j'avais l'impression qu'on se regardait comme si on re découvrait l'autre, voir les ressemblances avec un nous passer, son regard était d'un vert émeraude, qui cachait au fond de lui une tristesse, une tendresse et une peur indescriptible, il avait peur pour sa mère, il était triste car on avait prétendu que sa mère était une pute qui finissait sous des draps inconnus et une tendresse, qu'il m'adressait peut être, une reconnaissance pour avoir défendu sa mère qu'il aime sûrement beaucoup, en le regardant je pourrais dire qu'il lisait en moi une femme qui faisait pareille que sa mère et qui l'assumait totalement, que j'étais une femme qui avait du répondant et qui protégeait les autres, peut être il voyait ça en moi, qui sait vraiment ? Il est le seul à le savoir, je crois que beaucoup de gens me percevait comme ça, une femme avec du répondant, avec un gros caractère et qui n'était pas du genre à se laisser faire et c'était vrai, je porte des coups a qui ose me menacer, je crois qu'on pouvait bien s'analyser des heures entières et que nous pourrions nous connaître mieux que nous juste en nous nous regardant dans les yeux.
Mais nous finissons notre échange de regard et nous reportons notre intention sur le serpent qui traversait tout les cirques, pour arriver comme au centre de tout, le centre de tout le cirque, le serpents monta sur des caisses en bois se trouvant juste à côté d'une charrette ou un grand draps y était, le serpents trouva une petit entrée et se glissa sous le grand draps blanc légèrement salit.
Mon oncle s'approcha et relève le draps, laissant apparaître le cadavre d'une femme au cheveux brun ondulé avec un voile bleu et vert émeraude sur le dessus d'une crâne, une robe aussi bleu et vert ainsi qu'avec des genres d'écaille noir entourer d'or, la robe était taché de sang, mon oncle eut un mouvement de recul, nous nous échangeons a nouveau un regard alors que des sanglot commencèrent pour Jerome qui se laissa tomber sur les genoux, dans un mouvement de tendresse et de compassion, je posa sa main sur son épaule, il posa sûrement par réflexe sa main sur la mienne, il s'accrocha à ma main comme si sa vie en dépendait et je le laissa faire, posant ensuite mon regard sur le cadavre de Lila.
Mon oncle après quelque instant pour reprendre ses esprits se tourna vers le chef de piste, l'interrogeant du regard, les bras croiser, le chef de piste lui avait le regard vers le bas
-Vous le saviez, commence mon oncle, vouS saviez qu'elle était la... Regardez moi, ordonne Jim
-Elle était déjà morte quand on la retrouver, Dit it en relevant le regard vers mon oncle
-Montrer nous ou vous l'avez trouver
-D'accord
Je viens rapidement faire un câlin à Jerome qui pleurait toujours, il me brisait le cœur de le voir comme ça et c'était plus que de la compassion que je ressentais, je le sentais que c'était plus, bien plus fort que ça mais je ne savais pas pourquoi ça me faisait si mal de le voir pleurer en particulier lui, qu'est ce qu'il avait de plus des autres personnes que j'ai vu pleurer lors d'ancienne enquête policières ? Je n'en savais rien mais il y avait plus, c'était une certitude.
Je finis par le lâcher et il essuie ses lames avec la manche son pull, reniflant doucement, les yeux rouges à cause des larmes et les joues humides du liquide salé qui avait enivrer son visage quelque minutes après avoir découvert le corps de sa mère, je me releva et il se leva également, le chef de piste avait prit une lampe torche et deux autres agent de police nous avait rejoint, je laissa Jerome partir vers une voiture de police qui allait l'amener au commissariat pour l'interroger. Le chef de police nous amène à un petit champ dégager, entourer de haute herbe, un petit cercle d'haute herbe jaunâtre et verte était au centre et quelque une était plier, le corps était sûrement la
-Les techniciens l'ont trouver la, dit le chef de piste en montrant du doigt l'endroit d'haute herbe au centre, On a décidé de la cacher dans la camionnette et on comptait lui donner de vraies funérailles en reprenant la route
-Vous êtes tellement intentionnée, dis-je ironiquement, qui "on " ?
-Les chefs de familles et moi, répond le chef de piste, si c'est quelqu'un de l'extérieur qui l'a tuée, on y peut rien, si c'est l'un des nôtres, on le saura tôt ou tard. Et on le punira en conséquence
- Comment ? Demanda Jim
-On a nos lois, Dit simplement le chef de piste
-Nous aussi, menotté le, ordonnais-je a un autre policiers qui s'exécuta
Presque tout les salariés du cirque furent amener au commissariat, pour ma part et celle de mon oncle ainsi que Lee, nous montâmes en voiture et rentrent au commissariat qui ressemblait plus à rien maintenant. Les couleurs flanchante du cirque mélanger au couleur froide et dur du commissariat, le froid de ses murs qui reflétait les bas fond du cirque, ce qui se trouvait derrière le maquillage et la bonheur.
Le commissariat représentait à lui seul les bas fond de Gotham, son côté sombre et froid où nous pouvons faire confiance à peu de gens malheureusement, Harvey Bullock, un homme plutôt grand, un peu ballonner avec une barbe châtain et blanche ainsi qu'avec son éternel chapeau noir sur la tête, arriva vers moi en regardant partout autour de lui, stupéfait de voir un cirque au commissariat.
-On a besoin d'un peu d'aide
-Sans blague, demanda Harvey toujours aussi surpris, Tu es sérieuses ? C'est pas un canular très élaboré ?
-Non c'est pas une blague mon chers Harvey bon moi je dois aller interroger le fils de la victime je reviens
Je monta la marche qui me menait à mon bureau ainsi que celui de mon oncle et Harvey, j'entra dans le couloir, la porte à ma gauche donnait sur le bureau de Lee si on peut dire ça comme ça et au fond du couloir, une porte noir corbeaux vernis y était, elle donnait sur la salle d'interrogatoire, alors j'ouvris la porte et entra dans la pièce, la pièce était plutôt sombre, seule la lumière qui arrivait à se glisser derrière les volet nous permettait de nous voir, Jerome était déjà assit, à la place en face de la mienne, son regard livide et ses yeux encore rouge des larmes qui ont du sûrement couler très longtemps, je pris donc place, me mettant face à lui et commençant.
-Parle moi de ta mère, Jerome
-C'est ma mère. Qu'est ce que je peux dire ? Je l'aime. Elle est parfaite. Mis à part qu'elle ne cuisine pas très bien
Je ne pus un petit sourire amuser naître sur mes lèvres, lui aussi avait eux une pointe d'humour lorsqu'il avait dit ça, un léger sourire amuser avait prit place sur son visages avant que la tristesse revienne dans son expression. Je m'avança sur ma chaise pour poser mes mains croiser sur la table qui nous séparait.
-Elle avait des ennemis ? Quelqu'un qui pourrai lui en vouloir ?
-Non
-Des petit amis ? Demandais je
-Des amants, corrigea-t-il, pour le sexe. Mais pas de petits amis. Elle ne voulait pas s'engager
-Alphone Grayson ?
-Oui, il en faisait pari
-Owen Lloyd ?
-Oui
-D'autre ?
-Aucun que je connaisses de nom
-Et que pensais-tu de la vie sentimentale de ta mère ?
-Ça ne me gêne pas. Sans sa vie sentimentale je ne serais pas là. Le sexe est une activité naturelle et saine
-C'est vrai, tu as d'autre parents ?
-Le criques est ma seule famille
-D'accord... merci en tout cas Jerome, nous nous te préviendrons de l'avancer de l'enquête dès que nous avons du nouveau
-D'accord
-A bientôt
-A bientôt commissaire Gordon
Nous nous serrons la main, quand nos peau se touchèrent, un frisson me parcouru de tout en part, le long de mon échine, passant par le bous de mes orteils et de mes doigts, nos regard se croisèrent, dans ses yeux brillait une certaine tendresse, il avait de magnifiques yeux d'un ver émeraude des plus envoûtant et une peau aussi blanche que douce, nos mains était encore l'une dans l'autre, le temps était comme figer, nos regard ne pouvant pas s'arrêter de regarder l'autre, tout autour de nous, était comme du coton, nous étions juste tout les deux, plus rien n'était autour, nous étions juste nous.
Mais nous finissons par arrêter notre contacte visuel et on se lâcha, je sortis en premier de la pièce à grande vitesse pour aller à mon bureau alors que lui était plus tranquille, il avait son manteau sous Le Bras, il descendu les escaliers menant à la sortie plutôt lentement, enfilant ensuite son manteau avant de disparaître derrière les portes du commissariat. Un petit soupire passa la barrière de mes lèvres et mon regard se posa sur mon oncle qui me fit signe de le suivre, je me leva alors de ma chaise et le rejoint, nous entrons dans le bureau de la commissaire Essen.
-Donc vous avez lâcher un serpent ? Demanda la commissaire a qui plus tôt Jim lui avait expliquée l'affaire.
-Oui, confirma Jim
-Pour trouver le corps ? Demanda Essen
-Ils ont un odorat très développé, expliquais-je
-Tu me l'apprend Marie et vos suspects ce sont un clown et un acrobate
-Yep, conformons mon oncle et moi simultanément
-Du délire, cette affaire non ? Ria légèrement Harvey
Ensuite Edward accompagner de Lee arriva dans la pièce, Edward se mettant à côté de moi et Lee à côté de Jim.
-Votre victimes a été tuée avec un couteau ou une hachette à coups multiples à la tête et au buste, expliqua Edward
-Hier, vers 15 heure, compléta Lee
-De 14h30 à 16h15. Grayson et Lloyd étaient en représentation, remarquais-je
-L'heure de la mort est exacte ? Demanda la commissaire
-A 45 minutes près, répond Edward
-Ça reste possible, mais c'est serré. Cuisinez vos suspects mais cherchez d'autre pistes, nous dit Essen
-Bien commissaire
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