BONUS: le dépucelage d'une Macrâle (18+)
TRIGGER WARNINGS
Il s'agit d'un chapitre bonus, non destiné à faire officiellement partie de l'histoire qui contient néanmoins des scènes à caractère sexuel hautement explicites.
Si vous être mineur(e) ou particulièrement prude, vous pouvez encore fuir et passer immédiatement au chapitre suivant, vous ne raterez rien d'essentiel à l'histoire.
De toute façon, quoi que je dise, vous n'en ferez qu'à votre tête, bande de cochons...
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Le soir venu, nous nous retrouvâmes dans les combles au dessus d'une écurie. Il faisait chaud et moite. La puissante odeur dégagée par les chevaux ne m'incommodait pas. Au contraire, elle me remplissait d'un sentiment bestial. J'étais déterminée à aller jusqu'au bout des choses. C'était la première fois qu'il m'était donné de profiter de la vie et rien ne m'empêcherait de faire ce dont j'avais envie. Sans hésiter, je me défis de mes vêtements et laissai mes fesses nues reposer sur la paille sèche. Gaël en fit de même, mais beaucoup plus lentement, comme s'il n'était pas encore sûr de ce qu'il allait faire.
Je fus bien déçue et contrariée de constater que son membre ne ressemblait en rien à celui des étalons piaffant dans leur stalle. Ses genoux s'entrechoquaient, son sexe étrangement flasque et rétréci.
Je compris alors que l'arrogance et les bravades du jeune chevalier n'étaient qu'une façade. J'étais sa première fois. Jamais encore il n'avait connu l'amour. J'étais la première jument que le chevalier monterait jamais. Lorsqu'il s'approcha maladroitement, tremblant comme une feuille, je ne sus que faire. Fort heureusement, j'avisai le mors d'un cheval qui traînait opportunément là. Je le plaçai dans ma propre bouche et me mis à imiter le hennissement d'une jument en chaleur. Cette petite comédie fit rire Gaël aux éclats et eut le grand mérite d'enfin dresser son pénis, maintenant d'une taille plus qu'acceptable.
Toutefois, ce furent ses doigts fins qui vinrent pénétrer les premiers mon entrejambe. Je sentis un frisson me secouer tout le corps alors que mon sexe s'humidifiait. Gaël poussa ses doigts encore plus profondément si bien que je ne pus retenir un petit gémissement de plaisir. Je griffai le plancher du bout de mes ongles, totalement à la merci du chevalier Tecktonik.
Ensuite, ce fut au tour de son pénis de s'introduire en moi. Je ne sais pas combien de temps durèrent nos ébats. Pourtant, je fus déçue lorsque cela s'arrêta. Je n'étais guère satisfaite de la performance de Gaël. Il s'y était pris avec maladresse, me causant plus de douleurs que je n'en aurais voulu. Il n'en avait pas encore fini avec moi, cependant. J'ignore ce qui passa par la tête de cet imbécile lorsqu'il entreprit de m'allonger sur le ventre. J'eus beau protester, il ne m'écouta pas lorsque je lui interdis pourtant formellement d'essayer de me rénover ainsi l'arrière boutique. Devant son insistance, je n'eus d'autre choix que de me redresser d'un bond et de lui assener une violente gifle. Penaud, la joue écarlate, Gaël me regarda sans comprendre ce qu'il avait fait pour me mettre ainsi en fureur.
C'est alors que de son sexe encore roide, jaillit sans prévenir, un long jet chaud et blanchâtre qui m'aspergea copieusement le visage. Aveuglée, écœurée, je m'essuyai tant bien que mal avant de rhabiller en vitesse.
Ma première rencontre avec les choses de l'amour se solda donc par un lamentable échec, à mon grand désarroi, moi qui en avais pourtant espéré tout autre chose.
J'étais pourtant déterminée à retenter l'expérience aussi vite que possible, sûre que Gaël ne manquerait pas de s'améliorer lors de notre prochain essai...
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