Siegfried et Véronica s'en allaient pour aller chercher Tristan et enfin espérer former une famille. Tristan, se trouvait dans un village très loin d'Argentia, un village situé dans un autre royaume,Britania. Le trajet normal devrait leur prendre trois jours entiers, mais Siegfried pris Véronica dans ses bras et déploya ses puissantes ailes de dragons. En un rien de temps, il s'envola soulevant un immense nuage de fumée aux alentours.
Durant le trajet, Siegfried ne pipa pas un seul mot et en moins de trois heures, il atterit dans un district du royaume de Britania. Siegfried et Véronica passèrent pas la douane mais les douaniers exigèrent alors que Siegfried soit vêtu de manière plus digne, car en effet ses vêtements avaient été endommagés lors de son combat. Les douaniers lui offrèrent alors un veston pour qu'il puisse entrer dans la ville. Enfin à l'intérieur, Véronica pris la tête de la marche et allait chez des parents à elle qui vivait dans ce district.
Après une dizaine de minutes, elle frappa à la porte de la maison. Une vielle dame âgée d'une soixantaine d'années vint lui ouvrir. Elle lui adressa son hospitalité par un sourire et les fit entrer dans la maison.

Vielle dame : Comment a été votre voyage ?

Véronica (en regardant Siegfried d'un air amusé) : Très bref je devrai dire.

Vielle : Heureuse de le savoir. Mais puis-je savoir qui est ce charmant jeune homme?

Véronica : Excusez, ce jeune homme se nomme Siegfried...

Siegfried : Enchanté de faire votre connaissance...

Vielle dame : Appelez moi simplement Michelle... Mais de quel famille venez vous au fait?

Siegfried (d'un air lourd et très grave): PENDRAGON... Siegfried PENDRAGON.

Vielle dame ( d'un air tout à coup inquiète): Soyez donc...le bienvenu monsieur Pendragon.

Véronica (gênée et voulant en finir avec les formalités): Où se trouve Tristan...

Vielle dame : Je vais le chercher pour vous...

***Ellipse***

Véronica : Comment vas-tu mon chéri ?

Tristan : Soyez la bienvenue mère. Comment a été votre voyage?

Véronica : Intéressant. Tristan, je te présente Siegfried.

Tristan (d'un air à la fois heureux et hésitant): Mon... père...

Père et fils se plongèrent dans le regard l'un de l'autre sans dire un mot. Siegfried, s'approcha pour prendre son fils dans ses bras qui fut un peu réticent mais l'enlaissa à son tour.

Tristan : Je suis heureux de te voir pour la première fois. Mais sache que j'ai réellement souffert de ton absence et j'aurais du mal à te pardonner même si tu es enfin de retour,... Non tu te montres enfin après cinq ans d'absence.

Siegfried ( d'un air plutôt compréhensif): Je comprends ce que tu dois ressentir présentement. Mais si j'ai été absent, c'est uniquement un mauvais jeu du destin. Je ne devrai pas espérer grand chose mais je te demande seulement du temps pour mettre les choses en ordre.

Tristan ( d'un air farouche):Hum...

Véronica ( voulant rattraper le coup): Et si tu allais dehors avec ton père pour mieux faire connaissance.

Tristan : Comme bon vous plaira mère...

Siegfried : Parfait allons-y. J'ai des choses à te dire et vice-versa.

Tristan (un peu réticent) : D'accord... Père...

Les deux sortirent de la maison et marchaient un bon moment avant de s'asseoir dans un pré bondé de monde.
Tristan s'assoie sur un banc et son père le rejoint.

Siegfried : Tu as quel âge aujourd'hui ?

Tristan : 5 ans

Siegfried : C'est bien. Je dois te dire des choses sur ce qui s'est passée et se passera probablement.

Tristan : A propos de qui où de quoi?

Siegfried : Toi, plus précisément, sur ta lignée, celle des Pendragon et de notre destin probablement maudit.

Tristan : Tu commences par me faire peur. Raconte moi... père...

Siegfried : Ok... commençons par le commencement. Tout commence avec Fried, ton grand-père et l'un des chevaliers les plus puissants du royaume d'Argentia d'après moi. Un jour, il aida le roi dragon fafnir qui lui offrit un cadeau en échange. Celui d'apprendre au près de lui la magie. Après son entraînement, il maîtrisa Daraco, la magie des dragons. Mais par la suite, Loki, l'ancien premier chevalier complota derrière le roi avec des dragons maléfiques, qui furent tous exterminés par Fried. Durant ce combat, sa magie évolua en Ascalon, la magie tueuse de dragons....(Ellipse sur le reste de l'histoire)...

Tristan :C'est fantastique père. Grand-père était vraiment puissant et maintenant, je comprends pourquoi tu n'a pas pu être présent.

Siegfried : En tant que Pendragon, je vais te transmettre mon héritage qui m'a été transmis par ton grand-père également. Je vais t'enseigner Ascalon pour que toi aussi tu puisses l'enseigner à la future génération aussi.

Tristan : Pourquoi l'a transmettre uniquement aux Pendragon ? Pourquoi pas à toute personne s'en trouvant digne?

Siegfried : Tu n'as pas tort. Ce pouvoir est comme un fruit du hasard. Il doit y avoir un effet raison cachée à tout cela mais ce n'est pas le moment.

Tristan : Tu pourras me l'enseigner au plus vite?

Siegfried : Oui, mais pourquoi es-tu pressé?

Tristan : Au fait, il y a des garçons qui m'embête à l'école. Ils me raquèttent et me frappent et la.seule chose que je veux c'est me venger d'eux.

Siegfried : 😹 Ah bon, je peux bien régler ça d'un claquement de doigt...

Tristan : Tu vas m'aider alors?

Siegfried : Oui, mais vu ton âge je ne vais t'apprendre que les bases et avec le temps je t'apprendrai les techniques les plus puissantes. Mais pour ton histoire de camarades, j'ai la solution...

Tristan : Laquelle ?😮

Siegfried : Je vais t'entraîner au maniement de l'épée...

Tristan : Trop cool...😹je pourrais les pourfendre avec...

Siegfried : Mais c'est juste pour leur donner une petite leçon. Et vu que tu possèdes mes gènes, tu prendra peut de temps pour retenir mes enseignements.

Tristan : Commençons...

Siegfried : Allons dans un endroit plus calme...

Père et fils se leverènt et quittèrent le pré verdoyant et allèrent s'installer dans un endroit désert, une sorte de terrain vague...

Siegfried : Tristan, donne moi des deux bâtons qui jonchent au sol.

Tristan : D'accord.

Siegfried : Maintenant, garde bien le bâton comme ça,ta main doit rester vers l'extrémité, juste au bon millieu. Voilà, comme ça.
Maintenant, essaie de donner des coups de bâton devant toi comme si tu voulais piquer une chose.

Tristan : Comme ça ?

Siegfried : Oui, il s'agit d'un coup d'estoc afin de transpercer ou pénétrer la défense adverse.
Maintenant, fais des frappes verticales et horizontales.

Quelques essais plus tard...

Siegfried : Maintenant, que tu connais quelques coups, tu vas m'affronter...

Tristan : C'est de la folie !

Siegfried : Première règle dans un combat d'épée, si tu as peur de ton adversaire, le combat est perdu d'office. Soit entreprenant et audacieux.

Tristan : D'accord père...

Siegfried : Ok attaque moi.

Le petit garçon, chargea vers son père et essaya de le frapper, mais ce dernier para tous ses coups et le désarma.

Siegfried : C'est pas mal. Sauf que tu est trop prévisible...

Tristan : Ok je reprends...

Cette fois-ci, Tristan repartit à l'assaut et changea de posture d'attaque. Il gardait le bâton à deux mains, et se déplaçait de manière latérale avec une vitesse régulière et maîtrisée.
En le voyant, Siegfried, tiqua et le garçon en profita pour le désarmer.

Tristan : J'ai gagné...

Siegfried ( anxieux): Oui... Tu as gagné... Dis, tu avais déjà vu des chevaliers combattre ou as-tu déjà pris des coups d'escrime ?

Tristan : Non, jamais, c'est la première que j'essaie de manière une épée...

Siegfried (son air s'aggrava encore): C'est bon pour aujourd'hui, rentrons...

Tristan : Oui père, mère doit sûrement nous attendre.

Siegfried : Ok...

Après le repas, Siegfried sortit prendre l'air. Il se trouvait là où il entraînait son fils.

Siegfried (d'un air pensif): Tout ça semble bizarre. C'est impossible...non je pensais que tout avais disparu... mais on dirait bien que non... Avec le temps je finirai pas savoir le fond de cette histoire.
J'oubliais presque, le roi doit avoir besoin de moi. Je devrais écourter mon séjour ici et aller au près du roi et de Ken... D'ailleurs je sens que ses dieux lycans sont bien trop louches.