Tu sais plus le temps passé, plus j'avais du mal à te comprendre. Rien n'avait de sance avec toi. Tous comme ton humeur n'était pas la même du matin au soir, je ne saisissais jamais ce que je représenter réellement dans ton cœur. Un jour j'étais l'inconnue, puis l'invisible, l'étrangère, puis soudain, un rubis entourer de jolie fleure. Tu as été un vrais casse tête tu sais.

J'ai eu beaucoup de mal a saisir tes moments de douceur. Tes câlins inattendu. Tes petites attention chaleureuse dont je n'arrivais jamais a identifier la cause. Ton étrange changement de comportement. Tous ça, sa me terrifier. Étais-tu encore entrain de jouer avec moi ? 

Je suis tête en l'air, tu le sais pourtant. Je détestais tes moments d'ados frustrés. Quand tu n'avais pas de copine. Car je me rendais toujours compte de l'importance que j'avais, dans ses moments là. Tu savais me faire revenir vers toi telle un aimant.  Ce n'était pas amusant de te voir jouer avec moi comme ça.

Mais c'était agréable, quelque fois. J'avais vraiment l'impression de compter pour toi. Ton sourire. Toi. Je te voulais tous entier, avec tes défauts et tes qualités. mais tu sais...

Au bout d'un moment, sa s'arrête.  On arrête tous simplement. Parce qu'on ne souhait plus être comme ça. On ne souhait plus regarder la personne qu"on aime plus que tous au monde, ce comporter ainsi. La douleur est arriver tellement haut dans le ciel, qu'elle en a couvert les étoiles. Si bien, que dans mon monde a moi, elles avaient disparu.