compte a rebours.
PDV Ariana :
Je tritura nerveusement mes doigts, Sweetpea a mes côtés attendant que je prenne la parole. Je pris une grande inspiration pour me donner du courage et leva la tête pour planter mes Iris dans les siens. Il détailla attentivement mon visage a la recherche d'une réponse a ses questions, j'avais pu voir a nombreuses reprises qu'il était inquiet a mon égard.
Moi: Je...j'ai essayé de trouver un lien liant toutes les victimes de la cagoule noir...Puis j'ai reçu un appel.
Il prit ma main dans un geste protecteur et réconfortant, il caressa le dos de ma main avec son pouce. Je ne pu m'empêcher d'esquisser un sourire malgré cette situation désastreuse.
Sweetpea: Comment il aurait pû savoir ? T'es rideaux étaient fermé n'est-ce pas ?
Moi: oui ils l'étaient, il n'aurait de toute façon pas pû me voir du trotoir d'en face.
En effet mon lit était trop éloigné de la fenêtre pour que qui ce soit puisse me voir. Je fronça les sourcils et me lèva, je tourna plusieurs fois sur moi même avant de plisser les yeux. Mon regard s'arrêta immédiatement sur l'horloge accroché au dessus de mon bureau.
Sweetpea : Qu'est-ce qu'il y a...?
Je ne pris pas le temps de répondre et me mit debout sur ma chaise roulante, je me stabilisa du mieux que je pouvais et retira l'horloge du mur. Je descendis de ma chaise et ouvrit le cadrant de l'objet, une puce noire si petite que j'eu crû ne pas la voire se trouvait juste en dessous de l'aiguille principal. Je m'empare de la minuscule caméra et l'écrasa sous mon pied. Je ramassa les bouts et les jettas dans les toilettes, je tira la chasse d'eau et retourna dans la chambre.
Sweetpea : L'enfoiré ! Je vais le tuer !
Il se leva précipitamment et se dirigea vers la porte, je le prit par le bras et son regard emplie de haine et de rage s'accalmie quand il le posa sur ma personne. Je l'enlace délicatement et il mit de longues secondes avant de me rendre mon étreinte. Je posa ma tête contre son torse et sa main s'amusa a jouer avec mes cheveux. Je soupira d'aise et ferma les yeux, appréciant chaqu'une des secondes passée dans ses bras.
Moi: Je refuse que tu prenne des risques aussi stupides.
Sweetpea : Aucuns risques n'est stupides quand il s'agit de te protéger.
Moi: si, alors promets moi de ne pas t'en mêlé..... s'il-te-plaît.
Sweetpea : Je fais ce qui me semble juste....j'aide mon amie, alors désolé mais je peux rien te promettres.
Il embrassa le haut de mon crâne et se détacha lentement de moi. Je soupira et alla m'assoir sur mon lit, je croisa les jambes et réfléchis. Comment a t'il pu entrée ? Peu être est-ce quelqu'un de mon entourage.... quelqu'un a qui j'ai déjà adresser la parole. Peu m'importe, je dois trouver un moyen d'empêcher que cette événement se reproduise. Si il est entré une fois, il recommencera, et il en est hors de question. Je me leva et prit ma veste sur le dossier de ma chaise de bureau, je l'enfila et sortie de ma chambre, les bruits de pas claquant sur le plancher m'indiqua que Sweetpea me suivit. Je rejoignit ma mère au salon qui nous avez laissé seuls pour que nous puissions discuter librement. Je me posta face a elle et elle leva le nez de son bouquin pour poser son regard sur moi.
Maman: ça va mieux ma chérie ?
Moi: oui mais....faut que je te dise un truc....
Maman: je t'écoute.
Moi: je...j'ai pas était très honnête avec toi ces derniers temps.
Je m'assieds a ses côtés et prit sa main, Sweetpea me fit signe qu'il m'attendait dehors et il sortit. Je regarda ma mère dans les yeux, ses yeux reflété tellement d'inquiétude....Nous étions venues ici pour plus de tranquillité et j'allais lui annoncer qu'un homme inconnu me menacé de me tuer.
Moi: Quelqu'un c'est introduit dans la maison....Je ne sais pas quand il l'a fait mais je sais en revanche qu'il m'espionner...Cette après midi j'ai reçu un appel, La personne qui m'a appelé se faisait passer pour la cagoule noire mais...
Maman: quoi.... Quelqu'un t'espionner...? Comment...
Moi : Il avait cacher une micro caméra dans mon horloge...Je...Il a pu en cacher d'autres, dans la maison entière. S'il-te-plaît Maman je refuse que tu reste la...
Maman: Que je reste ? Qu'est-ce que sa veux dire...tu crois que je vais accepter que tu reste ici ?! Il en est hors de question, si il s'agit bien de ce psychopathe il te tueras !
Moi: Maman....
Maman: Non ! Tu va m'écouter, ces dernières semaines je te trouvais réservé et en retrait. Je te suffisamment laisser faire tes propres choix sans même te donner de restrictions, mais là tu va beaucoup trop loin ! Tu vois pas que tu risque ta vie ?
Je baissa la tête, et regarda le sol. Je n'avais pas la force de lui annoncer que peu être je mourrerais sans les prochaines semaines...peu être même les prochains jours. je ne sais pas combien de temps je reste la a fixé le plancher. Mais je n'entendis pas réellement ce qu'elle me dit, seulement des brides de conversation, le reste me parvient très floue.
Ce fut a l'instant où elle posa sa main sur mon épaule que je réagis, je leva la tête et la regarda. Elle était inquiète et en colère...en colère contre moi ? Je n'en savais rien, je n'avais pas écouté un seul mot de ce qu'elle m'avais dit. Elle se leva et alla dans ma chambre, je me leva instactivement et la suivit.
Elle prit une des valises que j'avais a l'aménagement et l'ouvrit. Elle alla fouiller dans mon armoire et fourra toutes sortes de vêtements dans la valise. Je la regarda faire, incrédule, alors qu'elle s'apretta a continué dans sa lancé je l'arrêta. Je me mit face a elle et ma main s'enroula autour de son bras.
Moi: Qu'est-ce que tu fais....?
Maman: Je resterais ici pendant que toi tu iras chez une de tes amie en attendant que toute cette affaire sois résolu.
Moi: je vais pas te laisser seule !
Maman: Cette maison seras envahit par les agents de police d'ici demain. Je ne serais pas seule et encore moins sans protection, tu iras chez une de tes amies, je sais que ça ne te plaît pas mais....J'ai déjà perdu ton père. Je ne veux pas prendre le risque de te perdre toi.
Je baissa le regard, il est vraie que je n'avais pas vraiment penser a ça. A quel point ma mère serait anéantit si il m'arrivait quelque chose. Je pensais juste au fait de résoudre tout ces meurtres et pouvoir enfin vivre ma petite vie tranquille. Mais j'en avais oublié mes priorités, je devais prendre soins de ma mère et moi. Et au lieu de ça, j'ai mèné le tueur jusqu'à nous.
Je lâcha son bras, et l'aida a terminé ma valise. Quand ce fut fait, je m'assieds sur mon lit et ma mère fit de même, je sorti mon téléphone et appela Betty. Elle et ses parents acceptent sans aucunes hésitations a m'héberger pour les prochains jours. Je les remercia et raccrocha, je me redresse et regarde ma mère. Elle n'osa pas me regardé, et je pû deviner qu'à cette instant, les remords l'envahissent. Je la prit dans mes bras et posa ma tête sur son épaule, je crû au début qu'elle ne répondrait pas a mon étreinte, mais elle le fit quelques minutes plus tard.
Moi: Je comprends...Je ne t'en veux pas.
Maman: Je sais....mais je ne peux pas m'empêcher d'avoir peur pour toi et peu être que je t'expose encore plus en danger en te faisant aller autres part...
Moi: Tu a fais le bon choix Maman.
Je me détacha doucement d'elle et me lève, je prit ma valise ainsi que mon sac de cours, je prit mon téléphone et le mit dans ma poche. Je la regarda et lui fit signe de venir, je descendis et sorti. Je fut étonné de constaté que Sweetpea était encore la, a m'attendre.
Je m'approcha de lui et lui fit un faible sourire, tandis qu'il fronça les sourcils en voyant mes sacs.
Sweetpea : C'est quoi tout ça ?
Moi: Et bien...je vais aller habiter chez Betty quelques temps. Ma mère ne veux pas que je reste ici.
Sweetpea : C'est normal, elle s'inquiète beaucoup pour toi.
Moi: Justement, J'aimerais qu'elle puisse voir que... Que je peux m'en sortir toute seule. Et que je n'es pas toujours besoin de son aide.
Il sourit et prit mon téléphone dans la poche avant de mon Jean, je gromelle mais le laissa faire. Il l'alluma et pianota je ne sais quoi dessus, puis il me le rendit. Je regarda l'écran et vit un nouveau numéro de téléphone enregistrer sous le nom de " Le plus beau". Je ricane et le regarda, un sourcil lever.
Moi: Sérieusement ?
Sweetpea : quoi ?! Tu peux peu être t'en sortir sans ta mère mais certainement pas sans ton beau-goss préfèré !
Moi: oh tu parle de Jughead ?
Il grogna légèrement et me plaqua contre son torse, je laissa un léger cri de Surprise s'échapper d'entre mes lèvres, lui arrachant un sourire moqueur. Il remit une mèche de cheveux derrière mon oreille et je daigna enfin lever les yeux sur son visage. Nous étions proches....si proches que je sentis son souffle chaud s'écrasé contre mes lèvres. Je planta mes Iris dans les siens et avança lentement ma tête vers la sienne. Nos lèvres n'était qu'à quelques centimètres l'une de l'autre.
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