Partie sans titre 66
SHERLOCK(ses pensé)
Je vois ce magnifique paysage, si John était là, il aurait apprécié mais il n'était pas là
ACTE2, SCENE2
JOHN : On va traverser la suisse, puis allé vers Malte, là-bas ils pourront vous sauver grâce à un procédé mais s'en est encore au stade expérimental, je que vous le sachiez
Mycroft : Je...Je ...v...fait confiance
John regarde tristement le paysage fleurie et verdoyant si et pourtant si triste, une larme coule de ses yeux mycroft le regarde
Mycroft : Pourquoi pleurez vous pour quelqu'un que vous ne supportez pas
John : J'aurais aimé que cela ne vous arrive pas à vous Greg était en fin heureux, je me rappelle quand j'étais votre témoin, il étais si impatient que j'ai du le retenir, il pleurait de joie , il m'a confier qu'il ne supporterait pas si vous dite non, je lui est dit que c'était complétement idiot et que bien que vous soyez intelligent ,que jamais vous ne feriez sa car vous aurez besoin de lui , mais j'avais tort, maintenant vous allez peut-être mourir et moi je reviendrais Sherlock me quitterai car je n'ai pas pus vous sauvez, je pleure parce que jamais je ne pourrais être heureux sans en payer le prix fort. Tient-on est arrivé. Pourquoi faut-il que la vis s'acharne sur nous
Mycroft le regarde veut dire quelque chose fait une grimace et pleure
ACTE3, SCENE1
Sherlock : Dépêchez on va rater le train
Gregory : Je me dépêche
Sherlock se retourne et porte Gregory
Gregory : Que faite vous
Sherlock : Je vous porte vous êtes lourd
Gregory : Avez-vous pensez à la bien séance
Sherlock : Au diable la bien séance John et Mycroft sont peut-être en danger
Mycroft(ses pensé)
Être, ou ne pas être, c'est là la question. Y a-t-il plus de noblesse d'âme à subir la fronde et les flèches de la fortune outrageante, ou bien à s'armer contre une mer de douleurs et à l'arrêter par une révolte ? Mourir., dormir, rien de plus... et dire que par ce sommeil nous mettons fin aux maux du cœur et aux mille tortures naturelles qui sont le legs de la chair : c'est là un dénouement qu'on doit souhaiter avec ferveur. Mourir., dormir, dormir ! peut-être rêver! Oui, là est l'embarras. Car quels rêves peut-il nous venir dans ce sommeil de la mort, quand nous sommes débarrassés de l'étreinte de cette vie ? Voilà qui doit nous arrêter. C'est cette réflexion-là qui nous vaut la calamité d'une si longue existence. Qui, en effet, voudrait supporter les flagellations et les dédains du monde, l'injure de l'oppresseur, l'humiliation de la pauvreté, les angoisses de l'amour méprisé, les lenteurs de la loi, l'insolence du pouvoir, et les rebuffades que le mérite résigné reçoit d'hommes indignes, s'il pouvait en être quitte avec un simple poinçon? Qui voudrait porter ces fardeaux, grogner et suer sous une vie accablante, si la crainte de quelque chose après la mort, de cette région inexplorée, d'où nul voyageur ne revient, ne troublait la volonté, et ne nous faisait supporter les maux que nous avons par peur de nous lancer dans ceux que nous ne connaissons pas ? Ainsi la conscience fait de nous tous des lâches ; ainsi les couleurs natives de la résolution blêmissent sous les pâles reflets de la pensée ; ainsi les entreprises les plus énergiques et les plus importantes se détournent de leur cours, à cette idée, et perdent le nom d'action... Doucement, maintenant ! Voici le beau Gregory... apollon, dans tes oraisons souviens-toi de tous mes péchés.
mes meilleur image
(trop sexy dedans)
(domage que ce ne soit pas John)
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