mystrade dark dreams

soudain, la scène s'efface, la dernière image que j'entre aperçoit, est le couteau face au poitrail de l'homme au couteau.

Je me réveil en sursaut, mon cœur s'emballe, j'ai de la sueur froide en repensant à ce que j'ai vue, je pleure, une main se pose sur mon épaule , je sursautes, je me retourne c'est toi, Mycroft, je n'ai rien à craindre, tu essuie mes larmes, je vois bien que tu est inquiet, je me réveil chaque nuit en sueur, avant ce n'était que des petit flashe, une petite frayeur, mais depuis que je t'aime, mes cauchemars son devenus de plus en plus violent, se serait me mentir si je me disais que je n'avais pas pensé à te quitter, mais l'amour rend aveugle alors j'ai préféré perdre la vue que perdre mon cœur.

John est au Canada avec Sherlock, avant c'était lui qui me fournissait des somnifères et m'aidait, je pouvais lui parler de mes cauchemars il me rassurait, mais maintenant je suis seul, chaque soir, chaque jours je demande à se que l'on enlève les couteaux et lame de rasoir, si bien que je ne sort plus toute chose tranchante me rend fou, Mycroft à peur je le vois, il s'approche de moi « Qui a t'il mon amour ? Tu es bizarre que t'arrive-t-il ? Tu sais tu peux me le dire si quelqu'un te menace

-Personne ne me menace Si l'homme au couteau, il me rend fou mais tu ne peux m'aider Il ne m'arrive rien, je vais bien J'ai peur, il est en train de me rendre fou, je t'en supplie je veux que tu ne me croies pas, je veux que tu insiste

-Tu mens dis-moi la vérité

-Rendors toi »

Je me réveil, c'est décider « Je dois t'avouer...

-Dit

- Il était debout, il marchait, il titubait tel un zombie, il avait dans sa main rouge, écarlate, un couteau autrefois brillant, éclatantes, remplie de promesse de mort, mais maintenant tâcher du sang d'un homme, de quel homme celui du tueur ou celui du tuer, les yeux brillant de l'homme au couteau se rapproche, ses yeux brillant de folie, son visage d'un autre temps, son visage qui représentais l'amour de l'homme agenouillé offrant une scène digne de Molière ou même de Michel ange, je vois enfin son visage, non pas se vissage, non, soudain, la scène s'efface, la dernière image que j'entre aperçoit, est le couteau face au poitrail de Mycroft, l'homme au couteau est Mycroft Cela m'a rendu fou

-Je t'aime, jamais je ne te tuerais, je te le promets

-Merci »

Le cauchemar s'estompa avec la nuit de soupire et de pur plaisir, ou je vis le septième ciel sous son plus simple appareil.

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