mystrade
Maintenant tâcher du sang d'un homme, de quel homme ? Celui du tueur ou celui du tuer.
Les yeux brillants de l'homme au couteau se rapproche, ses pupilles brillants de folie, son facies d'un autre temps.
Son visage représentais l'Amour de l'homme qui était agenouillé. Offrant un tableau digne de Molière ou même de Michel ange.
Soudain, la scène s'efface, la dernière image que j'entraperçoit, est l'arme blanche face au poitrail de l'homme qui la tenait.
Je me réveil en sursaut, mon cœur s'emballe. J'ai de la sueur froide en repensant à ce que j'ai vue. Je pleure, une main se pose sur mon épaule. Je sursautes, je me retourne. C'est toi, Mycroft. Je n'ai rien à craindre, tu essuie mes larmes. Je vois bien que tu es inquiet, je me réveil chaque nuit en sueur. Avant, ce n'était que des petits flashes. Une petite frayeur, mais depuis que je t'aime. Mes cauchemars sont devenus de plus en plus violent. Se serait me mentir si je me disais que je n'avais pas pensé à te quitter, mais l'amour rend aveugle alors j'ai préféré perdre la vue que perdre mon cœur.
John est au Canada avec Sherlock, avant c'était lui qui me fournissait des somnifères et m'aidait. Je pouvais lui parler de mes cauchemars, il me rassurait, mais maintenant je suis seul, chaque soir, chaque jour. Je demande à ce que l'on enlève les couteaux et lames de rasoir, si bien que je ne sors plus toute chose tranchante me rend fou.
Mycroft à peur je le vois, il s'approche de moi :
« Qui a t'il mon amour ? Tu es bizarre que t'arrive-t-il ? Tu sais tu peux me le dire si quelqu'un te menace
-Personne ne me menace Si l'homme au couteau, il me rend fou mais tu ne peux m'aider. Il ne m'arrive rien, je vais bien. J'ai peur, il est en train de me rendre fou, je t'en supplie je veux que tu ne me croies pas, je veux que tu insiste
-Tu mens dis-moi la vérité
-Rendors toi »
Il était debout, il marchait, il titubait tel un zombie, il avait dans sa main rouge, écarlate, un couteau autrefois brillant, éclatant, remplie de promesse de mort.
Maintenant tâcher du sang d'un homme, de quel homme ? Celui du tueur ou celui du tuer.
Les yeux brillants de l'homme au couteau se rapproche, ses pupilles brillants de folie, son facies d'un autre temps.
Son visage représentais l'Amour de l'homme qui était agenouillé. Offrant un tableau digne de Molière ou même de Michel ange.
Soudain, la scène s'efface, la dernière image que j'entraperçoit, est l'arme blanche face au poitrail de Mycroft
Je me réveil, c'est décider ! Je ne peux pas, je ne peux plus, c'est la goutte de trop :
« Je dois t'avouer...
-Dit m'ordonne Mycroft
- Dans mon cauchemar il y a un homme Il est debout, il marche, je dirais qu'il titube tel une goule, il a dans sa main luisant de sang, un couteau. Je ne sais pas si c'est le siens ou celui de quelqu'un d'autre...
Il a les yeux d'emplie de rage, son visage semble être d'un autre temps. Aujourd'hui j'ai enfin vue son visage. Avant qu'il ne s'efface. L'homme qui tenait le couteau c'est toi...
-Je t'aime, jamais je ne te tuerais, je te le promets me dit mycroft avec sa voix la plus douce
-Merci »
Le cauchemar s'estompa avec la nuit de soupire et de pur plaisir, ou je vis le septième ciel sous son plus simple appareil.
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