moran poeme
Je voudrait tellement que tu me regarde comme tu l’observe
Je souhaiterais tellement être plus que ton pion
J’aimerais tellement que tu parles de moi comme tu parles de lui avec autant de verve
J’aimerais être plus que ce moustique qui brule autour du lampion
Mais tu es la a me parler de lui avec amours, que tes brille pour lui me faisant devenir envieux
Mais tu es la a me poignarder de mépris
Tes mots autrefois tendre et sarcastique sont devenus froid et mielleux
Je voudrais être pour toi autre chose qu’un acquis et un prix
Is the dress too much you said. Avant tu te fichais de cela
I want to say, I hate this dress. Avant tu m’aurais embrassé
Does it make me look fat. Tu es tellement splendide, tout est si beau quand tu es la
It’s a bit theatrical. C’est ce que tu es, tu n’es pas un être sensé
J’aimerais tellement que tu me regarde
Que tu vois le mal que tu me fais.
Mais tu ne le fait pas, je me contente d’être cette nuit ton simple garde
Je te laisse à ton rendez vous
Un mot aux coins du feux, t’attend
Lorsque que tu le liras, le choix sera inévitable
Je t’attendrais des milliers de nuit s’il le faut
Mais nous savons que seul le corps t’attendra
L’esprit sera loin et plus jamais ton tigre sera près de toi
Tu auras beau tout faire je serai une coquille vide.
Alors viendras tu ?
Tu n’est pas venus.
Pourquoi j’espérais ?
Le bruit de course, s’élève dans le silence fait de larme et de cassure
Une main brule ma joue, une douleur aussi bien humiliante que salvatrice me traverse
Finalement tu m’as choisi mon diable.
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