Dans ce monde chacun à un clone qui le protège, c'est un lien entre les âmes sœur si l'original meure le clone aussi et s'il est lié par un humain celui-ci aussi meure, si le clone meure et que l'original n'est pas lié alors cela laissera un grand vide dans le cœur de l'humain.

Moi John Watson je l'ai perdu dans la guerre sans lui je serai mort, quand je vois ses gens avec leur clone, je me sens seul, je les regarde avec mépris, je ne suis qu'un homme sans clone, je sens un froid dans mon cœur, je revois chaque soir ça mort, un ancien de l'armé, un parjure, à tirer vers moi j'aurais du mourir là-bas et Johny comme il s'aimait s'appeler à placer son corps en bouclier

Promets-moi que tu seras heureux, tu le mérite John, je resterais près de toi je serais cette foutus voix que tu n'écoute jamais que l'on appelle conscience, ne pleure pas, je t'en prie ne pleure pas »

Aujourd'hui, je suis au laboratoire de saint Barth, je n'ai pas dit à Mike que mon clone est mort je lui ai dit qu'il est malade, mais quand je l'ai vue lui et son clone, cet homme aux cheveux noir bouclé, bon dieu j'ai envie de plonger mes mains dans ces foutus boucle, j'ai envie de serré son corps dans mes bras l'embrassé, et de... Bordel c'est Johny qu'étais gay, moi je ne le suis pas.

« Vous l'avez perdu en Afghanistan ou en Irak

-Pardon, comment ? » Il part et en partant il me donne l'adresse de l'appartement ou je compte être le colocataire.

Beaucoup de temps son passé quand ... « Tu l'as perdu où, et comment ?

-Je l'ai perdu parce qu'il m'a protégé, et c'était en Afganisant, j'aurais aimé le remercié

-Pourquoi ?

-Sans lui je n'aurais pas connu... » Il s'approche de moi, son clone est derrière moi, il m'embrasse, je lui répond, et son clone met ses main sur ma verge déjà bien dressé, je me retrouve dans son lit, son clone est sous moi, et l'original est au-dessus, l'original me lèche mes tétons tandis que l'autre me prend en bouche, ô l'ange, toute ses sensation me font perdre la tête, je m'arque, je sens celui en dessous mettre ses doigt en moi et celui au-dessus me fais des suçons, il retire ses doigts et il me pénètres je le sens physiquement se plonge en moi, je le sens dans mon sens et allé dans mon cœur, d'un coup je sens Sherlock me donné des coup de reins qui atteint sans problème ma prostate, deux heure peut être plus peut-être moins et je jouis en lui et lui en moi.

C'est ainsi que l'on devint petit à petit mon mari, je suis

JOHN WATSON HOLMES et SHERLOCK HOLMES WATSON

« Comment s'appelait ton clone Sherlock

-Sheza, et le tiens ?

-Johny

-Au c'est pour ça que tu voulais assassiner Moriaty

-Oui c'est la minorité l'autre c'est que je n'aimais pas qu'il te tourne autour

-Il n'y auras que toi

-Il y à intérêt, je ne laisserais pas un ange noir dans un monde de diable

-Et moi je ne laisserai pas ma lumière à d'autre »