L'aube de par son câlin frais et sa glorieuse beauté

M'entoure de son charme.

Et cette vie, comme toute fatalité,

Pointe vers mon cœur la dernière arme.

Je le vois dans sons regard, ô grands feux,

Que vos espoirs,

Naissent d'un soir,

Et emportent mille âmes aux cieux.

La câlin de l'aube, ou la luxure de l'aurore.

La câlin de l'aube, ou la voix d'un corbeau.

La câlin de l'aube, ou l'étreinte de corps beaux.

La câlin de l'aube, ou le regard d'une âme qui dort.

Plongé dans un éternel sommeil,

Qui le voudrait voir se réveiller ?

Ô mon Amour, ma Merveille,

Voudrais-tu sur la détente, appuyer ?