"Sentiments Éphémères" partie 2.
Les nuages défilent dans le ciel,
Comme son visage défile dans mon cœur,
Éloignant un peu plus mon âme du quotidien des rancœurs,
La sortant dévorée du vil et infernal fiel.
Je respire, dans mon sommeil, ce délicieux parfum,
Mon âme, mon corps, mon cœur sont en fusion,
Au profit du goût brûlant des passions.
Oui ... ce parfum ... serait-ce, ô Merveilleuse, le tien ?
Il m'est si magnifique de dire : « ô j'en conviens ! ».
Ô grand parfum, emporte-moi entier,
Par delà les chemins, par delà les sentiers,
Avec elle et son parfum, l'envie de partir, me vient.
Dans mon sommeil éternel,
Je vois pourtant ces deux yeux
Si Bleus me regardant de leurs plus étincelants feux,
Inspirant en moi les passions les plus charnelles.
Ô ses yeux ... émanant des Mondes Poétiques,
Depuis que je les ai vus, ô depuis que je l'ai vue,
Je ne peux que contempler mon âme dépourvue
Des passions les plus idylliques.
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