"Méditations"

Approche, ô tendre Amour,

Que tu es belle, depuis toujours.

Ô rêverie, je te vois là,

Partout, ici, près de moi.


Tendre Rêves, approchez, monarques,

Et tendez donc fièrement l'arc,

Tirez donc, et le bonheur naît dans la passion.

Telle est ma méditation.


Je vois ton doux visage,

Partout, dans tous les recoins sages

Où les âmes se croisent, n'est-ce pas ?

Mais celles-ci ne s'aiment pas.


Ô Méditations !

Ô Rêverie !

Ô Malédiction !

Ô Sournoiserie !

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