"Les Portes de Demain"
L'indétrônable Puissant fusionnait avec l'horizon,
Et la pure lumière disparaissait, laissant un ciel vermeil,
Au-delà des dunes d'un sable infini, elle nous ferait perdre raison,
Tant il ne s'agissait pas d'un rêve, mais d'une merveille.
Oui, c'est elle qui, à perte de vue, embellissait le décor.
De par ses formes surprenantes d'émotion et de fascination.
Si belle dans cette étreinte de feux et d'or.
Telle était la cruauté d'un monde sans vie, sans nation.
La scène troublait l'œil d'un spectateur novice.
On ne voyait rien de lui, homme ; machine ?
Qu'en savait-on ... plus de traits, ni d'éthique dominatrice.
Plus de pas, d'esprit, de cœur ni d'échine.
Peu importe ce qu'il eut été.
Lui naguère mû par des passions fortes,
Mais en ce doux et calme soir d'été,
L'esprit valétudinaire, troublait une âme passablement morte.
Cette carte était magnifique,
Un crépuscule des plus délicieux,
Où naquirent ces bannières idylliques.
Les Feux de mille dieux enlaçaient les cieux.
Le spectateur hagard ne connût guère son brillant avenir.
« Nous sommes tous les héros de notre monde ».
Scandait-il à son esprit en quête de devenir,
Celui, de l'Homme et de sa Terre dans la fronde.
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