"Les Pluies de Sang, Ou le Retour du Mal"
Le temps est lourd.
Les noirs nuages s'attaquent à la pureté,
Et semblent pour l'éternité,
Rendre les Homme toujours plus sourds.
La vie bercée par le langoureux destin,
Calme, dans de tendres rêves est plongée.
Alors que viennent ces noires âmes damnées
A l'infernal dessein.
Elles envahissent peu à peu,
Pas à pas ...,
Jusqu'au trépas,
Du pur et merveilleux ciel bleu.
Le vent du mal souffle.
L'air devient irrespirable,
La douleur, insupportable.
A mesure que nos poumons s'essoufflent.
Le ciel s'obscurcit toujours plus,
Les mères s'enfuient avec leurs filles et fils,
De ce monde, sans hybris.
Et le mal nous envahit toujours plus.
Elles envahissent peu à peu,
Pas à pas ...,
Jusqu'au trépas,
Du pur et merveilleux ciel bleu
Et depuis les nuages, chutent
Avec frénésie d'étranges gouttes,
Qui en moi sèment le doute.
Non, je ne puis croire, ce qui nous percute.
Il pleut, fut-ce si évident !
Mais ce que nous vîmes,
Nous fit plonger dans l'abîme,
Nous étions impuissants.
Il pleuvait toujours,
Elles continuaient de tomber,
Les Hommes se cachaient, effrayés.
Impuissants, devenus sourds.
Les larmes de sang,
S'abattaient sur le monde entier,
Elles voulaient venir à bout de l'humanité,
De la terre et du vivant.
Il pleut, fut-ce si évident !
Mais ce que nous vîmes,
Nous fit plonger dans l'abîme,
Nous étions impuissants devant les pluies de sang.
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