Dans le ciel profond et vaste,

Des yeux cette merveilleuse créature chaste,

Est né la passion d'un regard,

Ou pour son cœur, un nouveau départ.

Dans l'océan d'azur de ses yeux,

Mon amour se noie dans un silence pieux.

Pourtant je la vois, elle se mordille la lèvre,

Provoquant en moi, la brûlante fièvre.

La passion en moi, est aussi née.

Ma respiration semble s'être arrêtée,

Non, serait-ce pour mieux entendre la sienne ? 

Alors que le destin me contrôle maintenant et vient mettre sa main, dans la mienne.

Ô incorrigible destin, que m'as-tu donc fait faire ?

Veux-tu voir mon âme envoyée en enfer ?

As-tu donc raison,

De provoquer dans mon regard, ce vil blason ?

Ô Merveille,

Je vois la Fille de Vénus qui dans mon cœur se réveille.

Ce ne fut nul rêve alors,

Ô que la vie est d'or !

J'entends donc le son de sa voix,

Résonner à mon tympan, ses mots si sublimes le sont pour moi.

Ô quelle voix merveilleuse,

Que celle de la Fille de Vénus, la voix ... d'une morte amoureuse.