"La Douleur"

Infâme solitude, pars !

Laisse mon âme tranquille et reposée,

Retire de mon coeur, ton vil dard !

Ô, âme, comme tu es apaisée !


Et le sang coule ...

La plaie ne cicatrise guère,

Et le temps s'écoule ...

Et ainsi survient l'infernale guerre.


Immonde Douleur, tu es partout,

Messaline, tu conquiert nos pires dégoûts,

Et tel un pauvre diable sans pudeur,


Tu suscites en nous la plus mauvaise rancoeur,

Ô scélérate, quel infâme cri lorsque que tu embroches

Mon coeur, comme tu brises une roche.

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