Indice si vous voulez trouver cette musique : John Newman

Je joue de plus en plus du piano

Comme une bataille intérieure

Sans effusion de sang

Sans ma commune souffrance

Sans douloureuse transe

Je peux à nouveau courir

Je la sens... Je la ressens

Encore et encore

Je ne peux la voir

Je ne peux l'entendre

Mais ce centre

Qui tournait hier

A la vitesse de la lumière

Elle a repris son contrôle

Le guérison de mon rôle

Amitié ?

Amour ?

Elle ne sait pas

J'arrive à penser !

A voir une vrai solution

Disons plusieurs

Mais elles mettront du temps à se mettre

Durant ces heures crépusculaires

Je ne devrais pas douter

Ni faiblir

Que penser à

La patience

Et ma longueur de temps

Bien qu'elle ait détruit

Ma façon de voir à la longue

Elle ne l'a pas éradiqué

Elle est restée

Là où elle était née

Alors elle recommence à s'épanouir

Comme ma tristesse

Quand je m'imagine m'évanouir

Quand elle ne répond pas et fait grandir mes faiblesses

J'ai été un salaud

Je ne suis pas

Un monstre

Je ne suis pas le mec rigolard

Qui te fait sourire en ces soirs

Je ne suis pas le mec qui partira

A Chypre avec toi... Ce départ

Comme le mien me terrorise

Mais qui suis-je encore ?

Celui qui va garder le plus longtemps l'espoir

Que ce soit moi qui fait briller ton regard

Je rêve nos retrouvailles

Nos retrouvailles pleine d'espoir

Nos discussions hilares

Et non ma tête ayant le cafard

Il n'y a à ce moment

Aucune colère incandescente

Aucune flamme sur le bois brulant

Aucune douleur dans mon cœur d'adolescent  

Alors oui ! Je ne suis pas tout

Je ne suis pas très doué avec les filles

Mais il se trouve que s'est un atout

Car je ressens d'autant plus ce qui en moi pétille

Ce plein de sentiments

Mais pas uniquement

Il y a aussi cet arrière goût

Qui met quand je suis en compagnie de ce tocard

Ce coup de poignard

Qui me transperce et détruit mon humanité floue

Alors je ne le verrais plus en ta compagnie

C'est fini

Je ne veux plus souffrir

Si c'est moi qui te manque

Si c'est mon prénom que tu écris la journée

Et mon visage que tu rêve la nuit

Tu sauras me revoir

Et ton cœur saura voir

Mes émotions à ton égard

Qui ne sont dirigés que vers toi, mon phare

Je ne suis pas normal

Ni très différent d'ailleurs

J'ai juste cette particularité

Que tu as remarqué

Qui t'as fait vibrer

Et qui a fait que tu m'as aimé

Maintenant tu poses ton raisonnement

Tu as le droit à ce questionnement

Je pense qu'avec moi, la question de logique

Est une remarque qui se pratique

Alors je patienterais...

Encore et encore

Jusqu'à ce que tu me revoies

Que mes sentiments deviennent bizarre

Que mon cœur devienne dérisoire

A tes yeux

Et que ce soit un autre qui possède ton cœur amoureux

Et aujourd'hui

La flamme

Qui flambait sur cette bougie

La lueur de mon existence

C'est embrasé à nouveau

Son incandescente chaleur

A réchauffé mon amour glacé

Refroidi par des questions... par de la peur

Et Xerty, le phénix de mon être, s'est calmé