Il y a de cela quelques heures...

J'ai rassuré Charline sur mes pensées... suicidaires

En lui disant que je ne pourrais pas

Car il existe en moi, encore, cette partie

Qui fait ce que je suis

Un être humain

C'est juste que...

Elle est tellement embourbé sous les kilomètres de douleur,

Se crainte, de souffrance et de peur

Qu'elle semblait, à tout jamais imperceptible

Mais il ce trouve

Que parler devant moi

Avec toutes les considérations nécessaires

A ma raison de vivre sur Terre

Ma raison de me battre

Ma raison de travailler

Ma raison d'aimer...

Je dois reconnaître que...

Aimer n'est pas une chose facile chez moi

Il se rapprocherait sans problème d'un morceau d'uranium

Mais si je polis, ce caillou

Que cette pierre, renferme derrière la distance rocheuse, un bijou

Ce pourrait-il... Que je sois assez fort

Que dans mes visions, ces lèvres embrassent

Ce garçon qui est plein d'audace

De charme, dit-elle

Je ne puis détruire ce que je ressens

Mais en les acceptant

D'une manière ou d'une autre

Puis-je devenir

Ce Will

Dans ton livre

Ce personnage

Une parfaite image

De la négation

Pour reposer

Dans son sommeil profond

Puis je rêver

Seul dans mon esprit

A un futur banni

Par les semaines passés

A oppressé

A être un monstre

Je ne me décrasserais jamais

Du sang que j'ai sur les mains

Mon seul désir...

Désormais

Et d'être un homme amoureux

Dans le dos de cet être

Pour ne pas la déranger

Pour que ce garçon si beau, dit-elle

Puisse pénétrer dans son coeur

Qu'il puisse accepter Velaia

Et moi, aller vers une autre personne

Qui ? Me demander vous ?

Pas avec une fille, aurait pu dire celle ci

Mais à ceci je répondis

Si la Mort avais un apparence de femme, alors oui