C'était inattendu
Je laisse Luly dans l'écurie que Antoni m'avait montrée. J'essaie de le rassurer en lui caressa la tête. Je lui murmure que ça va aller et que je ne risque rien. Même si je ne fais absolument pas confiance à Antoni je me dis que c'est sûrement le meilleur moyen d'avoir à manger et des vêtements. Je reste sur mes garde en entrant dans la maison. Une maison qui n'est pas très loin de la ville. Elle est belle cette maison en plus il a une écurie avec plein de chevaux. Ça me fait penser à ma ferme. En montant les marches de l'entrée de la maison je le voit au pas de la porte souriant. Il m'invite à rentrer.
- La douche est au premier, première porte à droite tu trouveras ce qu'il te faut pour te débarbouiller et prendre une douche. Je t'apporte des vêtements. Ma femme ne devrait pas tarder elle au travail.
Je ne fais que hocher la tête et monte les marches de l'escalier doucement regardant tout autour de moi. Je rentre dans la salle de bain et me regarde dans le miroir. J'eus un mouvement de recul en voyant mon reflet. Mes cheveux noirs sont terriblement gras, mes yeux bruns on des cernes énormes. Mon visage et légèrement écorché. Et j'ai de la boue incruster sur mes oreilles. Antoni toque à la porte et je lui ouvre il me tend des vêtements. Je le remercie et lui ferme la porte au nez. Je ferme à clef allume l'eau chaude et me déshabille. Je vais prendre un bain. Je ne me sens pas assez bien pour une simple douche. Je m'allonge dans l'eau chaude et parfumé à la vanille. J'inspire et commence à me frotter. Le savon m'arrache des grimaces tandis qu'il passe sur mes égratignures. Je profite de ce moment et sort du bain je m'habille et me regarde dans le miroir. Les cheveux mouillés Je me sens bien plus fraîche et dispo maintenant. Je regarde dans les placards et trouve des pansements que je mes sur les plus grosses égratignures. Et je sorti de la salle de bain une bonne odeur m'effleura le nez. Ainsi, mon ventre grogna de faim. Avec tout cela je ne me rendais pas compte de ma faim. Apres 2 jours sans manger j'ai l'impression de pouvoir manger n'importe quoi. Mais la grâce à l'odeur j'ai pu sentir que ce n'était pas n'importe quoi. ça sentait le poulet rôti avec des patates. Je descendis attirer par l'odeur de la nourriture. Je découvris dans la cuisine une dame. Une dame enceinte qui remuait des feuilles de salades. Elle se retourna m'ayant entendu rentrer dans la salle. Je paniqua sur le coup et n'osa ni bouger ni parler.
- Bonsoir ! Me dit elle avec un sourire. Je suis Jeanne la femme de Antoni. Il est sorti couper du bois. Assied toi je t'en pris tu dois avoir faim. Pendant que je m'assied elle continuait à parler. Je vois que tu as pris des pansements tu as bien fait ! elle s'approcha de moi et me regarda plus attentivement, elle avait les yeux marrons et elle avait un charme calme. Puis elle déposa des toast sur la table. Mange ! tu dois avoir faim. Je ne sais pas combien de temps tu es rester dans la forêt mais tu dois avoir faim.
- Merci...
Je dis cela avec timidité, je commence à manger les toasts très bon d'ailleurs. Avec du foie gras et du pâtés. Je lui sourit et Antoni rentrant avec le bois. Et mit une bûche dans la cheminé. Nous nous mettons à table en silence. Nous mangeons tranquillement et quand nous allions arriver au dessert quelqu'un toqua à la porte. A ce moment là j'eus un très mauvais pressentiment. Antoni ouvrit la porte. Ils discutèrent quelques secondes d'un murmure tellement faible que je n'entendis rien. Je serra le couteau que j'avais entre les doigts. J'entendis les bruits de pas se rapprocher de la cuisine. Des cliquetis comme des ceintures se cognant entres elles. Le pas était lourds et en plus il devait il y avoir 5 hommes. Je ne sais pas pourquoi mais je savais... Je savais que c'était pour moi.
Je me releva doucement. La femme de Antoni me regardait de manière réellement désolé. Je lui indiqué de sortir vite avant qu'ils n'arrivent. Elle s'exécuta. Curieusement je n'avais pas peur. La porte de la cuisine s'ouvrit laissant entrer les 5 hommes à qui je tournais le dos. Je garda mon couteau et me retourna doucement. Ils avaient tous une arme braquet sur moi un autre genre de carabine. Je cachais mon couteau puis je ne sais pas ce qu'il c'est passer et j'ai laissé mon corps faire ce qu'il avait à faire. Je lança le couteau entre les deux yeux de l'homme à droite sans même le regarder. Tant dis qu'un coup de feu allait retentir je para le bras de l'homme et la balle partit derrière. Je lui fit une clef de bras et le lui cassa en prenant l'arme de ses mains. Je me baissa à nouveau pour éviter un coup à la nuque et fit un croche patte à un troisième et tant dis qu'il tomber je tira une balle dans sa tête. Je me releva rapidement et donna un coup de pied au quatrième esquivant à une grande vitesse une 3eme balles, je lui piqua son arme et utilisa l'homme comme bouclier. Une arme sur sa tempe et une arme pointait sur celui à qui j'ai filer un coup pied. Celui-ci c'était relevé et le pointait également, tandis que antoni lâche comme il est, tremblé au pas de la porte en voyant les deux hommes morts et celui au bras cassé. Mais je n'hésita pas une seconde et tira sur les deux homme en même temps. Je n'ai pas reçu un seul coup pas un seule balle. Je n'ai jamais fais ça mais cette nature resta là. Je choppa le mec qui gisé comme une merde au sol. Et à une main le mit sur la chaise que j'ai utilisé juste avant d'être attaqué. J'avais un gout de sang dans la bouche. Je lui donna un coup de poing sévèrement.
- Qu'est-ce que vous me voulez ?
Il ne répondit pas. Antoni était toujours là. Et me regardait apeuré.
- Où... ? est...
- Elle est sortit avant qu'ils n'arrivent mais je te déconseille de la rejoindre.
Je lui pointa l'arme sur la tête
- Assie !! Il n'en fit rien. J'ai dis ASSIE ! hurlai-je.
Cette fois il m'écouta.
- Bon alors a ce que j'ai lu dans les livres une balle dans la jambe ou dans le bras ça fait mal. Vous ne voulez pas que j'essaie ?
Ils firent tous les deux non de la tête tel des enfants apeurés se faisant grondé par leurs parents.
- Très bien donc je vais le redemander gentiment. Qu'est-ce que vous me voulez ? Avec un ton particulièrement sévère.
- On nous a demandait de vous retrouver et de vous emmener. C'est le général Dupuy qui nous l'a demandé... On ne sait pas pourquoi. Même si je pense comprendre pourquoi maintenant.
- Qui est le général Dupuy ? pourquoi maintenant ?
- Nous avons entendu dire que votre père faisait partit de la CIA. Il est parti sans explication. Et nous l'avons retrouver il y a 3 ans et l'avons tuer.
Je lui est foutu un coup de crosse en plein dans le nez tellement la colère et la neutralité de ses paroles me dégouttait
- Vous avez tué mon père ?!
- Oui mais il l'a mérité. Un jour son meilleur ami est venu voir le général et lui a dit des choses que je ne connais pas et depuis nous te traquons. Cela fait maintenant 3 ans que l'ont te cherche
- Vous allez devoir me traquer encore longtemps. Et ma mère et ma sœur vous les avez attaqué ! Alors que vous me cherchiez. Où sont elles ?
- Le général Dupuy les retient prisonnière. A San Francisco.
Je lâcha un soupire. Où est San Francisco ? Je ne connais pas cette ville.
- Comment fait on pour y aller ?
- Le meilleur moyen c'est de prendre l'avion.
Je soupire de plus bel.
- Très bien je vous laisse la vie sauve. Antoni prend soin de ta femme. Et toi plus tu sera loin de moi mieux se sera. Car je n'hésiterais pas à te tuer comme les personnes qui sont au sol. Antoni !
Il se releva sur sa chaise pétrifié.
- Je veux que tu m'apporte un sac fermable avec de l'argent , de la nourriture et quelques vêtements.
Il s'excuta. Il revint le plus vite possible avec le sac mit de la nourriture mangeable cru. des gateaux, de l'eau, de la viande séchée ect...il me tendis le sac. Je le pris et je parti rejoindre Luly.
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