IX. A titre de poupée.
Je suis une poupée de porcelaine jouant près du vide, il m'arrive même parfois de glisser. Je m'écorche la peau, à en perdre l'haleine du à la souffrance, mais remonte toujours pour jouer au funambule.
La plus à plaindre ce n'est pas moi.
Je parle de cette poupée de chiffon, celle qui en plus de jouer au dessus d'un gouffre prends la peine de se découdrent les veines. Après ça ,même si nous voulons cacher ses vilaines traces avec une bande de tissue, les plaies restent présentes et ouvertes.
Cette poupée est mon amie et pourtant rien n'y fait, mes hurlements n'arrêtent pas le sang qui se répand sur le sol .
"Tu as nettoyer ?"
"Arrête ,je t'en supplie...."
"Parle-moi !"
"Montre ."
"Et .. Je suis là , ça va aller tout va bien se passer, tu verras tout iras bien..."
STOP
Je ne déchire pas mes tissus , trop faible ?
Forte Pour ça ?
Mon cœur me puni moi même , en se brisant chaque soirs un peu plus. Me coupant la respiration. M'empêchant de parler, manger, sourire, vivre.
La pauvre, avoir une amies si pitoyable, qui ne sait pas s'occuper de ses proches.
J'essaye je le jure !
Tu as dit à sa mère qu'elle allait BIEN.
Je le croyais jusqu'à ce que je les vois .
Pourquoi là laisse-tu faire ?"
Vous croyez quoi que tout ça est une partie de plaisir ! Quand j'ai su ça , mon monde c'est effondré. Je les prise dans mes bras et l'aie rassuré , aucune larme n'est tombée. M'assurer qu'elle comprenne qu'il ne faut pas recommencer était la priorité. Pourtant quand j'ai du la quitté pour le travail, j'ai fait à peine 3 mètres avant de fondre en larme. Je savais qu'elle allait mal mais à ce point... Pitié fait qu'elle me pardonne de n'avoir rien vu. Mon cœur, à cet instant n'était rien d'autre que des miettes, si j'avais pu prendre ses entailles pour elle je l'aurais fait, sans aucune hésitation .
A chaque entaille que tu te fais , ton corps se fragilise et mon cœur se retrouve enlacé par des centaines d'épines.
Jolie princesse, au sourire d'ange. Illumine mes journées de tes idées farfelues. Gonfle chaleureusement mon cœur lorsque, de ta lecture tes sentiments surgissent de différentes réactions. La colère et la joie , quand tu lis ces sentiments sont parfaits pour les yeux , tu ne cesses de rire , crier, injurier à tout va, te foutant juste pour l'occasion du regard des autres . Et ton sourire, le même que celui d'un enfant, on sait toujours s'il est forcé ou non.
Petite-sœur et si tu me parlais ? Je te jure de ne pas te juger ou de t'abandonner. Je veux t'aider à aller mieux . Aide-moi à reconstruire ton cœur, pour qu'enfin les plaies se referment. Réfléchis-y.
Je t'aime.
Anonyme.
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