Le clan des "sans alter"

Tandis que nous étions caché dans le placard de ma chambre, moi et mon amie d'enfance Mitsuko, essayons de ne pas éclater de rire. Nous étions tellement a l'étroit avec toute les affaires contenues dans le placard que l'on s'écrasait a moitié l'un l'autre. C'est lorsque que l'on entendis des pas s'approcher doucement du placard que nos petits rires se stoppèrent net. Une goutte de sueur perla sur mon front tellement il faisait chaud ici. C'est alors que Mitsuko me regarda le sourire aux lèvres. Nous venions d'avoir la même idée. Derrière la porte on entendais ma petite sœur, Hanaé :

Hanaé - Toma, Mitsuko vous êtes cacher ou ?

C'est alors que nous sommes violement sortie du placard en poussant les cris les plus terrifiant qui soit pour une gamine de 10 ans. Celle-ci hurla de peur.

Hanaé : - Haaaaaaaaaa pitié !!!!

Moi : - T'as hurler pitié ? haha

Mitsuko : - Désolé mais c'était trop tentant.

Hanaé : - Nan de toute façon j'ai même pas eu peur !

Elle prix un air fâché et nous tourna le dot les bras croisé.

Mitsuko : - T'as raison de toute façon rien ne fait peur au clan des sans alter !

La petite réafficha un grand sourire et sauta dans les bras de ma meilleure amie. Nous étions effectivement tout les trois des "sans alter". Moi et ma petite sœur ainsi que Mitsuko avec qui nous étions devenu amis. Je restait la majorité du temps avec eux, nous étions inséparable.

Il n'y avait qu'avec eux que je me sentait a égalité, ou je n'avait pas l'impression d'être faible où inférieure, que j'avait l'infime illusion d'être normal. Sans eux j'aurait surement continuer a fréquenté des gens avec des alter qui aurait fini par se lasser de moi. C'est triste mais c'est la vérité, ce monde est basé sur une échelle de supériorité, alors si tu n'a pas d'alter cela revient au même que si tu ne faisait pas parti de ce monde.

Mitsuko : - Hey Toma ? Toma !

Hanaé : - Grand frère tu nous entend ?

Moi : - Merde désolé j'était dans mes pensés.

Mitsuko : - Toujours autant dans la lune haha.

C'est alors qu'on toqua a la porte de l'appartement. Hanaé se précipita vers celle-ci en criant :

Hanaé : - Sa doit être maman !!!

Je la retins par le bras.

Hanaé : - Mééééééé lache moi tu me fait mal !!!

Moi : - C'est bizarre maman ne rentre jamais a cette heure ci.

- Tu en est bien sur ?
Me questionnait Mitsuko, inquiète.

Moi : - Je vais vérifier ne faites aucun bruits.

Je m'approcha doucement de la porte puis regardais a travers l'oeilleton. Il s'agissait bien de maman. Rassuré, j'ouvris la porte.

Maman : - Coucou les enfants !

Moi : - Tu rentre plus tôt aujourd'hui.

Maman : - Oui je finissait tôt aujourd'hui.

Mitsuko : - Bonjour madame.

Ma mère ne répondit pas, elle nous regardait seulement avec un petit sourire. Elle ouvris plus amplement la porte afin de faire rentré dans la pièce deux autres personnes. A la vue de ces gens mon sang se glaça. Il y avait deux hommes, l'un avait des parties de son corp recousu et l'autre était littéralement recouvert de plusieurs mains recouvrant partiellement son corp et son visage. Se qui s'apparentait être ma "mère" se métamorphosa. Il s'agissait d'une fille qui tenait un couteau en riant aux éclats.

Fille chelou : - Salut moi c'est Toga Himiko et voici Dabi et...

L'autre garçon la stoppa d'un air simplement blasé.

Dabi : - On s'en branle de tes discours de mes deux, capturons les vite j'ai pas que ça a faire.

Toga : - Tes pas marrant ! J'ai le droit de m'amusé un peu avec la marchandise quand même !

J'étais figé je n'arrivait pas dire un mot, des vilains se tenais tout juste devant moi. Alors que nos adversaires semblaient s'apprêter a se diriger vers nous, Mitsuko attrapa ma main et celle d'Hanaé.

Mitsuko : - Courez !

Je pris ma petite sœur par la main et couru en direction des escaliers extérieur de l'immeuble.

Mec avec des mains : - Ils ont un sacré courage pour des sans alter de 15 ans, ou ils sont complètement irréfléchi.

Toga : - Shigaraki s'il te plaiiiis, on peut les laisser prendre un peu d'avance pour rigolé !

Shigaraki : - Petite idiote attrapez les sur le champs !

Avant que j'eu le temps d'ouvrir la porte par laquelle nous aurions pu nous échappé, mon corp devins lourd et je m'écrasais au sol suivi de ma petite sœur et de Mitsuko. La fille se pencha a côté de ma tête et murmura d'une voix suave :

Toga : - Ne t'inquiète pas on va bien s'occuper de toi hihi ♡︎

Puis je m'évanoui.

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J'ouvrit les yeux et remarqua tout de suite le grand calme qu'il y avait. J'avait été déposé ici a même le sol, sans la moindre égratignure. Je me levais en me tenant douloureusement la tête. Je me trouvait au milieux d'une rue complètement déserte.

Il y avait plein de petites maisons très chaleureuse et coloré. Je me demandait même si j'étais dans un parc pour enfants. Je levais la tête et compris que le beau ciel bleu surplombant la ville n'était quand fait un très haut plafond tapisser d'un faux ciel bleu. Je me trouvais donc dans un bâtiment.

- Toma !

Je tournais dans la direction du cris et apercu Mitsuko ainsi qu'Hanaé. Elles avaient elles aussi l'air complètement paniqué.

Moi : - Vous allez bien ?

Mitsuko : - Ouai on vient de reprendre connaissance on était toute les deux par terre.

Moi : - Ouai pareil.

Il y eu un petit moment de silence. Chaqu'un d'entre nous contemplait l'étrange endroit dans lequel nous nous trouvions.

Hanaé : - Moi ça me rassure pas cet endroit.

Mistuko : - Ouai faut que l'on trouve une sortie.

Le parc était rempli de petite lucioles embellissant l'aspect enfantin et féérique qui régnait ici.

Hanaé : - Des lucioles en plein jour, c'est un peu bizarre non ?

Moi : - Effectivement les lucioles s'enfonce dans le sol la journée pour fuir la lumière.

Mitsuko : - Elles ont du rentré dans ce bâtiment en croyant être dans l'obscurité.

Moi : Se qui n'explique pas pourquoi elles émette de la lumière. Normalement ce phénomène ne se produit seulement la nuit ou sous terre.

Mitsuko : - Depuis quand tu sais tout ça Einstein ?

Hanaé : - Je parie qu'il a tous inventé.

Moi : - Non j'ai appris ça au cours de philosophie hier.

Mitsuko : - Parce que t'écoute les cours toi maintenant ?

Hanaé : - Et depuis quand on parle de luciole en cours de philo ?

Moi : - Bas c'est juste que...

Inconnu : - Regardez, il y a des nouveaux !!!

Nous nous retournions en direction de la voix. Il y avait quelqu'un.

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