Iguro x reader ; Moyen-âge AU
Pour Muichiro_Mochi_Yaiba
Infos :
Je pense que vous le savez mais au cas où :
-> certaines femmes sont considérées comme des sorcières et sont brûlées vives... (c'est pas la joie hein...;-;)
-> plus t'es riche et plus tu peux t'acheter de titres de noblesses et des terres sur lesquelles des paysans te paye pour pouvoir y travailler. Ils doivent aussi payer pour utiliser le moulin, le four...
Bonne lecture :)
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Pdv reader :
Aujourd'hui je dois soigner encore quelques hommes et j'aurais finis ma journée. Il est tard dans la journée, il fait presque nuit. J'ai de la peine ce soir, une femme va être brûlée. Elle serait une sorcière. J'espère juste ne pas finir comme elle. Les hommes que je soignent sont en groupe de neuf. Enfin, il y a 7 hommes et 2 femmes. L'une des femmes a les cheveux noirs aux pointes violettes, l'autre a les cheveux... roses et verts ? C'est peu commun mais ça lui va bien. Dans les hommes, l'un a les cheveux rouges et jaunes, l'autre a les cheveux blancs mais pas de sourcils, un autre a les cheveux blancs mais il a une sorte de marque de naissance rouge autour de l'un de ses yeux, l'un est aveugle, un autre a les cheveux noirs et les yeux bleus, un autre a l'aire d'être le plus jeune et a les cheveux noirs se dégradant au turquoise et les yeux vert menthe et le dernier a les cheveux noirs et les yeux vairons, l'un bleu l'autre orange-doré. Moi je travaille dans cette auberge depuis que je suis toute petite, mais eux ont dû parcourir des territoires entiers ! La chance...
Ils me posent des questions auxquelles je réponds honnêtement, même si il y en a certaines auxquelles je ne réponds pas, ou alors en détournant la question. Ils sont bourrés. Presque tous. Le plus jeune ne l'est pas mais dort, de même pour l'aveugle. Celui aux yeux vairons observe juste ses camarades. Je m'approche de lui et nous discutons. En faite, il est plutôt sympa malgré ses aires un peu mystérieux et troublant. Je leur montre leur chambre et ils y vont. J'ai hâte de voir leur têtes demain matin, lorsqu'ils se réveilleront. Je m'en vais ensuite dans ma propre chambre et me couche. Je suis fatiguée, cette journée a l'auberge-infirmerie était vraiment mouvementée.
Mais le lendemain matin, aux aurores, j'entends des gros coups sur la porte de l'entrée. Je sors de dernière une table que je nettoyais et vais ouvrir. Qu'elle ne fut pas ma surprise de sentir une main sur mon épaule. Je me retourne et croise deux yeux vairons. Ce n'est que lui. J'ai eu peur. Il me dit de me reculer et va ouvrir lui-même. Je suis d'autant plus surprise lorsque je vois des gardes entrer et fouiller mon auberge. Non mais comment osent-ils ?! J'ai passé plus de deux heures à tout nettoyer !!
Mais lorsqu'ils repartent, il m'embarque avec eux. Je ne comprends pas la raison et ils ne me disent rien. Je finis jetée dans un cachot. C'est injuste, qu'ai-je donc fais ?! On m'apprend quelques minutes plus tard que ceux que j'ai accueillis hier soir sont des bandits qui volent tous les riches et donnent aux pauvres ou gardent pour eux. Pourtant, ils ne l'avaient pas l'aire réellement méchant. Mais maintenant, je vais être pendue... pour complicité... alors que je n'en savais rien. C'est vraiment injuste ! Je passe ma journée à pleurer et à crier que je ne savais rien. Et lorsque le soir approche, je stresse énormément. J'ai peur. Ça fait mal, d'être suspendue par une corde et d'étouffer. De mourir par manque d'oxygène. C'est bête, c'est l'une des choses les plus abondantes sur Terre. Lorsque je monte sur l'estrade en bois ou je vais me faire pendre, j'observe une foule immense rassemblée. Beaucoup me connaissent, j'ai soigné bon nombre de personnes habitant ici. Ils sont tristes. Certains pleurent. Ça me soulage, de savoir qu'ils y en a quand même qui me croient innocente d'une « crime » que je n'ai pas commis volontairement. Jusqu'à ce que je croise CE regard. Ce regard aux yeux vairons. J'observe un peu plus et retrouve les neufs voyageurs d'hier soir un peu partout, dispersés dans la foule. Mais que font-ils là ? Ils sont venus voir mon exécution ? Pour se moquer de ma gentillesse ? De ma bonté ? Rien que d'y penser m'énerve. Jusqu'à ce qu'on me passe la corde autour du cou. Là, je me remets à paniquer. Mais c'est comme un signal, car sur les neufs bandits, huit d'entre eux commencent à créer des mouvements de panique, à huit endroits différents en même temps. Ils étaient bien organisés ! Le neuvième, celui aux yeux vairons, celui qui fait battre mon cœur depuis... attendez...qui fait battre mon cœur ?! Ho non, ne me dites pas que j'ai eu le coup de foudre pour un bandits à cause de qui je vais me faire pendre...
Mais bref, il s'élance, à cheval et lorsque la trappe sous les pieds s'ouvre et que je tombe, il me rattrape et me tient suffisamment haut pour que je ne m'étouffe pas. C'est tout de même galant d'éviter de me faire m'étouffer. Sauf que ça n'empêche pas que j'ai une corde serrée autour du cou. Une fois que ses compagnons se sont occupés des gardes, l'une des filles, celle aux cheveux roses et verts, vient couper la corde qui était autour de mon cou. L'homme aux yeux vairons refuse quand même de me lâcher et continue de me tenir. Il me fait ensuite m'assoir devant lui, sur son cheval. On rentre ensuite tout les dix à l'auberge.
Là-bas, je décide de la remercier. Après tout, j'ai appris durant ce trajet que c'était son idée de venir me sauver, car c'était le seul à m'avoir vu me faire enlever le matin même. Lorsqu'ils s'étaient volatilisés de mon auberge, me laissant seule avec les gardes. Je crois d'ailleurs l'avoir vu rougir lorsqu'ils ont commencé à m'explique comment il s'était inquiété pour moi. Je trouve ça trop mignon.
Donc je le remerciais. Jusqu'à ce qu'il me coupe la parole en m'embrassant. Puis je l'embrassa aussi, en retour. Il décida de laisser ses amis repartir sans lui et de rester avec moi, à l'auberge.
——
Fin de l'os !
Je suis plutôt contente de l'idée.
Et les images :
Et voilà :)
1055 mots
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