Chapitre 2

PDV Mika

Après avoir pleuré pendant plusieurs heures j'ai été emmené dans un endroit remplit d'enfant qui étaient dans la même situation que moi, d'un coté j'étais un peu heureuse, je vais me faire des amis et m'amusé, mais je voulait quand même voir mes parents. Les docteurs ne m'avaient pas laissé les voir et j'avaient encore pleuré, mais j'ai entendu les médecins se parler entre eux et l'un d'eux avaient dis.

- Ses parents sont complètement défiguré, une petite de son âge ne devraient jamais voir sa

- Oui mais elle veut voir ses parents

- Elle ne devrait pas avoir cette dernière image d'eux, de plus ils sont complètement démembré !

Entendre ses mots m'ont vraiment fait mal au cœur et j'ai fondu en larme, mais je pense qu'ils avaient raison. L'avocat m'avait laissé avec une vieille femme et m'avait dit une dernière phrase avant de partir.

- Quand tu pourras vient me voir, je te montrerai la tombe de tes parents, prend soin de toi petite, tu es vraiment très forte

Et il ma donné une carte que j'avait bien gardé dans mon sac, puis la vieille femme m'emmena dans une grande salle remplit de lit. La salle étais lugubre et sombre, les peintures s'écaillé et il y avait des fissures dans les murs. De plus la vieille femme n'avait pas l'aire sympathique et m'avait dit d'une voix dur. 

- Voici ton lit, laisse tes affaires ici, je te laisse cette journée pour visité l'orphelinat. Le dîné est dans 3 heures

Et elle parti, j'étais complètement perdu dans cette nouvel univers, elle m'était complètement inconnu. Je commence alors à ranger mes affaires comme maman m'avait appris. Je remarque que les filles me regardaient bizarrement comme si je les avaient fait quelque chose alors qu'on venait juste de se rencontré. Les garçon eux me regardaient d'une manière complètement différente s'étaient comme si ils étaient attiré par moi. 

Je ne fit pas attention et fini de ranger mes affaires. Une fois terminé j'allai visité l'orphelinat toute seule, je vit plusieurs salle mais toutes étais vieille et lugubre. Je commençais déjà à détesté cette endroit. Le soir du dîné j'étais mise à l'écart et quand je mangeait mon plat, s'était comme si on avait versé une boite de sel à l'intérieur. Le plat était vraiment horrible et je le recrachait, les filles n'arrêtait pas de se moqué de moi, et je ne savait pas pourquoi. La vieille femme me gronda et me dit toujours d'une voix très dur.

- Terminez votre nourriture, il n'y a pas de privilégié ici ! Ne croyez pas que juste parce que vous êtes mignonne on vous servira des plats meilleurs que les autres !

- Mais Madame le plat est vraiment pas bon

- Bon ou pas vous allez le finir ! Sinon vous nettoierai les toilettes ce soir

- Bien Madame,

Je me m'efforce alors a finir se plat en me retenant de pleuré, toujours sous les rire des autres filles. Le soir un garçon assez mignon mais un peu plus petit que moi, vient me parlé et me dit.

- Salut

- Salut

- T'es la nouvelle c'est ça ?

- Euh.. oui

- Je m'appel Aijin

- Moi c'est Mika

- Mika ? C'est jolie comme nom

- Merci

- Tu es vraiment très mignonne

- Merci

- Tu sais que toutes les filles te déteste parce qu'elles te trouvent vraiment belle et que tu attire tous les regards des garçons ? Même les plus grand te trouve vraiment mignonne ! Tu as l'air d'une bourgeoise.

- Quoi ? Mais c'est faux, je ne suis pas du tout une bourgeoise et je ne veux pas attiré les regards des garçons.

- Ce n'est pas une si mauvaise chose tu sais, personnellement je suis le plus beau de l'orphelinat, toutes les filles m'aiment, mais elle ne m'interresse pas

- Ah d'accord

- Mais toi tu m'interresse

Il vient me tenir la main et me sourie, je n'avait rien contre lui, au contraire s'étais le premier à être venu me parlé, il est gentil et mignon, me tenir la main n'étais rien, j'avait l'habitude de tenir la main de mes parents. Mais par rapport à eux sa main n'étais pas chaleureuse, mais que pouvais je faire ? Il était le seul qui voulait être mon ami. 

Les jours passa et les filles n'arrêté pas de me faire des sales coups, mais je ne dirait rien et encaissé. Aijin étais souvent avec moi et parfois il me protégé quand les autres filles m'intimidait, mais les filles n'arrêtaient pas de me traité de salope, pute, pétasse et d'autre mots que je ne comprenait pas. J'appréciai Aijin, mais je commençais à détesté ses mains baladeuse, il commençait à me touché la cuisse et les fesses. Je déteste çà mais n'osait rien dire parce que Aijin étais le seul qui me parlait et me protégeai, mais bizarrement je préférai que les filles me lance des cailloux, mettent des cafard dans mon lit, m'enferme dans la douche et d'autre choses que les mains d'Aijin.

Mais un jour il pleuvait, la pluie était assez forte. Depuis la mort de mes parent je déteste la pluie, les filles savaient que je détestai ça, alors elle m'avait attaché à un arbre et m'avait laissé sous cette pluie. Pour la première fois je pleurait depuis que j'étais arrivé ici, elles pouvaient faire se qu'elles voulaient, rien ne m'atteignait..mais cette fois là, tous mes sentiments d'avoir perdu mes parents étaient revenus.

J'avait froid et peur, je pleurai..pleurai..pleurai... Puis je vit Aijin arrivé, il me détacha et me dit.

- Qui ta attaché ? 

- Les filles

- Vient te séché

Et il m'emmena dans sa chambre. Il me disait de me déshabillé, je le disait que je préféré faire sa dans ma chambre, mais sa voix commençait à changé et s'étais presque comme si il me donnait un ordre, alors j'enleva mon haut et mon bat. Il me regarda de haut en bat, je ne savait pas pourquoi il avait l'aire si excité, mais j'étais vraiment gêné, j'étais à moitié nue et avec un garçon. Mon père me disait de faire attention aux garçon ils peuvent me faire du mal, je ne comprenait pas ses mots, mais j'allait bientôt les comprendre. 

Aijin me fit allongé sur son lit et commença à me touché, il disait.

- Tu es vraiment belle Mika, je veut aussi le faire avec toi, je te veux.

Il s'allongea sur moi et moi je regardait la pluie qui n'arrêté pas de tombé en pensant à mes parents. Je me disais que  je méritais ce qu'il m'arrivait et que je devais juste supporté tout cela. Mais je reprend immédiatement mes esprits au moment ou il commença à retiré mon bat.

Je me lève et le poussa en disant la voix tremblante.

- Je ne veux pas Aijin

- Comment ? Tu ne m'aimes pas ?

- Non, je n'aime pas la façon dont tu me touche, sa me gène

Je voulais continuer de m'expliquer mais je vit ses yeux se noircir, et j'ai compris que je l'avait vexé. Je m'approche de lui pour m'excuser mais au même moment la porte s'ouvre violemment et je vit la vieille dame. Mon corps se fige lorsqu'elle nous regarda et qu'elle fini par me fixé d'un air dégoûté.

- Mika ! Que fais tu ?

Je ne savait pas du tout comment réagir et elle avait vraiment l'aire énervé, mais je fut surprise lorsque Aijin s'avance vers elle et lui dis.

- Madame, elle ma forcé à me déshabiller. Elle disait vouloir avoir des rapports sexuelle avec moi. 

Mes yeux s'agrandis et j'avait compris que ce qu'il voulait me faire n'étais pas bien mais surtout qu'il disait des mensonges. J'essaie alors de m'expliquer et lui dis.

- Ce n'est pas vraie Madame, je... 

Mais elle ne me laisse même pas le temps de finir qu'elle m'attrape par les cheveux et me traîne dans les couloirs de l'orphelinat. Je me met à hurler de douleur et tente de me débattre mais elle continue de serrer sa prise.

Tous le monde sort de leurs chambre et me regarde avec de grand yeux. Elle me traîne jusqu'à dans la cours de l'orphelinat et me jeta sous la pluie. Je tombe violemment au sol et j'étais couverte de boue. Je ne porte sur moi qu'une culotte, et ma tête me faisait horriblement mal. Je touche le haut de mon crâne et voit sur ma main du sang et quelques cheveux arraché. Mes larmes montes mais je me retient et regarde la vieille dame en lui disant.

- Il ment madame, je n'est rien fait ! 

Je voyait toutes les filles se moqué de moi, j'avait honte, j'avait froid, j'avait peur, je pensait être au bout de ma souffrance, mais la vieille dame se retourne et par chercher un long bois. Je me fige en la voyant arriver dangereusement vers moi. Elle brandit le long et dur bâton et je ferme les yeux en tentant de me protéger. Mais la douleur fut violent, mon dos se met à chauffer et un crie de douleur sort de ma bouche.

Elle continua de me frapper, elle me frappe de toute ses forces et sur tout mon corps. Je criai tellement j'avait mal, je pleurait et la suppliait d'arrêté, mais elle continua et commençait à dire se que les autres filles me disait. 

Lorsque j'essaie de m'enfuir elle me saisi de nouveau par les cheveux et me jette de nouveau au sol, puis elle vient me donner des coups de pied et m'écrase le corps pour que je ne puisse plus me relever. Je pleurais et entendant la pluie devenir de plus en plus forte.

Cette torture dura presque 20 min, mais pour moi cela durait des heures. La pluie commençais vraiment à devenir de plus en plus forte alors elle jeta son bois au sol et me dis.

- Je savais que tu allais nous apporté que des problèmes. T'es parents se sont même suicider pour ne plus devoir s'occuper de toi ! Tu devrais crever comme eux !

Le tonnerre gronda violemment dans le ciel, se qui la fit sursauté. Elle me jette un dernier regard noir et me laissa sous cette pluie qui continua de tombé. Je ne bougeais pas, je n'avais plus du tout la force. La pluie continuais de devenir de plus en plus forte et on ne voyait presque rien. Le visage dans la boue, je distingue uniquement des silhouette partir petit à petit, personne ne venais à mon secours. 

Je continue de rester sous la pluie et regardait les gouttes tombé. Je me demandais pourquoi je subissait tout ça alors que je n'est rien fait, je pleurait et je voulait vraiment retourné avec mes parents. La nuit tomba la pluie n'avait pas arrêté de tombé, je commençait à ne plus sentir mon corps, il fallait que je me lève, mais mes blessures me faisait vraiment mal, alors je me traîna dans la boue. 

Au bout d'une demi-heure j'arrivait dans la salle de bain, je pris une douche dans les vestiaires en faisant le moins de bruit possible. Je vit coulé le long de mon corps de la boue et du sang. Tout mon corps me faisait mal et mon dos n'arrêtai pas de saigné, j'avait vraiment mal. Une fois terminé, je retourne dans ma chambre, et grâce à la pluie on ne m'entendais pas du tout marché malgré mes soupirs de douleur. La salle où je dormais étais vraiment sombre, alors je pouvait me déplacé sans me faire attrapé. Je décide alors de prendre toutes mes affaires et de le mettre dans mon sac à dos. Je ne pouvait plus resté dans cette endroit, je la déteste et resté un jour de plus ici me tuerai, alors je décida de partir. 

Je sort rapidement de l'orphelinat et heureusement le vigile étais endormi et je put sortir. Une fois le portail franchi, je pousse un long soupir de soulagement et continue de m'éloigné de cette endroit.

Je me mis à marcher dans la ville, je pleurai et pensai à mes parent, ils me manquent énormément et je ferait tous pour les revoir. Je marchait..marchait..marchait, j'avait froid et peur, mais continuai de marché sous cette pluie. Mon dos me faisait mal, et je commençait à me demander si la vieille dame n'avais pas raison. 

Est ce que je devrais mourir moi aussi ? Qu'est ce que j'avais à perdre de toute façon ? Il ne me reste plus rien ici.

Des pensés noirs venait hanté mon esprit et des larmes se mettent de nouveau à coulé. Je me mis alors à pleuré comme une enfant et la pluie se met doucement à ce calmer. Mais alors que je commençais à perdre tout espoir, je vit un petit garçon.

Il marchait aussi sous la pluie. Il avance vers moi, il était un peu plus grand que moi, il avait des cheveux noir mais tout mouillé, il portais une grande veste qui avait l'aire vraiment chère. Il lève la tête vers moi et je me rend compte que s'étais le garçon le plus mignon que j'avait vue.

Il s'arrête devant moi, mais après l'expérience que je venais juste de vivre, je me méfie de lui et me met à faire un pas en arrière. Je commençais à m'enfuir mais je vis son regard triste, presque aussi triste que le mien. 

Il fit encore un pas vers moi et je commence à avoir peur. Il lève alors sa main vers moi et je ferme les yeux par réflexe et surtout par peur de ce qu'il peut me faire. Mais il fit une chose que mon père me faisait lorsque je pleurai, il me caressa la tête.

Je lève les yeux vers lui et pendant un moment j'ai crue voir mon père juste derrière lui. Je reste alors complètement sous le choque, et il me dis d'une voix masculine.

- Tu t'es perdu ? 

Je fit non de la tête tellement j'avait honte de lui et il me dit.

- Tu t'es enfui ?

- .oui.. 

- J'ai aussi fuit de chez moi

Il me fait un petit sourire mais toujours triste. La pluie continuait de tomber et il leva la tête avant de me regarder de nouveau.

- Aller vient on va se mettre à l'abri

Il m'attrape la main et on se met à l'abri sous un arbre. Il continuait à tenir ma main et sa main étais vraiment chaude, elle était comme celle de mes parents. Je ne voulais plus jamais la lâché, ce sentiment de chaleur m'avait énormément manquer. Il dé-serre sa main mais je continuais de la tenir.

- Tu peut lâché ma main maintenant 

- Je pourrai la tenir encore un peu?

Je le vois un peu surpris mais il détourne le regard et dis d'une petite voix

- Euh.. Ok

Et on resta sous l'arbre en se tenant la main, s'étais un drôle de sentiment, j'étais vraiment contente de l'avoir rencontré.

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