Si même le gif et le titre ne vous mets pas la puce à l'oreille, eh bien, désolée pour vous les cocos.

Chase se releva lentement en plissant les yeux puis fronça ses sourcils.

« A quelle condition ? Répéta t-il.

-A condition que ... tu couches avec Spot avant ! »

Sur le coup, il ne comprit rien du tout, mais lorsque j'aperçus son regard horrifié et perdu, je fus prise d'un éclata de rire haut en couleurs.

« Pardon ? Collins, tu vas bien ? demanda t-il sèchement.

-Ca va je plaisante ! Je n'ai pas le droit de faire un peu d'humour ? »

Il soupira visiblement peu amusé par ma petite blague, dommage, je l'avais trouvée drôle.

Je relevai mes cheveux en arrière afin de les attacher puis continuai-je.

« Plus sérieusement. A la condition que tu m'expliques pourquoi tu avais une image de moi si... dénigrante. »

Il grinça légèrement des dents puis passa sa main dans ses cheveux, comme il le faisait toujours lorsque le stresse lui montait à la tête.

« Euh... Je pense que... »

Je le fixais toujours en croisant les bras, alors que Spot ne cessait de s'agiter autour de mes pieds.

« Je ne pense pas que cela soit une bonne idée d'évoquer le sujet maintenant. Plus tard si tu veux ? demanda t-il un peu gêné. »

Cette réaction était tout de même étrange, il ne voulait jamais en parler, je ne sais pour quelle raison. Je relevai les yeux en l'air.

« Bien. Mais tu promets que tu me le diras ? »

Il hocha la tête avec hésitation.

Un silence se fit avant qu'il ne se rapproche de moi.

« Bon, on le fait maintenant ? Demanda t-il.

-Bordel Chase, on ne t'a jamais appris à être un peu séducteur ? Tu ne fais même pas d'effort ! »

Il m'attrapa par la taille ce qui me valut une augmentation de la pigmentation de ma couleur de peau. Il plissa les yeux doucement, pinça l'une de ses lèvres puis s'amusa à hausser puis rabaisser ses sourcils plusieurs fois. Je le regardai alors horrifiée, puis m'esclaffai de rire. D'accord, je devais l'avouer, cet air séducteur ne lui allait pas du tout.

« Pourquoi tu rigoles ?!

-Bon, quand tu seras apte à être un peu plus séducteur, tu m'appelles hein, répliquai-je en m'en allant. »

Je le plantai alors avec le sourire. Enfaite, j'essayais juste de gagner du temps. Je venais juste de me rendre compte d'une chose : Je ne m'étais pas épilée !!!!

****

Voilà qui était bien mieux. Je m'étais rendue chez mon esthéticienne privée, j'étais désormais toute propre. Mes jambes avaient été particulièrement une véritable catastrophe. A force de ne mettre que des jeans, des bas collants, et de ne jamais les aéréer, une petite forêt amazonienne s'y était formée, voir une jungle des tropiques. Oui, bon, j'exagère, mais c'était ce que l'esthéticienne avait osé me dire. Je n'osais même pas vous raconter ma gène. Je me serais bien épilée seule, mais si Chase m'entendait hurler dans sa villa parce que je m'épilais ceci me vaudrait beaucoup trop de moquerie.

Je me sentais désormais plus légère, libérée de quatre kilos en moins. Et ce n'est qu'un euphémisme. Oui, j'ai beaucoup d'humour.

Et dès lors que je posai un pied à l'intérieur de la maison, les lumières s'éteignirent tout à coup. Cette voie lumineuse laissa place à une lignée de bougie, me conduisant au salon. Dites moi que ceci était une blague ?

Je soupirai puis me décidai à suivre cette ligne. Bientôt je me rendis dans la salle principale, où s'y trouvait une table de deux personnes magnifiquement dressée. Devant une des chaises se trouvait Chase. Non mais quel con, vraiment. Je soupirai à nouveau. C'en était d'un ridicule.

« Enfin de retour ! s'exclama t-il.

-Et j'aimerais être restée dehors plus longtemps, répliquai-je nerveusement. »

Il gloussa puis m'invita à m'assoir. C'était d'un ridicule affreusement horrifiant bon sang, ça ne lui ressemblait tellement pas.

Il m'embrassa la main doucement puis s'assit à son tour. Gentle man en plus ? Que d'hypocrisie ce soir.

« Dis moi que tout ceci est une blague soufflai-je. »

Il ne répondit pas, visiblement peu intéressé par ce que j'en pensais vraiment.

Deux cloches étaient dressées sur chacune de nos assiettes, tel un restaurant cinq étoiles.

Ce ne fut que surprise d'y apercevoir qu'il s'y trouvait un cracker avec du nutella à l'intérieur.

Mais quel rabat-joie bon sang !

Je relevai mes yeux bleus vers Chase.

« Sérieusement ? Un cracker ? Avec du Nutella.

-Oui, bon , on fait avec ce qu'on a, plaisanta t-il, et puis c'est du Nutella, pas n'importe quelle pate à tartiner. »

Je me mis à rire nerveusement encore une fois, il était si maladroit lorsqu'il tentait de séduire.

« Ca va, je suis assez séduisant ?

-Aussi séduisant que le pied de mon grand père. Franchement c'est une vraie catastrophe, ça ne te ressemble pas du tout, et puis ce cracker... Je ne sais même pas comment ce petit truc va me nourrir. Je préfère le Chase pas séduisant, franchement. Au moins lui, il bouffe de la pizza au fromage, là je n'ai envie que de pizza ! »

Il souffla puis frappa dans ses mains pour allumer la lumière. Il souffla alors sur toutes ces foutus bougies autour de nous puis se releva avec le sourire.

« Ouf ! J'ai cru que tu n'allais jamais prononcer cette phrase ! Tiens, je nous ai commandé une pizza. »

Il sortit alors une large pizza qu'il avait posé au dessous de la table puis m'en tendis une part. Je souris inconsciemment. Enfaite, il me connaissait bien, il savait exactement comment agir avec moi. Rien ne valait mieux que ce met italien pour me combler. Je me mis à la croquer telle une cannibale. Je regardais Chase, qui lui s'était installé devant un match de football. Il passait vite à deux extrêmes.

Je décidai alors d'aller le rejoindre, il était temps que nous passions aux choses sérieuses. Il fallait que je tente un léger rapprochement.

Je m'assis alors à coté de lui. Ma tête penchait au fur et à mesure sur ton épaule, à cause de la fatigue. Il sourit à ce contact puis passa son bras autour de mon épaule.

Nous restâmes dans cette position un bon moment, avant que je ne me mette à hurler.

« Mais ce n'est pas possible ! Ce joueur ne se bouge jamais le cul ! Après on s'étonne que les Bufallo Bills ne soient pas sélectionnés ! Mais virez le bon sang ! »

Il sursauta puis coupa la télé avant de se mettre à rire.

« Parce que le football américain t'interesse peut être ?

-Je te signale que j'ai un frère. J'ai passé ma vie à regarder le football à ses cotés. »

Il me sourit. Je le sentais un peu embarrassé par la situation, comme s'il ne savait pas trop comment s'y prendre avec moi. C'était assez étrange. Il me fixait sans me lâcher du regard.

Plus il me fixait, plus je voulais fuir son regard. Il s'avançait rapidement vers moi, afin d'attraper mes lèvres, mais je me reculais de plus en plus. Bientôt, je me retrouvai totalement allongée sur ce canapé, merde.

« Pourquoi tu fuis ? Chuchota t-il.

-Je ne sais pas... Chase, c'est bizarre... Enfin... Toi et moi quoi... C'est gênant... »

Il ne répliqua pas, mais se contentait toujours de m'admirer.

« Tes yeux sont beaux tu sais ? »

Oh ! Là ! Alerte. Gêne -60000 !!!!

« Les tiens sont passable, répliquai-je sournoisement. »

Il rigola puis passa ses deux jambes autour de ma taille. Il combla les seuls centimètres qui nous séparaient puis posa ses lèvres sur le coin de ma bouche. Il répliqua ce geste une dizaine de fois avant de se relever. Il me tendit alors la main.

« Tu viens ? Dans une chambre, on sera peut être un peu plus à l'aise. »

Je n'attendais qu'une chose, qu'il enflamme le désir qui se renfermait en moi, car pour l'instant il n'y avait rien de tout ça, j'avais peur, peur de commettre une véritable erreur.

Bientôt, nous arrivâmes devant sa chambre. Je m'arrêtai.

« Il est hors de question que je rentre ici.

-Pourquoi ?

-Il est hors de question que je me couche sur un lit ou tu as déjà fais jouir je ne sais combien de fille.

-Tu es sérieuse là ? Soupira t-il.

-J'ai l'air de plaisanter peut être ? »

Il me tira alors la main vers ma propre chambre.

« Tu es vraiment compliquée Alexis ! »

Dire que je ne le savais pas serais mentir.

En réalité, j'étais sûre qu'il n'attendais qu'une seule chose, que j'arrête de fuir la situation.

Il m'attira alors contre un mur, puis me regarda à nouveau.

« Tu as déjà regardé du porno ? demanda t-il. »

Je manquai de m'étouffai. Du genre dragueur, il n'y avait pas pire.

« Evidement que non !

-Arrête de mentir. Tu as dix neuf ans. Tu ne peux pas être si innocente que ça ce n'est pas possible ! Alors tu t'es déjà touchée ?

-Mon dieu Chase mais ferme ta gueule ! »

Que je réponde oui ou non, ou encore à quel fréquence cela ne le concernait pas, cela restait de mon domaine privé.

« Ca va ! Je te demandait juste ça pour savoir à quel point tu ne t'y connais pas, rigola t-il.

-C'est bon ! C'est bon j'en ai marre. On arrête ça. C'est au dessus de mes forces. »

Il m'arrêta brusquement par le bras alors que j'avais tenté de me libérer , puis m'embrassa, mais cette fois, véritablement. J'avais tenté de lutter, mais il m'était impossible de résister contre lui, c'est Chase quoi. J'avais beau me le cacher, il avait quelque chose qui m'attirait. Je laissai tomber mes bras contre mon corps, lorsqu'il attrapa ma langue. Une de ses mains se baladait sur ma joue, alors que l'autre s'écrasait sur mes hanches.

Je me souvenais alors de cette soirée, où nous nous étions embrassés, sous l'effet de l'alcool, je ressentais cette sensation divine d'embrasement.

Putain. Ceci n'était que le début.

Bientôt, ses lèvres descendirent un peu plus bas. Il goutait chaque parcelle de mon cou et semblait dans un état secondaire déjà. Je sentais mon corps s'échauffer sous ses lèvres réconfortantes. La peur disparaissait peu à peu.

Je pouvais humer l'odeur de ses cheveux qui sentait le shampoing masculin, c'était fort agréable.

Il remonta alors à mes oreilles et me chuchota.

« Je veux que ce soir, tu retiennes tout. Tout ce que je te ferais. Chaque émotion que je te ferais ressentir, chaque sensation. Si tu ne ressens rien, ne te force pas juste pour me faire plaisir, dis le moi. Si je te fais mal également. »

Je fondis. Mes jambes n'avaient cessées de trembler après ça. C'est pourquoi d'ailleurs, il m'accrocha vivement la taille. Je ne savais pas que parfois Chase pouvait être bienveillant. Et jamais un homme n'avait vraiment été bienveillant à mes cotés, mise à part Larry, mon père, et Liam.

Il se recula puis enleva délicatement mon T-shirt. Bordel. J'étais à moitié nue devant lui, du moins, un quart nue. J'avais la vulgaire impression de ne pas me montrer assez résistante face à lui, mais tout ceci me semblait si naturel.

Il releva mon menton vers lui, puis m'embrassa à nouveau.

« Je veux que tu me regardes, ok ? »

J'hochai la tête. L'assurance qui le guidait m'impressionnant.

Il m'avança contre le lit puis me fit tomber à la renverse. Il s'élança à ma rencontre tel une bête sauvage. Son corps coulissa au dessus du mien. Mon dieu, il me faisait un effet de folie.

Lorsqu'il commença à déboutonner d'un regard coquin mon soutien gorge, je décidai de ne pas me laisser emporter par la peur. Il n'y aurait aucune raison pour laquelle je devais avoir peur de lui.

Et lorsqu'il aperçut ma poitrine exposée à l'air, il brandit un sourire.

« Mamamia, c'est des vrais ? »

Toujours dans l'élégance cet homme.

« Tu pense que si j'en avais des faux, ils seraient si petits ? Soupirai-je. »

Il se contenta de rigoler mais observais toujours ma poitrine. Il allait se foutre de moi, c'est sûr. Qu'est-ce qui m'avait pris de lui dire oui. Je repliai mes jambes contre moi-même et décidai de m'en aller. Mais il me bloqua.

« Mais tu vas où ?! J'ai rien dis !

-J'ai pas envie que tu te foutes de moi c'est tout. Je n'ai pas la poitrine de Kim Kardashian je sais. »

Il me replaça entre son entre jambe et m'étira les mains vers le haut. Diablement sexy.

« Mais tu délires, chérie. Je n'ai pas dis que je n'aime pas ! »

Je plissai les yeux.

« La plupart des filles qui se retrouvent dans mon lit ont toutes fais de la chirurgie plastique... Les tiens changent, c'est mignon ' je les aime bien, je les trouve même parfait. »

Je rougis et dépliai mes jambes lentement. Il n'était pas là pour me juger, c'était déjà ça. Avait-il dit parfaits ? Du moins, parfaits pour lui ?

Je me sentais rebootée, je l'approchai de moi violement, et commençai à lui suçoter les lèvres, en manquant de douceur, visiblement, il appréciait. Sa main effleurait mes seins puis se mit à descendre vers mon bassin.

Et quand sa main déboutonna mon short et effleura le bout de ma culotte, je tressaillis.

Il quitta alors mes lèvres pour s'occuper de mes parties inférieures. Je sentais sa chevelure qui me caressait le ventre, ça me chatouillait.

Il abaissa ensuite ma culotte. J'étais nue désormais, vêtue de mon plus neutre appareil. Et pourtant, je n'avais plus honte. Il m'avait mis assez en confiance.

« Il fait chaud, rigola t-il. »

Il arrêta ses caresses puis me regarda à nouveau.

« Tu crois que tu pourrais m'enlever mon T-shirt où cela te fait trop peur ? »

Je relevai les yeux au ciel.

« Ca va, il ne faut pas non plus abuser. »

Il se redressa alors, je fis de même.

Je devais lui enlever son T-shirt. Ce n'était pas compliqué.

Je tirai alors délicatement ce morceau de tissus qui laissa place à son torse fort travaillé. C'était encore plus impressionnant de près. Il dégageait un charme et charisme important. Je restais bloquée devant cette musculature.

Rapidement, l'envie se mit à agir à ma place. Je le fis s'allonger et commençai à lui baisai le cou. Il m'arrêta vite, me montrant qu'il n'allait pas se laisser faire.

Il reprit alors possessions de mon bassin et continua sa tâche.

Et là, il se mit à me caresser à nouveau, à jouer avec mon clitoris tel un enfant qui découvrait son nouveau jouet. Puis je sentis ses doigts s'infiltrer à travers mon corps, une zone sensible que je n'avais jamais exploré si profondément. Et là, je ne m'étais jamais sentie aussi excitée. Il accelérait ses mouvement, tout en faisant attention à ne pas me faire mal. Sa douceur m'impressionnait. Et lorsque je sentis sa langue vers mon point sud, je crus défaillir. Mon bassin se leva et je poussai un petit gémissement.

« Ca t'excite hein ? Coquine»

Il accélérait, rajoutait des doigts, ces léchouilles m'embrasait l'âme. Je ne savais plus quoi penser. J'étais dans un autre monde.

J'oubliais qui il était vraiment, j'oubliais tout, sauf le plaisir que je pouvais ressentir à cet instant.

Mon bassin se rythmait avec ses doigts. Puis il remonta vers mes lèvres et m'embrassa fougueusement. Putain que c'était bon.

Je sentais une bosse au niveau de son jean contre mon bassin.

Je m'accrochais à lui, comme s'il était la dernière chose qu'il me restait, ses lèvres couvraient mes gémissement.

Mon corps était moite sous son torse si brûlant. Un mélange de température se mêlait à nos corps qui ondulaient l'un contre l'autre.

Et puis, il se mit à ralentir, tout comme moi.

« On continue ou pas ? Me glissa t-il à l'oreille. »

Oh que oui, je voulais plus. Je voulais goutter à ce plaisir extrême, connaître ce monde qu'une majorité des filles avaient déjà atteintes à mon âge. Je voulais aussi le voir nu en entier devant moi. Le sentir en moi. Je voulais ...

Et puis la raison me revint. Nous étions partenaires d'un film. Chase était un connard suprême.

J'hésitai un instant mais en venu à la conclusion que non. J'en avais appris assez, et j'avais bien trop peur de regretter d'aller jusqu'au bout avec lui.

Je secouai la tête timidement, ce qui lui valut une petite déception.

«Tu es sûre ? Ton corps dis le contraire, gloussa t'il en tirant ma lèvre supérieure avec ses dents.»

J'hochai la tête avant de soupirer.

«J'en suis sûre Chase. »

Il attrapa mes lèvres, avant de m'interroger du regard une nouvelle fois. En dépits de ma non-réaction, il soupira.

-Comme tu le veux Alexis, ça sera pour une prochaine fois. »

Pour une prochaine fois ? Je tressaillis. J'avais bien compris qu'aux cotés de Chase dans cette maison, cette question de virginité n'était qu'une question de temps. Après ce moment plus que fougueux, je savais qu'il voudrait aller plus loin par la suite. Il ne pouvait pas se contenter que de ça. Il est qui il est, il était Chase Whitton.

Je le sentis ensuite se relever puis partir. Le sourire me quitta. J'aurais bien aimé qu'il s'allonge à mes cotés. Mais il fallait que je me sorte cette nuit de la tête. Ceci ne signifiait rien, c'était juste de l'entrainement pour demain. Un entrainement ? Où avait-il voulu profiter de moi simplement ? Et puis, le fait que je le rejette avant de commettre l'irréparable, l'avait sans doute agacé ? Peut être ne pensait-il pas ce qu'il avait dit tout à l'heure. Je n'étais peut être pas à la hauteur de son expérience.

Les minutes avaient beau défiler, je n'arrivais toujours pas à clore mes yeux. Je sentais que je regrettais déjà cet acte.

Mais lorsque j'entendis la porte de ma chambre s'ouvrir, puis sentis le corps de Chase se placer derrière moi, je frémis. Il sentait à nouveau le savon. Il avait dut être allé prendre une douche. J'étais toujours nue, mais je n'avais pas le courage de m'habiller.

Il m'embrassa tendrement les cervicaux puis s'exclama d'un doux murmure.

« Tu dors ? »

Non, je ne dormais pas. Mais je pense qu'il était plus raisonnable de ne rien rajouter, au risque de répliquer quelque chose qui mouvementerait la situation.

Il soupira en dépit de mon silence mais se rapprocha complètement de moi. Une de ses mains m'entoura la taille. Son souffle s'écrasait contre ma nuque. Une de ses mains s'amusait à caresser mon ventre jusqu'à ce qu'il trouve le sommeil. C'en était diaboliquement bon.

Je souris alors. Il était resté là pour dormir avec moi.

*****

YOO LES COCO.

Bref j'espère que vous avez apprécié ce chapitre croustillant! C'était un entrainement plutôt bien réel hein :)

Chase se montre mignon, doutez vous de sa sincérité où il est totalement sincère?

Que pensez vous d'Alexis?

Des idées pour la suite?

Avez vous trouvé la scène choquante? Si oui, eh bien je modifierais.

Les premières phrases du chapitres sont volées à une lectrice qui l'avait dit  en commentaire qui m'avait fais déliré ! Bref mdr.

En ce moment j'en ai tellement marre de tout! L'école, pas mal de potes, les devoirs, les notes. Par contre j'en ai pas vraiment marre d'écrire ahah étrange.

Bref j'avais juste envie de le dire. Mais vous inquiétez je suis pas dépressive.

Priez pour moi pour que Jeudi je me débrouille bien pour une fois à mon contrôle de maths ! :( Ca serait sympa :( ♥ ( Si ça peut vous motiver de savoir que les maths comptent coefficient 9 dans mon bulletin et que si j'ai pas la moyenne, je le sens profondément :))))) ) Je raconte trop ma vie.   ALLEZ KISS A CE WEEKEND !