Chapitre 12
PDV Jellal:
Une semaine s'était écoulée depuis mon évanouissement, cette situation avait entraîné beaucoup d'évènements. Le plus marquant avait été ce baiser, je m'en souvenais comme ci c'était hier, de la sensation de ses lèvres contre les miennes, de son corps collait au mien, de l'eau chaude coulant sur son visage tandis qu'elle me regardait ahurie. Ce baiser m'avait procuré un cocktail de nouveaux sentiments. Il y avait ce mélange étrange de joie, la joie d'avoir pus goûter à ses lèvres pulpeuses et sucré comme du miel. Et la frustration, d'avoir dû me séparer d'elle pour la laisser me fuir. Je ne savais comment décrire cela, je ne pouvais pas nier le désir qu'Erza me procurait mais j'étais sur qu'il ne s'agissait pas que d'une simple attraction physique comme avec mes autres maîtresses. Elle, elle était différente, mais pourquoi elle était différente? Qu'est ce qui la rendait si spéciale? Tant de questions qui resteront sans doute sans réponses pendant un moment.
Moi, Jellal Fernandez, étais à présent incapable de faire face à une femme que j'avais embrassé. Cela faisait une semaine que cette personne m'évitait, ne me parlant que quand il le fallait et qui n'osait même plus me regarder dans les yeux. Ce qui me dépassait le plus était son comportement envers moi, faisant comme ci rien ne c'était passé. Je n'arrivais pas à la comprendre surtout quand elle m'ignorait et parlait à un autre avec amabilité. A force d'y réfléchir je n'arrivais même plus à travailler, chaque fois que je la voyais il y avait les mêmes questions qui me hantaient.
D'ailleurs, personne n'osait venir me parler depuis deux jours car, selon eux, j'étais d'humeur massacrante. J'essayais tant bien que mal à me plonger dans le travail afin de penser à autre chose l'espace d'un instant. J'enchainais les documents, rendez-vous d'affaires et réunions, à une vitesse folle car je comptais bien partir en voyage d'affaire au plus vite. Pourquoi me diriez-vous ?
En effet, j'avais bien l'intention de profiter de ce voyage pour être enfin seul avec ma secrétaire sans qu'elle ne puisse s'échapper cette fois ci.
Avant tout cela, je devais finir de clôturer les dossiers concernant la nouvelle collection qui avait été retardé par ma faute, préparé les projets marketing pour les présenter à nos associés et ainsi pouvoir diffuser les ventes dans de nouveaux pays. Car nous devions absolument gagner le marché de la haute couture de Caellum et de Bellum, bien que nous étions la marque la plus vendu, la compagnie Belserion, elle, gagner de plus en plus de terrain surtout depuis leur changement de PDG. C'était une femme redoutable qui avait réussi à toucher les plus grands adeptes de la mode avec son style décalé tout en proposant de la diversité dans ses collections s'adressant autant aux fashionistas qu'aux grand public. C'était ce qui avait plu a l'industrie de la mode, ainsi qui aurait pensé qu'une pièce étant apparu dans un défilé de mode puisse être porté par monsieur ou madame tout le monde.
Après une énième réunion, j'avais quitté la salle de conférence pour aller m'enfermer dans mon bureau. Derrière moi, Erza semblait marcher aussi lentement que possible cherchant toujours à m'éviter. Arrivé dans le vestibule, j'avais finalement décidé de ne pas aller tout de suite dans mon bureau, ayant besoin d'air frais pour m'aérer l'esprit et le meilleur endroit de la compagnie pour cela était le toit. Je regardais la vue sur Magniolia, d'ici on avait une vue sur l'ensemble des grattes ciel de la ville. Au bout de quelques minutes, je voulais prendre une cigarette dans la poche intérieur de ma veste, mais j'avais décidément oublié que je n'avais plus cette habitude. Cela faisait un moment depuis que j'avais décidé d'arrêté de fumer, avant je le faisais pour être comme les autres puis c'était devenu une douce habitude à double tranchant.
Une trentaine de minutes plus tard, j'entrepris de descendre pour retourner dans mon antre. Pendant ce temps, mon aimable secrétaire avait le nez dans un dossier et ne me prêta pas plus d'attention que depuis ces derniers jours, je l'entendis juste pousser un long soupir de soulagement au moment où la porte de mon bureau se referma. Je ne la comprenais peut être pas, mais je savais ce que cela signifier.
Le reste de la journée passa rapidement, je m'arrêtais souvent pour l'observer qui travaillait d'arrache pied sur les dossiers que je lui avais envoyé. J'avais tout fais pour la garder un peu plus longtemps, allant jusqu'à même lui renvoyer ce qu'elle avait déjà vérifié un peu plus tôt en lui demandant de le faire une nouvelle fois.
Mais aux alentours de dix neuf heures, Erza quitta les bureaux à mon plus grand regret. Pendant plus d'une heure j'étais resté là, dans mon bureau, à observer sa chaise maintenant vide sans même avoir eu la force de reprendre le travail qu'il me restait. Un peu après, j'avais moi aussi pris le chemin de la sortie. Au lieu de rentrer directement au manoir, je pris la direction d'un club privé huppé, ce soir j'avais besoin de boire un peu et de penser à autre chose. Comme à mon habitude j'avais pris place au bar, le barman me servit un verre de whisky sec tandis que derrière moi un groupe de personnes se déhanchaient au rythme de la musique. Trois verres plus tard, une femme vint à coté de moi avant de me chuchoter quelque chose dans le creux de l'oreille. Elle m'emmena dans une pièce un peu éloigné de l'agitation, je vis le directeur du club qui vint me serrer la main avant de demander à ce que je sois emmener dans une chambre VIP.
Nous avions commencé à parler tranquillement en buvant un verre de liqueur, puis elle avait commencé son pathétique numéro de charme. Elle me poussa sur le lit et se mit à califourchon au dessus de moi, et débuta son striptease. Mais avant qu'elle n'ai pu enlever quoique ce soit d'autre je me relevais rapidement en la poussant sur le côté. Je la regardais rapidement et sentis que je n'avais aucun plaisir. Bien qu'elle était jolie, il n'y avait pas ce petit truc comme chez...Erza.
Ravalant avec difficulté ma salive, je me sentais coupable d'être venue dans ce club et d'avoir voulu coucher avec une autre femme. Réalisant ce fait, la seule qui était dans mon esprit était Erza, elle était la seule qui me hantait et ce juste avec un baiser. Je m'étais rapidement mis en colère contre moi même, et personne d'autre. Je ne pouvais en vouloir à Erza, elle n'y était pour rien, c'était moi qui avait pris l'initiative de l'embrasser. Je ne pouvais non plus en vouloir à l'hôtesse d'avoir fait son travail, c'était moi qui voulais penser à autre chose et venir ici n'était pas la meilleur des idées. Si je voulais juste boire j'aurais pus le faire au manoir. Arrangeant mes vêtements, je pris une liasse de billets dans la poche intérieur de ma veste et le jeta sur le lit. L'hôtesse me regarda et devint pâle.
-Je ne suis pas d'humeur, prenez ça en compensation. Dis-je en sentant un rictus sur mes lèvres.
-Mais... est ce que j'ai fait quelque chose de mal? Vous n'aimez pas? Insista t-elle.
-Non, vous avez juste fais ton travail. C'est moi qui fait n'importe quoi!
-Quoi? C...Comment ça? Questionna t-elle avec des yeux ronds en remettant ses vêtements.
-Laissez tomber, ce ne sont pas vos affaires, c'est personnel.
-Je suppose que vous passer une mauvaise passe... euh...
-Je veux être seul pendant un moment,...
Sans un mot elle sortit la tête baissée en refermant la porte doucement, j'entendis par la suite un brouhaha qui m'empêchait de réfléchir à la situation. Je sortis irrité en ouvrant la porte d'un coup ce qui fit sursauter le groupe de personnes entassaient dans le couloir. Je vis alors l'hôtesse de tout à l'heure faire face au directeur, celui-ci semblait être en train de la sermonner.
-Excusez-nous Monsieur Fernandez, nous ne voulions pas vous déranger. Fit il en s'inclinant.
Je ne fis aucun commentaire et allais rentrer dans la chambre quand je remarquais que l'hôtesse était en pleurs.
-Toi...Dis-je en désignant l'hôtesse. Viens!
Elle me regarda surprise et me suivit dans la chambre, je retournais calmement à ma place et l'invitais à s'asseoir sur le fauteuil d'en face. Il y eu un long silence avant que je ne prenne la parole, je voulais seulement parler à quelqu'un.
-Quel est ton prénom?
-R... Risley
-Bien, Risley. Si cela ne te dérange pas j'ai besoin de parler à quelqu'un.
-Euh...Non cela ne me dérange pas. Répondit-elle surprise.
-Il y a un problème?
-Non, c'est juste surprenant. D'habitude quand nous avons un client, nous parlons un peu de lui en le faisant boire puis nous allons au lit et la soirée se termine ainsi.
-Je n'ai pas envie de coucher avec qui que ce soit.
-Oh...Je vois! fit-elle avec étonnement.
Après cette brève discussion, il y eu de nouveau un blanc où je ne cessais de regarder le sol en réfléchissant.
-Je sais que ce ne sont pas mes affaires, mais vous semblez préoccuper par quelque chose. Se risqua t-elle.
-Hum...
-Je sais que je ne suis qu'une personne vulgaire, une femme qui vend son corps mais si vous voulez parler de ce qui vous préoccupe je pourrais peut être vous aider.
Lentement, je relevais la tête pour la regarder droit dans les yeux.
-Vous ne devriez pas vous rabaisser comme cela, une femme comme un homme est libre de faire ce qu'elle/ il veut. Vous n'êtes pas vulgaire, être hôtesse est un métier. Je vous l'accorde c'est pas le métier le plus digne, mais c'est un choix qui vous appartient à vous. Je n'ai ni le droit ni l'envie de vous juger.
Elle me regarda avec étonnement pendant quelques minutes, puis me remercia en ravalant quelques larmes.
-C'est une femme. Dis-je en brisant le court silence qui c'était installé.
-Quoi?
-Je suis préoccupé par une femme.
Ne disant plus rien et me regardant avec calme, elle écouta attentivement ce qu'il c'était passé cette dernière semaine. Bien entendu j'avais omis quelques détails.
-Si j'ai bien compris, vous avez embrasser cette femme pendant que vous étiez malade, et à partir de là elle a commencé à vous ignorer. Enfin vous vous parlez seulement quand il y en avait besoin.
-Exactement...
-Pour vous, ce baiser, était-ce simplement un désir, un fantasme?
Vous l'avez embrassé car vous le vouliez vraiment où simplement car sur le moment vous étiez malade et vous aviez un peu l'esprit embrouillé?
-Je ne sais pas...
-Car si j'étais cette femme, je me serais aussi poser plusieurs questions. Mais le plus important maintenant c'est de se demander si ce baiser n'était pas qu'une « erreur ».
-Ce n'était pas une erreur! Oui je l'ai fait sur un coup de tête car le moment est venus de lui même mais je ne regrette absolument pas. J'ai adoré notre baiser, c'était différent de ceux que j'ai eu avec mes conquêtes.
-Je crois que vous avez alors votre réponse. Fit-elle avec un grand sourire. Le seul conseil que je peux vous donner maintenant c'est de suivre votre coeur et de mettre les choses au clair avec cette personne.
Elle se leva ensuite, s'inclina et murmura de simple « au revoir » avant de sortir de la chambre. Je partis à mon tour, perdu à nouveau dans mes pensées voyant les choses différemment. Elle avait dit « vous avez alors votre réponse », mais quelle réponse?
À minuit passé, Midnight vint m'accueillir entendant ma voiture, il me regarda avec inquiétude sans faire de commentaire. Je ne pouvais lui en vouloir d'être inquiet après tout ces derniers jours je lui avais encore fait une frayeur.
-Je ne veux pas de petit déjeuner demain, je préfère te voir te reposer un peu de même que les autres. Vous commencerez tous plus tard demain.
-Bien Monsieur. Ah, Mademoiselle Scarlet a appelé il y a quelques minutes.
-Pourquoi n'a t-elle pas essayé de me joindre directement?
-Elle m'a dit qu'elle l'a fait mais que vous ne répondiez pas. Elle a appelé aux bureaux et sur votre portable.
-Quoi? Mais je n'ai pas reçu...
Je ne finis même pas ma phrase quand je vis qu'elle avait effectivement tenté de me joindre, un rictus se forma sur me lèvre. Elle m'ignorait depuis une semaine et quand elle daignait enfin me parler je ne lui répondais pas. La situation était désespérante et c'était peu de le dire.
-Et que voulait-elle?
-Elle voulait vous dire que le voyage était confirmé et prêt, elle vous a envoyé tout les détails par mail. Le voyage aura lieu plus tôt que prévu, si j'ai bien compris vous partirez demain très tard dans la soirée.
-Pourquoi si tôt?
-Il semblerait que vos futurs associés aient pus s'arranger pour être libre cette semaine, de plus cela est avantageux pour tout le monde.
-Hum, je vois. Je te laisse préparer ma valise, il me faudrait assez de vêtements pour environ une semaine de voyage. Met moi des vêtements léger et des costumes. Ensuite va te reposer.
-Bien monsieur.
Midnight alla directement faire ce que je lui avais demandé tandis que je me dirigeais vers mon bureau pour voir le mail envoyer par Erza. Comme prévu de sa part, elle avait aussi prévenu l'équipe d'aviation afin de préparer le jet et avait réservé dans les meilleurs hôtels. Je vis alors qu'il y avait deux chambres, une simple et le penthouse. C'était à cet instant précis qu'une idée me vint en tête, mais il ne fallait pas que je me fasse prendre. Je mis alors mon plan en place sans avoir de remord et avais plutôt un sourire jusqu'aux oreilles. Cette fois ci, Erza ne pouvait en aucun cas m'échapper ni même m'ignorer.
Le lendemain c'était heureux que j'allais au travail, tout les employés me regardaient avec incompréhension et pour cause c'était la première fois que je venais au travail en souriant comme un con. Mais cela m'importait peu, autant passait pour un con, ce soir Erza serait seule avec moi dans le jet et n'aura aucun moyen de s'échapper. Sans compter qu'à l'hôtel une charmante surprise l'attendait. Une fois dans le vestibule, j'essayais d'éviter tout comportement suspect et repris un visage fermé marchant rapidement vers mon bureau. Et pour la première fois depuis une semaine, Erza posa son beau regard noisette sur moi et elle se mit à rougir quand elle remarqua que nous nous regardions dans les yeux. L'instant dura quelques minutes avant qu'elle ne baisse la tête en soufflant un bonjour que je répondis, mais la voyant mal à l'aise je ne la dérangeais pas plus et entrais dans mon bureau.
Le reste de la journée passa rapidement, il restait quelques dossiers à finir, je n'avais traité que les plus urgent prévoyant de faire le reste plus tard. Nous avions du aussi avancé rapidement avec le plan marketing qu'il restait à finaliser mais j'avais confiance en mon équipe pour savoir qu'ils sauraient le faire sans problème. J'avais ensuite libéré Erza plus tôt lui disant d'être prêtre pour vingt deux heures et de ne pas oublier son passeport, son ordinateur et sa valise.
À l'heure prévue, nous étions venus la récupérer et en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire elle s'installa à l'avant prés de Sho. Nous partions ensuite vers une piste un peu éloigné de l'aéroport, Erza regarda les alentours avec interrogation.
-Pour prendre les jets c'est ici. Répondis-je avec un léger sourire.
-Oh je pensais que c'était directement à l'aéroport.
-Non car nous gênerons les autres avions, de plus on ne peut pas se déplacer sur une piste d'aéroport sans autorisation.
Elle ne répondit pas et sortit de la voiture qui était maintenant à l'arrêt, ne sachant quoi faire elle attendit patiemment que les bagages soient chargés et que je finisse de parler aux pilotes et techniciens. Nous primes ensuite place dans le jet, voyant ma douce secrétaire fatiguer je lui proposais d'aller se reposer dans la chambre qui se situé prés du cockpit après m'être assuré que l'on pouvait se déplacer. Bien entendu, celle-ci refusa d'une traite me rappelant au passage qu'il s'agissait de mon lit mais après un long débat où j'avais finalement eu le dernier elle se résigna à prendre le lit.
-Et vous, vous n'allez pas vous reposer?
-Si mais je vais faire une petite sieste sur ma chaise. Il n'y a qu'un seul lit et je préfère que vous l'utilisiez.
-Je comprend, mais si vous sentez que ce n'est pas confortable vous pouvez venir prendre le lit. Après tout c'est VOTRE lit. Insista t-elle encore une fois.
-Non ce ne sera pas nécessaire. Je pense que je ne vais pas pouvoir dormir.
Entendant ma réponse elle hocha la tête et parti en direction de la chambre, n'oubliant pas de prendre son bagage à main au passage. Je l'observais disparaître de mon champs de vision, à ce moment la comme j'aurais voulu que ce couloir soit plus long.
Bien que je voulais lui parler du baiser comme me l'avait conseillé Risley, je dus patienter encore un peu. Cela se voyait qu'elle était fatiguée et ce genre de conversation ne se finissait pas en deux minutes. J'avais tellement de chose incompréhensible en tête pour le moment, dont le plus important était de savoir pourquoi elle avait eu un comportement si étrange. Si elle n'avait pas aimé notre baiser je ne lui aurais pas voulus si elle me l'avait dis, mais j'aurais au moins préféré un rejet que d'être ignoré. Quand j'y repensais, elle ne semblait pourtant pas détester le baiser car elle y avait répondu timidement.
Et voila que j'étais repartit dans mes réflexions, sans m'en rendre compte le vol était passé à une vitesse incroyable. Erza était revenus à sa place, c'était à dire sur le siège en face de moi, seulement une quarantaine de minutes avant que l'on nous annonçait la descente de l'avion pour l'atterrissage. Pendant ce temps, nous primes rapidement notre petit déjeuner et Erza m'indiqua avec sérieux le programme de la journée.
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Salut tout le monde,
Voilà le chapitre que j'avais promis. Je m'excuse normalement il aurait dû arrivé en mi-juin mais suite à quelques petits soucis j'ai du le retarder. J'ai eu mes rattrapages en début juillet et là personne qui m'aide a corriger était occupé.
J'espère que la suite vous plaira, je travaille en ce moment sur les prochains chapitres et en parallèle sur une nouvelle fanfiction que j'espère pouvoir publier.
Bonne soirée à tous et à bientôt ^^.
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