Chapitre 5
Point de vue de T/p
Après ma journée de cours et après avoir recasé ma dispute avec Bakugo toute la journée, j'avais vraiment besoins de me détendre et c'est Clara qui eu l'idée qu'on n'aille toute les deux à une fête organisée par une fraternité du campus. Je m'étais battu avec mon père pour pouvoir y aller, il m'y avait autorisé seulement si Bakugo m'accompagne ce soir pour ma sécurité.
Je trouvais cette situation vraiment frustrante, j'étais une adulte majeur, encore en étude et je devais demandé l'autorisation à un père que je ne connais que depuis trois semaines pour aller à une fête avec ma meilleure amie. Tout ce que je voulais c'était profité de ma vie étudiante mais cela est presque impossible. Encore frustrée par toute cette situation, je me prépara pour la fête de ce soir, mon dévolu ce porta sur une petit robe blanche fluide qui m'arriver à mis cuisses avec mes Doc Martens noir. J'attachais mes cheveux et me maquiller légèrement avant d'envoyé un message à Clara pour lui dire que j'étais prête.
Je me rendis jusqu'au salon où le blond m'attendais, vue sa tête cela ne lui faisait pas plaisir de m'accompagnai à ma soirée. Il tourna son visage vers moi et ses yeux ce posèrent sur mon corps. Il scanna la moindre parcelle de ma peau, son regard était à la fois brûlant et dur me perturbant. Je pouvais sentir mes joues chauffer. Pourquoi est-ce que je ressens ça ? Pourquoi me regarde-t-il ainsi ?
- Tu es prête ? Va dans la voiture ! M'ordonna-t-il sans que je puisse répondre et détourna le regard.
Je sens que l'ambiance vas être sympas entre lui et moi dans la voiture. Et effectivement j'avais raison, l'ambiance dans l'habitacle était tendu, l'aire était à couper au couteau. Ni lui, ni moi ne voulions prendre la parole, je crois que s'il aurait pu m'abandonnai sur le bord de la route, il l'aurait déjà sûrement déjà fait.
Après une bonne demi heure de route, on n'arriva enfin sur le lieu de la soirée, c'était l'une des fraternité du campus qui avait un grand manoir. Il y avait déjà pas mal d'étudiants qui étaient en train de faire la fête, de picoler, de se droguer, de s'embrasser et même parfois tout ça en même temps. Le rythme de la musique me parvient aux oreilles alors que j'étais encore dans la voiture. Je sortis de celle-ci pour voir Clara qui vient me faire un câlin avant de regarder Bakugo alléchée par ce qu'elle voyait. D'ailleurs ce n'étais pas la seule, plusieurs filles et même des mecs étaient clairement en train de baver. Je pouvais clairement le comprendre, ce type est carrément sexy sans compté le charisme qu'il dégage dommage que son sale caractère gâche tout.
J'ignorai tout les regards qu'il y avait sur le blond et moi et je traîna Clara derrière moi pour rentrer dans la maison. La musique s'infiltrait dans mes tympans, tout comme les odeurs d'alcools, de sueurs et de parfums. On n'alla toute les deux vers le bar et on pris chacune deux verres. Quand je me tourna pour tendre le verre à Clara, je vue le blond en train d'embrasser une fille et il n'y aller pas doucement. Je me contentais juste de lever les yeux au ciel et de vider mon verre d'une traite. Puis j'entraina Clara avec moi sur la piste de danse aillant une envie soudaine d'aller danser.
Quelques heures plus tard, j'avais un peu bu sans vraiment être bourrée, j'avais dansé et flirté avec quelques garçons qui étaient plaisant à regarder pour mon plus grand bonheur sans que sa aille plus loin. Je me dirigea vers le bar pour me resservir un nouveau verre mais malheureusement dans la précipitation je bouscula quelqu'un et renversa mon verre sur lui ce qui visiblement ne lui plus pas.
- Putain, tu peux pas faire attention salope ! Me hurla-t-il dessus visiblement bourré, les yeux rouges et n'arrivant à peine à tenir debout.
- Pardon, je suis vraiment désolée ! Je sentais déjà l'embarra prendre possession de mon corps.
- J'espère bien que tu l'ai connasse ! T'a ruiné mon tee-shirt ! Continua t-il à me hurler dessus, faisant naître de la colère en moi. Ok, je lui ai renversé mon verre dessus, mais je ne l'ai pas fait exprès, ce n'est pas la peine de me traité comme une moins que rien.
- Bon, je t'ai dit que j'étais désolée. Tu comptes me gueuler dessus encore longtemps ? J'avais à peine fini de terminé ma phrase qu'il prit son verre et me le reversa dessus amusé par son comportement de gros con.
- Suce ma bite pétasse !
Je tourna ma tête vers Bakugo qui nous regardait sans rien faire à part siroter son verre assit sur le canapé, une nana assise sur ses genoux. Je ne sais pas si ma colère était dû au manque d'aide du blond, au comportement du connard qui était devant moi, à ma propre frustration depuis quelques jours ou un mélange explosif de tout ça mais une chose est sûr je n'allais pas laisser cet abrutis me manqué encore plus de respect.
Une colère sourde pris possession de mon corps, anesthésiant tout mes autres sentiments et mon environnement autour de moi, sans même réfléchir mon genoux rencontra les testicules du débile le faisant couiner comme un chiot avant de tomber à genoux devant moi. Je pris de l'élan et lui donna un nouveau coup de genoux dans le nez le mettant K.O sur le sol devant tout le monde, je pris ensuite un nouveau verre et lui versa dessus pendant qu'il était inconscient sur le sol. Pourtant ma colère n'avait pas diminuer, loin de là.
Je devais sortir prendre l'aire pour me calmer, je délaissa l'abrutis qui était au sol pour sortir de la fête prendre l'aire dont j'avais cruellement besoin. Le pic d'adrénaline était en train de partir laissant place à une crise de panique qui m'empêcher petit à petit de respirer et de me faisant voir flou.
- C'est bon, on peut rentrer ? Le ton blasé de Bakugo ne faisait que m'énerver d'avantage jusqu'à me faire carrément exploser. Je me tourna brutalement vers lui et le désigna avec mon index en furieuse, tapant sur son torse musclé.
- Je peux savoir pourquoi tu n'es pas intervenu pour m'aider ? Hurle-je attirant des regards de curiosité vers nous.
- Je suis là pour t'empêcher de te faire tuer, pas te protéger d'un abrutis qui a trop bu.
- Oh, oui c'est vrai que tu as été très efficace jusqu'à maintenant ! Ah part me rendre complètement dingue je ne vois vraiment pas à quoi tu sers !
- Je te conseil de me parler sur un autre ton ! Me menaça-t-il le regard sombre.
- Ah, ouais ? Et tu comptes faire quoi au juste ? Je savais que c'était une très mauvaise idée de le défier pourtant je n'arrivais pas à m'en empêcher.
- Vas te faire foutre ! Démerde toi pour rentrer ! Sur ces mots, il alla à la voiture, démarra et me laissa toute seule à cette fête pourrie.
Je hurla à la fois de frustration, de colère, de tristesse et d'intercompréhension. Tout les sentiments que j'avais essayé de renfermer en moi au cours de ses dernières semaines étaient en train de refaire surface sans que je puisse y faire quelque chose. Je chassa une larme rageusement de mon visage et décida d'aller trouver Clara pour qu'elle puisse me raccompagné.
J'avais chercher Clara partout dans cette foutue baraque et l'avais appelé une bonne dizaine de fois sans aucune réponse de sa part. Je savais quand elle faisait ça elle était soit en train de ce taper un mec ou une meuf dans sa chambre universitaire. Je peux faire une croix sur l'option Clara pour rentrer. Je souffla de désespoirs, puisque j'ai pas le choix autant prendre le bus.
L'aire était glaciale et c'est pas ma petit robe blanche qui va me tenir chaud. Après une demi heure de marche dans la nuit, avec le vent qui fouettait mes jambes et mes bras nues, je parviens finalement à ce fichue arrête de bus après avoir insulter le blond sur les dix derniers générations de sa famille. Je regarda le panneau d'affichage pour voir les horaires de bus.
- Oh putain de merde ! Cris-je dans la nuit. Pourquoi je hurle ainsi ? Car il n'y a aucun bus de toute la nuit ! Je vais devoir rentrer à pieds.
Je grogna de mécontentement et pris la route pour rentrer sans aucun enthousiasme. Plus d'une heure plus tard, je n'étais toujours pas rentrer et je n'avais pas fait la moitié du chemin et toujours aucune nouvelle de Clara. Je fus aveuglé par des phares d'une voiture, je me couvris les yeux pour me protéger de la lumière quand la voiture ce gara sur le bas côté. Mon estomac ce noua, est-ce que ce type est l'un des psychopathe qui ont tué mes parents ? La portière s'ouvrit et je vis sortir Kirishima, je respira de soulagement, j'avais l'impression qu'un poids quitta mes épaules.
- Je t'ai enfin trouvé T/p, aller viens monte dans la voiture !
Je rentra dans la voiture et la chaleur m'enveloppa comme une bulle protectrice. Le rouquin s'installa côté conducteur et redémarra la voiture. Un soupire d'aise quitta ma bouche.
- C'est un abrutis ton pote ! Hurle-je à Kirishima qui ricana en entendant cela.
- Ouais, il peut ce comporter comme un connard quand il s'y met !
- C'est un connard !
- Il n'a pas eu une vie facile tu sais... La voix du rouquin était lourd de sens mais pourtant j'étais encore en colère.
- ça n'excuse pas tout... Moi aussi j'ai vécu des trucs pas drôle ces derniers jours, mais je ne passe pas mes nerfs sur lui !
- Je crois qu'il va falloir que vous enterrer la hache de guerre et tout les deux !
- Plutôt crever ! Je croisa mes bras sur ma poitrine et bouda comme une enfant.
- C'est marrant quand je lui ai suggéré l'idée il m'a répondu la même chose. Je vue son sourire à travers le reflet sur la vite. Je me contenta de soupirer et de poser ma tête contre la vitre froide de la voiture et ferma les yeux. Avant même que je m'en rend compte, je m'endormis bercer par les ronronnements de la voiture.
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Chatlout à tous, comment allez-vous ? J'espère que vous passez une bonne journée ? 😸😸😸
Que pensez-vous de ce chapitre ? De l'attitude de Bakugo ?
A bientôt pour le prochain chapitre milles bisous 💜💜💜
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