17
Louis: Ne mange pas trop de crêpes! Tu pourrais grossir, Kelly!
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Ces mots m'avaient laisser sur les fesses, le cœur tranché en deux parties dont je ne sais même pas si elles sont égales ou non. Je ne veux même plus le voir en portrait. C'était les paroles de trop. Il allait me le payer très chère. Je vais faire de sa vie un enfer. Il ne mérite pas de me connaître. Un beau salaud, comme il est, devrait être en prison. Je vais le réduire en miette, en poussière. Il ne sera même plus respirer sans avoir mal. Je n'aurais aucune pitié comme il a pour moi. C'en est finit de jouer les pathétiques et fragiles filles. Je vais lui montrer le démon à l'intérieur de moi. Je retourne à table, y dépose mon assiette. Il prend une crêpe et puis une deuxième.
Louis: Comme ça tu ne prendras pas trop de poids.
Je mange les deux autres avant de jeter mon assiette dans son visage. Un bruit de fracas. Je lance mon couteau a travers la pièce. Il a eu de la chance qu'il n'avait fait que le frôler. Il l'aurait eu dans le visage, je ne l'aurais pas aider a retirer et a soigner. Je remonte dans ma chambre, le laissant avec ses débris et des morceaux de porcelaine dans le visage. Je ferme, enfin bloque la porte. Je me déshabille et prend une douche. Je remarque alors que tout les vêtements qu'il a prit, surtout au niveau des sous-vêtements, sont très sexy. Je ne suis pas sa bonne non plus. Il voudrait que je me balades à poil dans le chalet tant qu'il y est. Je ne vais faire office de comble le manque de sexe non plus. Je suis une femme pas un objet. Je ne vais pas me laisser avoir de la sorte. Je me lave. Je mets le mini-short qui rentre un peu dans les fesses, qu'on remonte jusqu'au nombril, avec un demi t-shirt qui s'arrête un peu au dessus du nombril et dont une manche tombe exprès. Je m'allonge sur mon lit, je regarde la fenêtre. Je serais peut-être sortir par là. Je tente l'expérience mais tout ce que je réussis c'est de manquer de tomber alors je retourne dans mon lit. Je débloque la porte de ma chambre. Je passe dans le salon, personne. Dans la cuisine, du sang. Je ne m'inquiètes pas pour lui, c'est bien fait pour sa tête. Il n'avait qu'à pas me rappeler que j'étais grosse avant et que maintenant je suis anorexique. Enfin je ne le suis plus depuis quelques temps. Je vais lui faire tellement de mal, qu'il va aller jusqu'à se mutiler et se faire vomir. Il se retrouvera à ma place et une bonne fois pour toute, il comprendra. Il saura ce que c'est que souffrir. Il deviendra un souffre douleur comme je l'ais été. Je le retrouve dans la cave. Il cherche après une bouteille de vin. Il en trouve une et se retourne vers moi.
Louis: Tu en veux un verre?
Moi: Non. C'est ta tête que je veux.
Louis: Alors prends-la.
Il avait ça d'un ton arrogant qui laissait supposé qu'il avait sa petite idée derrière la tête.
Moi: Tu sais que l'alcool fait prendre du poids?
Louis: Et alors? Ce n'est pas moi qui risque de redevenir gros.
Un nouveau coup dans le cœur, ce n'est pas un couteau cette fois, c'est un marteau. Je le supporte mal, très mal. Il augmente encore le prix de ma vengeance.
Moi: Oui mais tu risques de le devenir.
Louis: Je ne suis pas toi.
Pour lui faire du mal, je m'approche encore de lui, jusqu'à me calée dans ses bras. Il allait m'embrasser que je lui mets deux doigts dans la bouche. Ce n'est pas très propre, mais je vais loin pour le faire vomir. C'est qu'il finit par faire.
Moi: Tu vois ce que je subis chaque jour à cause de toi, par ta faute de tout concentré sur la superficialité.
Louis: Mais tu es folle!
Moi: Non, je suis juste détruite par un ignare alcoolique dont je ne sais même pas comment je peux continuer à l'aimer.
Il en avait que faire des mes mots, de mes belles paroles. Il me giflât tellement fort que ma tête tapa contre le coin de l'étagère en bois. Je fais tombée sa bouteille de vin sans le faire exprès. Je tombe lourdement sur le sol, avec des bourdonnements dans les tympans. Le liquide bordeaux du vin vient se mélanger au rouge de mon sang. Je comptes les secondes qui paraissent interminables avant de m'évanouir, de voir le trou noir qui m'englobe. J'aimerais que ce soit finit maintenant. Que ce soit la dernière fois que je prends une bouffée d'oxygène. Encore 154 heures. Encore 154 heures à espérée mourir avant que cela ne se finisse. Si il se plaint que durant ces 168 heures ont n'a pas put passer du temps ensembles, je lui manger ses bouteilles de vin, ou tout autre substance alcoolisé jusqu'au liquide inflammable, jusqu'au liquide vaisselle.
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