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Ou bien c'est l'alcool ou bien c'est moi, à toi de choisir.

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J'attends une réaction de sa part, il est immobile. Figé comme une statue. Je me demande que si je le touche, il ne se briserais pas en des millions de morceaux. Je suis impatiente d'entendre sa réponse. J'avais décidée de le bouger les fesses et j'y suis arrivée, pourquoi pas lui? Ce n'est pas si facile que ça mais ce n'est pas non plus la fin du monde. Je me demandes combien de verre me cache-t-il pour ne pas que je vois qu'il en consomme autant. La tête qui commence a tourner à cause du cul sec d'y il y a quelques minutes.

Moi: J'attends une réponse tu sais.

J'agite ma main devant son visage. Il ne bouge pas d'un poil, c'est presque si il ne clignerais pas des yeux.

Moi: J'ai été très clair, l'alcool ou moi. Je pensais compter bien que ça à tes yeux. Si tu ne donnes pas une réponse vite, c'est à dire presque tout de suite, je sais déjà lequel tu auras choisi.

Je pars vers la sortie, la valise pas encore déballée dans les mains, je continue jusque dans le couloir. On me tire vers l'arrière, ce qui par la surprise, me fait lâcher ma valise. Je me retrouve collée à Louis sans même pouvoir me dégagée et ne plus sentir cette odeur d'alcool. Je le repousse mais il m'attire encore plus vers lui. Je ne sais même plus respirée. Il me relâche un peu mais au point que je sois capable de partir. Il me tient tellement fermement qu'il commence à me faire mal.

Moi: Lâche-moi tu me fais mal...

Il m'embrasse comme un lion. L'alcool et la cerise comme goût cohabitant dans sa bouche, me donne des hauts le cœur.  Je me sépare de lui, le regarde les larmes aux yeux, droit dans ses pupilles. Une grimace et une mine de dégoût  et de désespérance plus tard, je reprends ma valise et pars vers la sortie. Il est toujours sur mes talons, il lui a fallut du temps comme même pour s'apercevoir que j'avais bouger. Devant la porte d'entrée, je tourne la poignée mais la porte est fermée à clé.

Louis: Tu croyais pouvoir partir.

Son ton sarcastique me mettant dans une rage folle. Les dents serrées, je m'affale dans le canapé de tout mon long. La tête dans le coussin. Je maudis le monsieur qui a inventé les clés. Je me rappelle alors que la chambre de Louis possède une aussi une clé. Je cours avec ma valise dans les mains vers cette chambre. J'essaye de l'ouvrir mais elle est fermée aussi. Je tourne la tête et je vois Louis avec une clé dans la main, il l'agite à hauteur de son visage, plus vers l'avant que celui-ci. Je pousse un soupir d'exaspération. Il aura presque toujours un coup d'avance sur moi. Il met la clé dans sa poche. Je m'approche de lui, lui fait un câlin, avec sensuellement une descente de ma main vers la poche avant de son jean usé. Je retire la clé qu'il empoigne mon poignet avec force et rigidité. Je perds espoir, encore une fois il m'a attraper sur le coup.

Louis: N'essaye même pas, je ne suis pas saoul.

Moi: Tu dois faire un choix, c'est moi qui part ou c'est l'alcool qui déguerpit.

Louis: L'alcool part, tu restes. De toutes façon que je choisisse ou non l'alcool, tu es obligé de rester encore 164 heures avec moi, que tout les deux.

Mon sourire qui était apparu quand il avait dit qu'il me choisissait avait disparu. Un démon de ce monde est surgit en lieu comme un ange voudrait surgir en moi.

Louis: Viens on va préparer le diner.

Je le suis dans la bâtisse en bois. On prépare le dîner. J'ai cette peur qu'il sorte un verre et boit un coup. On s'assoit devant la télévision, chacun à un côté du canapé. Je lui vois partir dans la cuisine. Il revient avec un verre d'un breuvage alcoolisé. Mon âme dégringole encore et encore jusqu'à ne plus être qu'un tas d'os. J'aimerais tellement que se soit moi et non l'alcool qui l'enivre.

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Chapitre 15! Que pensez-vous de ce chapitre? Que pensez-vous des comportements des héros?

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