07

Pendant 7 longues années, j'ai travaillée la dessus, la fierté d'avoir eue un plan qui allait marcher à 100% est pondu.

|--------------------------------------------|

Je le regarde, il ne comprend pas grand chose. Il doit sûrement être aussi épaté par mon travail, toutes mes recherches, tout les risques que j'ai entrepris. Je ne suis pas modeste, ni prétentieuse, mais j'aime mon plan, 7 années a ramées pour enfin en avoir un de concert et faisable surtout et qui ne prends pas trop de temps non plus. Je ne veux pas m'éterniser. Un jour je mourrais bien, alors que se soit maintenant ou non mon plan marche. Le but est déjà atteint, il n'y a plus qu'à jouée encore et encore comme dans le passé et j'y arriverais. Il est tombé dans mes bras, maintenant c'est à mon tour de lui en faire baver. La roue finie toujours par tourner, que se soit dans le bon sens ou mauvais sens autant pour moi, que pour toi. La vie est une suite de problème qu'on ne serait maîtriser. La sciences ne sait rien y faire, ne sera jamais rien y changer. La vie est telle qu'elle est une suite d'imprévu qui sont inchangeables, presque préconçus. En faite les imprévus de la vie, elle les connaît mais nous non, donc pour nous se sont des imprévus alors que pour elle c'était déjà prémédité. Je regarde, sa visage se dissocié quand il voit des photos du groupe.

Moi: Je vous surveillant tous mais Louis en particulier. Je sais des choses, que les photographes et autres non pas, ou que vous avez payez pour qu'ils se taisent, pour éviter des scandales. Le problème dans tous ça, c'est que moi je sais, et que ce n'est pas avec de l'argent que je ne dirais rien. On ne peut pas m'acheter, avec rien. Je parle dès que j'en aurais envie. C'est pour cela qu'aucun de vous ne devriez faire de faux pas, ou sinon il faudra tout assumer, mais aussi avouer. Si vous avez peur, avouez déjà maintenant avant que je ne le fasses. J'ai des contacts dans le journalisme, des personnes qui seraient ravis de recevoir des informations assez pimentées et épicées, et vous ne saurez pas tous les achetés surtout que la plus part ne se laisse pas avoir. 

Harry: Comment...Comment as-tu sue avoir toutes ses informations...?

Moi: Mon cerveau, la technologie, les neurones, la volonté, les blessures du passé, l'envie de vous détruire.

Harry: Mais pourquoi nous? Et pas seulement Louis? Je ne t'ais rien faits.

Moi: C'est dans ce moment-là que l'on voit les vrais amis, ceux qu'on appelle lâcheur. Tu fais plus attention à ta petite personne plutôt qu'à ton ami. Tu te sauves au lieu d'affronter avec lui.

Harry: Comment tu peux dire une chose pareille?

Moi: Tu ne m'as rien fait, oui certes. Tu devrais faire attention à tes mots. Et pas seulement Louis? Il sera content d'entendre ça, comment tu le laisse dans ces problèmes en voulant éviter.

Harry: Ces problèmes sont aussi les miens,  mais pourquoi nous directement avec, autant de recherche.

Moi: J'ai creusée dans votre passé, et ce n'est pas tout rose non plus. Vous êtes un peu comme lui, toujours faire souffrir les autres en public et puis quand vous êtes seuls, vous savez lui montrer tout l'amour du monde à cette personne. Juste l'image, la honte et la peur de ne être reconnu parce que vous vous promenez avec une personne qui ne correspond pas aux critères et exigences de votre monde de pourri et corrompu.

Harry: Tu as une vision assez primitive de notre monde. Mais pourquoi on ne t'a rien fait.

Moi: Louis m'a fait du mal. Comment lui en faire aussi? S'attaquer à lui ou aux personnes qui lui sont proches. Si vous souffrez, il souffre pour vous aussi, il est détruit si vous êtes mals,  parce que lui il vous aime, lui serait prêt à mourir pour vous. Si je n'arrivais pas à l'atteindre, je devais vous atteindre vous, si je voulais prolongée et approfondir, je vous attaquais aussi.

Harry: Je comprends mieux. Je ne crois qu'il soit capable de tous ce que tu as dits.

Moi: Tu ne le connais pas assez pour savoir tout ce dont il est capable. Tout ce qu'il serait capable de faire pour son image. Il donne l'impression qu'il s'en fout mais dans le fond c'est ce qui l'importe le  plus, c'est comme si sans ça, il ne savait plus vivre. Il est superficiel.

Harry: On ne connait pas le même Louis alors.

Moi: Pourtant si, c'est bien le même. Sauf qu'à toi, il t'a montrer sa bonne personnalité, à moi sa vraie nature, son mouton noir.

Harry: Je ne l'en crois pas capable.

Moi: Pose-lui les questions, et regarde sa réaction. Si il déglutit, chipote avec ses doigts, joue avec quelque chose, ou reste de marbre ou même se défend trop. Tu auras ta réponse. Si il reste naturel, c'est qu'il sait très bien caché mais si tu vois une étincelle de peur et une autre d'inquiétude dans ses yeux, c'est que ce que je dits est vrai. Dans tous les cas, tu pourra douter, mais moi je saurais que c'est vrai et c'est ce qui compte le plus.

Harry: Je verrais, en attendant tu vas me faire le plaisir de venir avec moi.

Moi: Pour quelle raison?

Harry: Je vais t'emmené à ton rendez-vous.

Moi: Non.

Harry: Pourquoi?

Moi: Je vais te dire une preuve de sa superficialité.

Harry: D'accord.  

Moi: Regarde ma tenue.

Harry: Oui et?

Moi: J'étais comme ça quand il venu chez moi. Tu sais pourquoi il ne m'a pas pris comme même?

Harry: Non.

Moi: Cette tenue. Si j'avais été en robe, il m'aurait emmenée coute que coute.

Harry: Tu te trompes.

Moi: Et comment?

Harry: Tu ne l'as pas vu quand il est rentré tout à l'heure.

Moi: Je vais me préparée, parce que si je vais là-bas comme ça, il va le rejeté.

Harry: Non, tu reste comme ça, tu verras que tu te trompes.

Je le suis jusqu'à sa voiture garée devant chez moi. On arrive quelque part, avec les vitres teintées, je ne vois presque rien, que la lumière des lampadaires. Je sors de la voiture, on est au stade. C'est ici qu'il, a 11 ans, m'avait demandée de sortir avec lui. J'entre dans ne stade. Je vois que tout a été décoré, un chemin de pétale de rose pour arriver jusqu'à une table avec des bougies parfumées, des pétales aussi, des assiettes avec aussi des couverts. C'est très romantique. Je le vois assis sur la table. Il relève la tête vers moi, il me sourit et puis me regarde de bas en haut et retourne le regard vers son assiette. J'ai très vite compris. Son beau costard va souffrir. Je ne vais pas l'épargner. A force de trop jouer au jeu de la superficialité et de l'apparence, on se fait prendre à son propre jeu dès que la personne, en l'occurrence moi dans ce cas-ci, apprend ou comprend, le résultat ne sera pas celui désiré.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Voilà le chapitre 8! Que pensez-vous des informations qu'elle pourrait avoir de très compromettantes? Que pensez-vous de ce qu'elle a dit à Harry? Que pensez-vous qu'elle va faire pour lui faire du mal? Que pensez-vous des vérités prononcées par Amélia? Est-ce que leur relation va s'arranger?

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top