02

Je commence, d'abord les questions de base, ensuite les plus complexes et je finirais en beauté avec les gênantes. Louis aura besoin de quoi se cachée. Ils ne sont peut-être pas obligés de dire la vérité mais moi je la descellerais. Je suis très douée dans ce genre de chosen assez perspicace et persévérante, j'arrive toujours à mes fins. Je n'ai peut-être pas tout ce que je veux, tout ce que je désire, mais en me battant, le résultat parle toujours pour moi. On n'est jamais lis servit que par soi-même, alors je me sers de son futur malheur, ma médisance coule à flot dans mes veines. Je suis en feu, je vais le brûlé comme un incendie dans une forêt sèche. Jamais je ne cesserais. Les questions banales finies, je passe à celle sur la vie privée et les gênantes, surtout celles ayant un rapport avec moi. C'est le schéma classique de la journaliste, les banales puis les plus pimentées. J'ai étudier le journalisme pour le devenir, j'étudie tout les principes, les questions qui reviennent le plus souvent.  J'ai fais énormément de recherche, trouver tout les moyens  accessibles, tout les plans jusqu'à l'imaginaire. J'ai passée plusieurs années à tout préparé, j'ai le droit avoir le mérite de réussir. Je n'ais pas fait tout ça pour rien, même si le but est mal, il doit être atteint.

Moi: Avez-vous déjà humilié quelqu'un à l'école?

Ils me regardent tous assez bizarrement, pas très à l'aise. Louis déglutit mais ne laisse rien paraître. Il a humilié tellement de personne avant Kelly, qu'il ne se souvient peut-être pas d'elle. C'était il y a déjà plusieurs années, lorsqu'il n'avait encore que 17 ans et moi 15. Maintenant il en a 23 et moi 21. La rancune, l'égoïsme présent depuis maintenant 7 ans, ne m'ont jamais quittés, toujours encrés dans ma tête. Cela fait depuis mes 15 ans, que je prépare mes plans. 7 ans, de dure labeurs, de larme, d'essoufflement, de souvenirs, de crainte, de peur, d'adaptation, d'acheminement de problème, de guerre avec moi-même, de sacrifice, d'obsession, de relâchement, de désespérassions. J'ai toujours eue la foi en moi. Quand je pense qu'on est sortit ensemble lorsqu'on avait 11 et 9 ans. Jamais je n'aurais pu croire qu'il changerais comme ça, du tout au tout, surtout en négatif.

Moi: Alors?

Harry: Oui mais je m'en suis voulu alors je me suis excusé la semaine suivante.

Liam: Oui mais quand j'ai vue cette fille pleurée, je me suis précipité pour me faire pardonner.

Zayn: Oui, mais j'ai réussi à me faire pardonner.

Niall: Oui, mais j'ai immédiatement réagit pour ne pas qu'elle soit mal.

Un silence s'installa, Louis ne parlait pas. Je voyais son malaise, je vais l'approfondir.

Moi: Louis?

Louis: Oui.

Moi: Pas plus.

Louis: Non, je ne veux pas en parler.

Moi: Vous avez peur?

Louis: Non, c'est juste que j'ai fait du mal à une fille et que j'aimerais  me faire pardonner mais elle est morte.

C'est là que le choc se fit littéralement en moi. Kelly est morte, dans le vrai sens. Il y a sa tombe dans un cimetière. Ma famille, mes parents, qui sont les seuls en vie, je suis fille unique, ont décidés de me faire changer de prénom pour que je fasse un nouveau départ. Un secret bien gardé, que personne ne connait, et dont personne ne doute.

Moi: Je suis sincèrement désolée mais, sans trop d'indiscrétion, elle s'appelait comment?

Louis: Kelly.

Moi: Kelly comment?

Louis: Kelly, je ne vous le dirais pas. J'ai perdu l'amour dans les conneries. Les garçons pourront témoignés de mon mal-être quand j'ai appris sa mort, après X-Factor. On est même sortit ensemble mais comme un con, je l'ais larguée et abandonnée mais aussi humiliée juste parce qu'elle était un peu rondelette.

Je ne l'aurais cru dire qu'il l'aimait. Il faut que je me ressaisisses, je ne suis plus Kelly, je suis Amélia et en ce moment même Constance.

Moi: Désolée. Kelly doit veillée sur vous de là-haut, j'en suis sûre. Cela s'arrête ici. Si vous avez besoin de parler contactez-moi, même au milieu de la nuit, j'ai un diplôme aussi en psychologie.

Je leur serres la main, remballes mes affaires. Je finie à peine qu'ils sont déjà partit. Je pars chez moi, avec mes notes, c'était avant tout cette question précise que je voulais savoir. Je vais aller à ma tombe cette après-midi. Je vais m'apporter des fleurs, pour faire comme si ce n'était pas moi. Je retourne chez moi abord de ma voiture, la tête assez perturbée. Je retourne dans les quartiers privées dans la périphérie. Je rentre chez  moi, et entame de nouveau mes recherches. Je ne suis pas prête d'arrêter maintenant, ce n'est que le commencement.

*Côté Louis*

J'avais des doutes depuis longtemps sur la mort de Kelly. J'ai la sensation d'avoir la confirmation sur mes doutes. Cette journaliste, Constance, lui ressemblais étrangement.  Je suis presque sûr qu'elle a juste changée d'identité et qu'elle voulait se faire passée pour morte. Elle voulait encore une fois faire son intéressante et sa victime. Je l'aime mais l'insulte. Quand j'ai dit que je regrettais et que je l'aimais toujours, cela n'a pas été faux. Je suis super vulnérable pour tout les sujets se rapprochant à elle. Je vais allé sur sa tombe, lui apporter des fleurs. Je savais que ce n'était pas une vraie journaliste. Mes soupçons sont presque confirmés. Je suis soutenu par les gars, qui sont du même avis que moi. Je pars acheté un bouquet de fleur, en restant discret. Je ne suis pas pourchassé par des photographes et des fans, alors j'en profite. Je pars directement vers le cimetière. J'arrive devant sa tombe, je connais le chemin par cœur jusqu'à la sienne. Je m'accroupis juste devant, dépose le bouquet sur la pierre tombale et j'inspire un grand coup pour ne pas pleuré. J'ai comme même toujours cette peur qu'elle soit réellement morte. Je renifle une fois, sentant la morve coulée comme quand on pleure. Je retire avec mon doigt, la perle d'eau salée au coin de mon oeil. J'inspire à pleine bouche, l'oxygène passant dans me gorge, me rassure que je suis toujours en vie. Je sors une photo de ma poche, je l'avais mise dans mon pantalon, parce que je comptais comme même passé au cimetière. Je la regarde attentivement, elle est abîmée, avec des traces de plis en blanc, les coins repliés sur eux-mêmes, une petite déchirure en haut, la couleur commençant à être délavée. J'ai toujours cette photo sur moi. Jamais je ne l'abandonnerais. Elle représente beaucoup à mes yeux. C'est elle, à 9 ans, et moi à 11 ans, se tenant la main dans le jardin. C'était qu'une simple amourette d'enfant. Une larme dégouline sur ma joue.

Moi: Tu me manques, le sais-tu seulement? Pour la première fois, je vais t'avoué que j'ai des doutes sur ta mort. Une journaliste avait la même tête que toi. Je me suis sûrement jamais dit que ta mort pouvait être réelle, que je n'ai été qu'un abruti de te mettre la honte juste à cause d'un gobelet remplit de jus de grenadine, pour qu'à cause de ce liquide, on puisse voir ta graisse. Tu sentais l'eucalyptus et parfois la vanille. Tu étais magnifique, au naturel, tu n'as jamais eue besoin de renverser un pot de peinture sur ton visage. Je n'ai jamais voulu accepter que tu puisses être réellement morte, au ciel. Je m'imaginais tout les scénarios possibles de te retrouver en vie. Excuse-moi d'avoir été bête. Je t'accorde au moins une pensée par jour, je regarde le ciel pour mes grands-parents et toi. Je baigne dans l'incertitude de ta mort. J'aimerais revoir ton visage, ressentir cette odeur qui t'étais bien propre, revoir tes dessins et ta manière de les produire unique. Tu souriais en les faisant. Rien ne pouvait t'enlever se plaisir. So tu ne me les a jamais montrés, mais une fois tu les avait mal caché ton cahier ou tu l'avais fait traîner par hasard dans ta chambre, au milieu de tes jouets de fillette que tu n'utilisais plus  et que tu n'a jamais vraiment utiliser non plus. Tu étais différente. Je fais un effort surhumain pour parler de toi au passé, je ne m'y ferais peut-être jamais. J'ai cette peur en moi, que tu sois réellement partie.

Je sens une main sur posée sur mon épaule. Je cache la photo immédiatement, dans la poche intérieur de ma veste. Je tourne la tête et voit, ce visage avec une larme dégoulinante sur la joue et une autre au coin de l'autre oeil, retenue de ne pas partir mais la larme trop forte, s'éclipse de l'oeil. J'ai l'impression que c'est elle. Je deviens fou, sûrement ça.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Voilà le chapitre 2. Que pensez-vous de la révélation de Louis? De ce qu'il a dit devant la tombe? Qui est la fille qui lui a tapoter sur l'épaule? La photo dans sa poche, toujours avec lui? Le plan de la fille? Que pensez-vous de ce chapitre? Meilleur que le précedent? Moins bon? vous avez hâte de lire la suite? Les chapitres sont plus nuls que l'avant-goû le prétendait?

Merci pour tous vos avis.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top