XV. Ne le prend pas comme ça...
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Henry défait lentement les boutons de sa chemise sans la quitter des yeux. Coller contre son torse il dégrafe son soutien-gorge pour libérer ses seins dont les mamelons pointent déjà. D'un revers de la main Henry fait glisser ses doigts depuis sa joue jusqu'à ses lèvres. Il la soulève plaçant ses mains sous ses fesses. Ses jambes à elle entoura les hanches d'Henry. Il la plaque contre le mur un peu froid de son énorme salon avant de fondre sur ses lèvres.
Liv passe ses mains derrière sa nuque et de sa bouche gourmande lui mordille la lèvre inférieure pour ensuite fourrer sa langue très loin dans sa bouche. Henry délaisse sa bouche pour s'attaquer à son cou qu'il lèche avidement et mordille son lobe. Rien qu'avec ça Liv sent un frisson parcourir le long de son échine. Henry la conduit jusqu'au canapé près de la cheminée. Il la dépose très lentement dessus avant de parsemer son ventre plat de petits baisers
Débarrasser de leur vêtements chacun sent monter la chaleur corporelle de l'autre. Et ce plaisir intense qu'ils ressentent en ce moment ne ressemble à aucun autre.
Allongée sur le plaid la tête posée sur deux coussins devant le feu de la cheminée avec Henry au-dessus d'elle, Liv lui caresse ses boucles, puis soulève sa tête pour aller à la rencontre de ses lèvres une fois de plus. Chaque petite parcelle de son corps en profite Aucune partie n'est délaissé
Cette douce torture qu'elle ressent à chaque frottement de son gland contre ses petites lèvres fait augmenter son plaisir à un point qu'elle ne veut pas qu'il s'arrête. Et ce contact visuel exprimant tout le désir qu'ils éprouvent en ce moment.
Quand finalement il s'introduit très lentement en elle, Liv s'autorise à fermer les yeux juste quelques secondes le temps de se préparer a savourer ces doux et lents coups de hanches. Les gémissements de Liv ainsi que les grognements d'Henry sont transmis mutuellement à travers leur baisers. Et lorsque son déhanchement devient de plus plus en rapide elle est obligée de s'accrocher très fort à lui jusqu'à ce qu'il se libère en elle. Sa jouissance à elle est encore plus voluptueuse.
Henry attrape un autre plaid couvrant leur corps nus. Lovés l'un contre l'autre, nos jeunes amoureux se sont rapidement endormis...
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Le jour se lève et Henry fut le premier a ouvrir les yeux.
- Ça ne se fait pas de dévisager les gens de cette façon quand ils dorment est-ce qu'on te l'a jamais dit ?
- Figure-toi que ça ne s'applique pas si cette personne ma une bouille aussi mignonne que la tienne et ça l'est encore moins si c'est ta petite amie.
- Tu sais parler aux femmes toi
Il l'embrasse sur le front
- Alors ? Pas trop épuisée ?
- Un tout petit peu quand même
- Le contraire m'aurait étonné ?
- Pardon ? ... Tu sais quoi ? Je pense qu'on a largement le temps de se faire un câlin avant de partir
- Voilà qui me plaît !
Henry se débarrasse de ce drap dans lequel était enveloppé le corps de sa petite amie avant de capturer ses lèvres. Ses doigts se frayent un chemin jusqu'à son ventre qu'il caresse quelque secondes pour ensuite descendre vers son clitoris.
Ses yeux se ferment automatiquement quand il entre un doigt en elle. Sa respiration commence à se faire plus vite lorsqu'elle sent ajouter un deuxième doigt et qu'il commence à les bouger en elle.
Les gémissements de Livia provoquent des frissons à Henry. La plénitude du développement des plaisirs charnels intenses. Deux corps qui en demande toujours plus. Et voilà comment ils ont terminé sous la douche à faire l'amour...
Henry prépare le petit déjeuner. Rien de bien difficile, des flocons d'avoine dans du lait de soja, des graines d'amandes, quelques morceaux de bananes, des pépites de chocolats et des oranges.
Liv fini de se préparer et avale rapidement son petit déjeuner avant de prendre la route dans sa voiture...
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Quelques semaines plus tard
Livia s'épanouie dans son travail, et Henry lui, se fait connaître à travers les nombreuses campagnes que lui ont trouvés Marisol et Corine. C'est vrai qu'il a du talent en plus d'être beau. Ses poses lui viennent tout naturellement il est tellement à l'aise dans ce qu'il fait. On parle déjà de lui dans de nombreux magazines.
Quant à Elliot il se montre toujours aussi gentil avec Liv et a même félicité Henry pour ses débuts. Ça s'appelle du respect. C'est le genre d'homme qui respect les femmes, et Liv est une très belle jeune femme qui ferait chavirer le cœur de n'importe quel homme.
- Ah Liv, justement c'est toi que je cherchais
- Qui y a-t-il ?
- Je sais que c'est au dernier moment mais le patron veut que nous partons ce soir a Los Angeles
- Comment ça ?
- Holmes lance sa nouvelle collection
- Et quelqu'un d'autre ne peut pas t'accompagner ? Marlon donne une fête pour le succès de sa dernière campagne et j'ai promis à Henry de l'accompagner
- Désolé, comme je te l'ai dit ça vient du big boss
- Tant pis alors
- Ne t'en fait pas, il comprendra
Liv laisse tomber sa tête en arrière contre le dossier de sa chaise. Henry ne va pas apprécier, elle a promis d'être présente à cette soirée, une fois de plus elle lui fera faux bond...
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Liv rentra chez elle pour préparer ses affaires. Leur avion décolle dans deux heures. Sa trousse de maquillage ranger au fond de son sac, elle choisit quelques les robes. Lorsque son regard tombe sur cette magnifique décolleté qu'elle prévoyait de porter ce soir elle se souvient qu'elle n'a encore rien dit à Henry.
Conversation téléphonique
- Ma chérie...
- Ça va, tu es occupé ?
- Pour toi, jamais ma belle. Saul est à la maison
- Dis-lui bonjour de ma part
- D'accord. Tu sais quoi ? J'ai hâte de te voir dans ta robe ce soir
- Hmm... Euh à ce propos. Je suis désolée mais je ne pourrai pas t'accompagner ce soir
- Pourquoi ?
- Je dois me rendre à Los Angeles pour le travail.
- Ah ! Ce n'est pas grave. Tu te rachèteras demain dans ce cas, c'est l'anniversaire de Saul on lui organisera une fête
- Mon chéri nous ne rentrerons pas avant vendredi
- Nous ?
- Elliot...
- Ouah
- S'il te plaît Henry ne le prend pas comme ça
- Et je dois le prendre comment ?
- Tu disais que ça ne te dérangeait pas...
- Oui mais là... Il faut que je raccroche Saul a besoin de moi...
- Henry s'il te plaît
- Envoie-moi un texto une fois là-bas. Enfin, si tu en as le temps
Nous sommes tous d'accord pour dire qu'Henry est carrément jaloux et qu'il est fâché là, non ?. Ce raccrochement au nez, c'est clair, non ? Bref...
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